Le domaine du belvédère
Présentation de l’éditeur
Emily croyait avoir réalisé le plus beau de ses rêves, régnant sur le meilleur restaurant de Quimper avec vue sur la cathédrale, elle aux fourneaux et un mari élégant et cultivé à l'accueil. Heureuse sans doute, avec les souvenirs de son Angleterre natale, dans les Cornouailles, sa passion pour la Bretagne et son métier. Mais le temps modifie les caractères et les cœurs. Sept ans plus tard, Emily divorce d'un époux décevant et découvre que la réussite et le travail n'étaient qu'une fuite. Jamais elle n'a oublié les lieux enchantés d'autrefois, ni sa famille ni Alan Tavistock, le prince charmant de son adolescence...
Bon alors il y a plein de choses qui ne vont pas, selon moi, dans ce roman de Colette Vlérick :
- On débute le récit à un moment de l’histoire avec Emily et on revient des années en arrière pendant 222 pages (le livre en compte 336) et où on nous parle presque davantage de Géraldine, la meilleure amie de sa mère
- Trop facile, un personnage devenu gênant dans l’histoire meurt dans un accident d’avion à cause d’une tempête
- Un gros scandale pour des mains un peu baladeuses
- Un non-évènement (lié aux mains baladeuses) qui provoque l’exil d’Emily en France pendant 15 ans sans que les personnes concernées cherchent à la recontacter, ni même sa famille à lui expliquer ce qu’elle a pris pour un meurtre et où il n’y a pas de victime (pffff !)
- Un travail trouvé en 2 h top chrono à son retour (quelle chance !)
- Une fin qui n’en est pas une
Et puis, quelques tocs :
- des soi-disant écarts de langage car des adolescents disent « ouais » ou « super »
- des sous qu’il faut mettre dans les parcmètres
Bref, je n’ai pas franchement aimé.
Je classe ce livre en 366ème position et en lui donne pas d’étoile.