Les roses fauves
Présentation de l’éditeur
Alors que les roses s’attardent, énormes dans la lumière rasante, le doute la saisit pour la première fois. Et si, à force de se dire heureuse, elle était passée à côté du bonheur… D’origine andalouse, Lola mène en Bretagne une vie solitaire et sans éclat. Dans sa chambre, face au lit où elle s’interdit de rêver, trône une armoire pleine de cœurs en tissus. Ils renferment les secrets rédigés par ses aïeules avant de mourir. Cette vieille coutume espagnole défend cependant à l’héritière de les ouvrir. Jusqu’au jour où l’un des cœurs se déchire…
Je n’ai pas tout compris dans ce roman de Carole Martinez. Quel est le rapport entre la lignée des Rosa, Dolorès, Carmen, Rosa, Lola et l’histoire de Jean et de Marie ? Histoire qui rejoint à la fin comme par hasard celle du tournage du film. Et puis comment se termine la romance entre Lola et William/Pierre ? Et ces roses qui poussent à la vitesse de l’éclair ? C’est une métaphore de la passion ou bien j’ai vraiment rien compris ? J’ai eu l’impression que l’auteure devait rendre un roman à son éditeur et que celui-ci est né au forceps. Tout était bon pour noircir des pages.
Je n’avais pas aimé « le cœur cousu » de la même auteure, roman actuellement classé en 655ème position avec un « moins ».
Je classe celui-ci juste derrière, en 656ème position avec « un moins ».
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