Mémé dans les orties
Quatrième de couverture
Ferdinand Brun est atypique. Le genre de vieux monsieur qui boude la vie et s’ennuie à (ne pas) mourir. Tel un parasite, il occupe ses journées en planifiant les pires coups possibles qui pourraient nuire et agacer son voisinage. Il suffit d’un nœud qui se relâche et laisse partir son seul compagnon de vie, Daisy sa chienne, pour que tout s’écroule. Quand Juliette, une fillette de dix ans, et Béatrice, la plus geek des grands-mères, forcent littéralement sa porte pour entrer dans sa vie, Ferdinand va être contraint de se métamorphoser et de sortir de sa chrysalide, découvrant qu’il n’est jamais trop tard pour commencer à vivre…
Il s’agit du premier roman d’Aurélie Valogne. Je l’ai téléchargé sur ma liseuse car en panne de livres provenant de la médiathèque.
C’est un livre à la lecture agréable et aux personnages attachants. Il y a toutefois des facilités : le vieux monsieur, bougoun et acariâtre depuis des années, passe trop rapidement du côté des "gentils" et des incohérences : la fillette, même précoce, sait plein de choses sur lui alors qu'ils viennent de se rencontrer et qu'il sort peu de chez lui. J'ai bien aimé l’humour et certaines bonnes réparties. Ce livre m’a fait penser un peu aux romans de Marie-Sabine Roger ou de Barbara Constantine car les personnes âgés sont souvent au cœur de l’histoire.
Je classe ce livre en 121ème position et lui donne une étoile.