Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le petit monde de So et de Fi
28 avril 2013

Balade du dimanche

Aujourd'hui, et comme chaque dimanche depuis un mois, nous avons repris nos balades à pied.

Comme JP a mal au genou depuis une mauvaise chute lors de notre séjour de ski cet hiver (en voulant éviter un enfant qui lui est passé devant), nous limitons pour l'instant la distance à 5 - 7 kms.

Nous avons pris la voiture jusqu'au point de départ et suivi le sentier suivant :

IMG_0290

Pour une fois, j'ai réussi à embarquer Antoine avec nous et c'est lui qui devait nous guider grâce aux indications du plan !

Le sentier était bien sympa entre les maisons au début et puis entre les champs et les marais ensuite.

IMG_0270

On a même longé la scarpe sous le soleil :

IMG_0272

Belle balade à refaire !

 

 

Publicité
Publicité
28 avril 2013

Une odeur de gingembre

Journal intime entrecoupé des lettres qu'elle adresse à sa mère restée au pays ou sa meilleure amie, de Mary McKenzie. Une jeune Ecossaise de classe moyenne qui s'embarque en 1903 pour Pékin, où elle va se marier avec Richard Collinsgsworth. Ce mariage, en dépit de la naissance de Jane, ne sera pas très heureux. Pleine d'empathie pour les Chinois, s'ennuyant dans son petit milieu d'expatriés, elle va se donner à un samouraï japonais, dont elle aura un fils. Scandale : son mari la chasse et lui prend sa fille, expédiée en Angleterre et qu'elle ne reverra jamais.

Après un tour en Australie, puis un tour en Afrique, j’ai voyagé en Chine et au Japon grâce à cette dernière lecture.

J’ai apprécié suivre les aventures de l’héroïne et sa découverte de la culture orientale qu’elle apprend à aimer et dont elle nous explique au fur et à mesure le fonctionnement. Elle n’a pas vraiment de chance vis-à-vis de ses deux enfants mais elle surmonte les évènements et se forge contre toute attente une situation au Japon.

Je classe ce livre en 37ème position et lui donne deux étoiles.

26 avril 2013

Salon de jardin

Depuis quelque temps avec mon petit mari, nous cherchons un salon de jardin. Nous voulions remplacer le salon en teck que nous avons depuis de nombreuses années et qui commençait à vieillir.

Nous avons cherché dans les grands magasins habituels sans vraiment rien trouver à notre goût (et surtout des prix assez élevés !).

Du coup, nous nous sommes retranchés sur internet et il y a quinze jours, nous avons commandé une table et huit chaises en aluminium et textilène. Le plateau de la table est en verre noir.

J'ai pris une journée de congé aujourd'hui pour être sûre d'être là lors de la livraison, prévue entre 11 et 15 h, et les livreurs sont arrivés pile à 11 h !! J'ai commencé le montage dans le garage car il pleuvait (il faisait si beau hier !!!).

Et hop, voici le résultat :

 

DSC_0016

Je ne suis pas mécontente de ma journée. Il y en a deux qui s'en sortent bien dans l'histoire : mon fils, qui même s'il était présent car en vacances m'a demandé si j'avais besoin d'aide une fois que c'était fini (il m'a juste aidée 30 secondes pour mettre la table sur ses pieds) et mon mari qui est au travail et qui n'aura rien à monter ce week-end !!

DSC_0018

Par contre, à voir à l'usage l'entretien de la table. Je l'ai nettoyée avec du produit à vitre et c'est compliqué de ne pas laisser de trace.

Comme la terrasse est sous le bouleau pleureur et sous le prunus, j'ai eu du mal à faire des photos sans feuille sur le plateau... Le vent ne m'a pas aidée.

21 avril 2013

La reine des pluies

Pâques 1974. Kate Carrington, alors âgée de douze ans, se retrouve orpheline en Afrique, continent méconnu et envoûtant. Ses parents, Sarah et Michael, deux missionnaires australiens, ont été assassinés dans la brousse près de la frontière rwandaise. Puis vient le retour vers cette Australie qu'elle ne connaît pas encore, la vie dans les pensionnats de la mission, ses études d'infirmière. Surtout s'endurcir, devenir imperméable aux autres pour ne plus souffrir. Mais voilà qu'emménage une mystérieuse voisine, femme âgée qui passe son temps autour d'un feu de camp dans son jardin, en compagnie d'une chèvre. Peu à peu les deux femmes se lient d'amitié et la vieille dame étrange et solitaire fait de surprenantes révélations à Kate sur son passé et la flamboyante reine des pluies.

C’est une histoire riche en évènements et en rebondissements. On sent l’amour de l’auteure Katherine Scholes pour l’Afrique où elle a vécu une partie de son enfance et on y découvre la vie des différentes tribus, leur façon de voir la vie dans des conditions difficiles et leur regard sur les missionnaires blancs. On comprend ce que les missionnaires veulent apporter (hygiène, bonnes habitudes pour préparer les aliments, séparation des lieux de vie des hommes et des bêtes, solutions pour rendre leurs enfants plus forts après la naissance, mais aussi leur religion, le rejet absolu des techniques des guérisseurs africains qui pourtant font leur preuve).

Je classe ce livre en 36ème position et lui donne 2 étoiles.

20 avril 2013

Jolie surprise au jardin !!

Aujourd'hui, nous avons eu une jolie surprise au jardin :

DSC_0014

Rappelez-vous, en septembre, nous avions acheté deux poules nègre-soie (enfin une poule et un coq), puis installé un petit poulaillier et bien voilà les premiers oeufs.

DSC_0009

Elles sont en pleine forme et nous sommes ravis de cette petite récolte !!

 

Publicité
Publicité
11 avril 2013

La dernière valse de Mathilda

1923. À Churinga, dans la chaleur étouffante du bush australien, Mathilda, treize ans, enterre sa mère. Elle sait que désormais, face à son père, un homme cruel et égoïste, elle ne pourra compter que sur elle-même pour conserver ses terres. Cinquante ans plus tard, Jenny pleure la disparition tragique de son petit garçon et de son époux. Seul legs de ce dernier : le domaine de Churinga. Sur place, Jenny trouve le journal intime de Mathilda, dont elle entreprend la lecture. Bien vite, elle découvre des similitudes entre leurs destinées et l’angoisse l’assaille : a-t-elle bien fait de venir s’installer ici ? Les toutes dernières pages du journal lui révèleront la terrible vérité de Churinga et le secret de sa naissance.

J’ai adoré ce livre de Tamara McKinley. C’est une véritable saga qui nous plonge dans le cœur de l’Australie dans l’univers difficile et impitoyable des éleveurs de moutons où la sècheresse sévit régulièrement. L’héroïne, Mathilda, malgré son jeune âge, va devoir s'imposer dans un milieu d'hommes, affronter les éléments naturels qui menacent l'équilibre du domaine et se protéger de la convoitise de ses voisins.

Il y a des passages difficiles et la fin de l’histoire révèle des surprises (parfois un peu tirées par les cheveux, à savoir qu’il y a une chance sur des milliers pour que cela puisse arriver...).

On passe régulièrement de l’époque de Mathilda à celle de Jenny. J’ai préféré les passages consacré à Mathilda car parfois on frôle « l’eau de rose » avec Jenny. Cela reste une belle saga que j’ai dévorée jusqu’au bout. C’est pour cela que je classe ce livre en 18ème position et lui donne 3 étoiles.

4 avril 2013

L'hygiène de l'assassin

Prétextat Tach, prix Nobel de littérature, n'a plus que deux mois à vivre. Des journalistes du monde entier sollicitent des interviews de l'écrivain que sa misanthropie tient reclus depuis des années. Quatre seulement vont le rencontrer, dont il se jouera selon une dialectique où la mauvaise foi et la logique se télescopent. La cinquième lui tiendra tête, il se prendra au jeu. Si ce roman est presque entièrement dialogué, c'est qu'aucune forme ne s'apparente autant à la torture. Les échanges, de simples interviews, virent peu à peu à l'interrogatoire, à un duel sans merci où se révèle alors un homme différent, en proie aux secrets les plus sombres.

C’est le premier livre d’Amélie Nothomb que je lis et c’est son premier livre à elle. Je voulais commencer par le début, si suite il doit y avoir.

Je classe ce livre en 76ème position et lui donne une étoile. J’ai bien aimé les dialogues décapants et les joutes verbales. J’ai moins aimé la toute fin du livre parce qu’elle laisse la porte ouverte à trop de possibilités.

Sinon, deux mots dans ce livre à se remémorer :

- verbe défectif : Un verbe est dit défectif lorsque sa conjugaison est incomplète : un certain nombre de temps, de modes ou de personnes sont inusités

- sophisme : Un sophisme, ou argumentation à la logique fallacieuse, est un raisonnement qui cherche à apparaître comme rigoureux mais qui en réalité n'est pas valide au sens de la logique.

 

1 avril 2013

Inter-ligue FFJ et Championnat de France FSGT - fin de saison

Comme je l'ai déjà expliqué, il y a deux fédérations au judo. La FFJ, fédération principale où tous les judokas sont licenciés et la FSGT, fédération secondaire où seuls les judokas qui le souhaitent s'inscrivent et participent aux compétitions.

Le 16 mars, Antoine a participé à la plus importante compétition FFJ en minimes, à savoir l'inter-ligue (Il avait fini 7ème à l'étape précédente à savoir les Régionales). Cette compétition se déroulait à Saint Quentin et les judokas étaient originaires du Nord/Pas-de-Calais, de la Picardie, de la Champagne. Il y avait 16 compétiteurs (seulement !) dans sa catégorie.

Antoine rencontre Ayoub en premier combat. Il le connaît et sait que ce sera difficile. Ils font les 3 minutes de combat règlementaires et ne marquent pas de point ni l'un ni l'autre. L'arbitre décide alors une minute supplémentaire de golden score (normalement c'est deux minutes). Toujours pas de point marqué. Du coup, l'arbitre et ses deux juges de côté doivent décider avec les drapeaux. Les 3 lèvent le drapeau en faveur d'Ayoub !

Antoine sait alors qu'il pourra au mieux être troisième. Il rencontre Jérôme en deuxième combat. Celui-ci a fini premier aux districts mais Antoine l'a battu en 5 secondes lors d'une compétition amicale. Antoine remporte ce combat avec un tomoe nage.

Lors du troisième combat, alors qu'Antoine mène contre un adversaire largement à sa portée, il fait une erreur monumentale ! Il tente un tomoe nage (planchette japonaise) mais la rate complètement. Comme il s'agit d'une technique de sacrifice, du coup, son adversaire n'a plus qu'à le maintenir au sol (Antoine est déjà dos au sol) et gagne le combat au bout des 20 secondes. Antoine est éliminé et termine 7ème. Pour la petite histoire, cet adversaire finira 3ème...

Le 30 mars, Antoine ayant terminé 1er des régionales FSGT est qualifié pour les championnats de France à Toulouse. Nous sommes donc parti vendredi soir en avion.

Ils sont 24 dans sa catégorie. Un premier tirage est effectué avec des poules de 6 combattants. Le problème s'est que les deux premiers seraient amenés à faire 8 combats et en minimes c'est maximum 7. Du coup, un second tirage est effectué, les judokas sont divisés en deux (les vainqueurs de chaque partie se rencontreront pour la finale) et les poules passent donc à 4 combattants.

Antoine gagne son premier combat très facilement contre une ceinture orange-verte en 10 secondes après un makikomi réussi. Le second a peu près aussi facilement contre une ceinture bleue en 5 secondes après un tomoe nage. Il passe donc les poules et arrive dans le tableau.

Pour le 3ème combat, le judoka adverse s'est blessé lors de son deuxième combat et déclare forfait. Antoine arrive donc en 1/4 de finale. Lors du 4ème combat, il rencontre une ceinture bleue, après plusieurs techniques, Antoine met ippon sur tomoe nage.

Lors du 5ème combat, les 1/2 finales, il rencontre un judoka Nordiste ceinture marron qu'il a déjà rencontré deux fois et qu'il a battu à chaque fois. Par contre, on avait noté une belle progression de son adversaire entre des deux rencontres. Le combat est accroché. On voit qu'ils se connaissent. antoine tente un makikomi mais cela ne fonctionne pas. Il tente ensuite un tomoe nage qui ne réussit pas et on croit revivre le dernier combat des inter-ligues car son adversaire en profite pour vouloir le maintenir au sol mais Antoine le coince entre ses jambes et donc pas de point marqué pour l'adversaire. Antoine marque ensuite ippon sur Makikomi.

Il arrive donc en finale. Il rencontre un judoka de la région midi-pyrennée (donc soutenu par la salle) assez grand et gaucher (Antoine a aussi une garde à gauche) et les combats entre gauchers ne sont pas beaux car ils se neutralisent (ce qui n'est pas le cas entre deux droitiers). Antoine tente un makidomi, puis un tomoe nage, puis de nouveau un makikomi mais il lâche la manche de son adversaire. Son adversaire prend un shido (pénalité). Antoine marque un yuko. Il retente un makikomi sans effet puis un second où il marque wasa ari. Deuxième shido pour l'adversaire. Antoine tente un tomoe nage et se retrouve en difficulté mais coince les jambes de l'adversaire qui ne marque donc pas de point. Atnoine prend un shido mais mène toujours. Fin du temps. Deuxième shido pour Antoine (soit deux shidos partout) mais il mène au score. Il remporte donc la finale.

DSC_0017

Antoine est champion de France FSGT pour la deuxième fois consécutive. Bravo mon fils !

Même photo que l'année dernière avec le tee-shirt du vainqueur et la médaille (un peu plus ronde que l'année dernière).

DSC_0066

Publicité
Publicité
Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 212 501
Publicité