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Le petit monde de So et de Fi
12 février 2024

Tu verras que les âmes se retrouvent toujours quelque part

Présentation de l’éditeur :

Elle est encore jeune, un peu connue, mais déjà lasse. Elle parle d'amour à la télévision, mais peine à trouver du sens à sa propre histoire. Un jour ses pas la guident vers l'île Saint-Louis. Dans un café, elle fait une rencontre qui va bouleverser sa vision du monde, de l'amour, et transformer sa vie. Elle a les cheveux blancs et les yeux clairs. Autrefois journaliste, elle a cherché l'amour dans les bras d'hommes qui l'ont plus ou moins aimée, jusqu'à ce que l'évidence d'une rencontre éclipse toutes les autres. Dans un café de l'ile Saint-Louis, elle est venue trouver la jeune femme qui parle d'amour pour lui transmettre une révélation. Il a des boucles brunes et un regard noir. Il se souvient des temps anciens de leur rencontre. Il sait que leur amour est au-delà de l'amour car ils sont âmes sœurs. Dans ce café de l'île Saint-Louis, ils se sont croisés une fois de plus, mais ils devront encore attendre toute une vie pour s'unir à jamais.

J’ai de moins en moins accroché au fil de l’histoire. Sabrina Philippe tente de nous expliquer ce qu’est le véritable amour et le fait de trouver son âme sœur. IL lui fait comprendre un certain nombre de choses, la fait devenir plus sensible à ce qui l’entoure, aux mots des auteurs, à la musique, mais le revers de la médaille pour ELLE c’est qu’elle se sent emprisonnée, dépendante de chacune de leurs rencontres, qui se font attendre, parfois très longtemps. Elle est plus seule que jamais en fait. Et puis l’on passe à des choses de moins en moins tangibles, à l’idée de réincarnation, de médiumnité, de spiritualité, de mission confiée de vie en vie, …

Alors j’avoue ne pas avoir adhéré à cette idée de l’amour. Cet amour là fait souffrir, même s’il éveille à certains sens, il emprisonne.

J’ai juste bien aimé la toute fin où on comprend le lui entre les 3 personnages.

Je classe ce livre en 630ème position et ne lui donne pas d’étoile.

 

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8 février 2024

l'héritage d'Estée

Présentation de l’éditeur :

Bien après le décès de sa grand-mère, Lily reçoit une étrange convocation chez un notaire londonien. Lors du rendez- vous, elle apprend que son aïeule avait un lien avec un foyer pour mères célibataires du nom de Hope House. Elle reçoit aussi en héritage un coffret qui contient une vieille recette en italien et un programme de la Scala de Milan. Appelée par son travail en Italie, Lily compte en profiter pour tenter de percer les secrets de sa famille grâce à ces mystérieux indices, dans le cadre enchanteur du lac de Côme et d'un superbe vignoble... Deux générations plus tôt, Estée, vouée à devenir danseuse étoile, s'est éprise par malheur d'un homme qu'elle n'a pas eu le droit d'aimer. Une histoire tragique qui va traverser le temps et bouleverser plus d'un destin...

J’ai trouvé l’histoire de Soraya Lane un peu cousue de fil blanc. Il n’y a pas vraiment de surprise dans ce livre. On se doute de la fin dès le début. Et puis, le fait qu’Estée tombe enceinte parce qu’ils ne l’ont fait qu’une fois, décidément pas de chance…

Je classe ce livre en 639ème position et ne lui donne pas d’étoile.

5 février 2024

Sous le vent des marquises et comme un prince

Nous sommes allés voir deux films dimanche : "sous le vent des Marquises " et "Comme un prince".

 

Synopsis : Quand Alain doit jouer Brel, son destin se mélange à celui de l’artiste. Cette rencontre va le rapprocher de sa fille et bouleverser sa vie.

Je me suis ennuyée lors de ce film de Pierre Godeau. Je n’ai rien à reprocher aux acteurs, françois Damiens et Salomé Dewaels mais j’ai trouvé que cela manquait de rythme. Le parallèle avec la vie de Jacques Brel et les parenthèses sur le bateau tombaient un peu comme un cheveu sur la soupe. J’ai eu l’impression qu’on nous rejouait les dialogues plusieurs fois.

Bref, je classe ce film en 145ème position et lui donne « un moins ».

 

Synopsis : Souleyman, 27 ans, champion de boxe en pleine préparation des J.O. avec l’Équipe de France, voit son avenir s’écrouler lorsqu’il se fissure les os de la main, suite à une bagarre dans un bar. Souleyman se fait exclure de l’équipe et est envoyé au Château de Chambord, où il doit effectuer ses 400 heures de travaux d’intérêt général (T.I.G.) à ramasser les déchets dans les jardins.

Bon, c’était mignon. Je pensais que ce serait un petit peu plus profond. Ce film d’Ali Marhyar ne restera pas dans les mémoires (en tout cas la mienne). La présence de Julia Piaton que j’aime beaucoup n’arrive pas à rehausser l’intérêt de ce film.

Je classe ce film en 131ème position et ne lui donne pas d’étoile.

2 février 2024

Dernier changement au salon

Après avoir changé les 2 canapés, nous avons commandé et reçu aujourd'hui le nouveau meuble de télévision et la table de salon.

voici avant :

IMG_6122Et après : 

IMG_6137

IMG_6139

Cela éclaircie un peu la pièce. On en avait un peu marre des meubles acajou, à la maison depuis fort longtemps... 

La table de salon est une table dînette : la partie du haut se soulève et on peut manger à bonne hauteur. On a déjà testé ce midi. C'est pas mal.

 En position dînette :

IMG_6142

 

2 février 2024

Son odeur après la pluie

Présentation de l’éditeur :

C’est une histoire d’amour, de vie et de mort. Sur quel autre trépied la littérature danse-t-elle depuis des siècles  ? Dans Son odeur après la pluie,  ce trépied, de surcroît, est instable car il unit deux êtres n’appartenant pas à la même espèce  : un homme et son chien. Un bouvier bernois qui, en même temps qu’il grandit, prend, dans tous les sens du terme, une place toujours plus essentielle dans la vie du narrateur. Ubac, c’est son nom (la recherche du juste nom est à elle seule une aventure), n’est pas le personnage central de ce livre, Cédric Sapin-Defour, son maître, encore moins. D’ailleurs, il ne veut pas qu’on le considère comme un maître. Le héros, c’est leur lien. Ce lien unique, évident et, pour qui l’a exploré, surpassant tellement d’autres relations. Ce lien illisible et inutile pour ceux à qui la compagnie des chiens n’évoque rien. Au gré de treize années de vie commune, le lecteur est invité à tanguer entre la conviction des uns et l’incompréhension voire la répulsion des autres ; mais nul besoin d’être un homme à chiens pour être pris par cette histoire car si pareil échange est inimitable, il est tout autant universel. Certaines pages, Ubac pue le chien, les suivantes, on oublie qu’il en est un et l’on observe ces deux êtres s’aimant tout simplement. C’est bien d’amour dont il est question. Un amour incertain, sans réponse mais qui, se passant de mots, nous tient en haleine. C’est bien de vie dont il est question. Une vie intense, inquiète et rieuse où tout va plus vite et qu’il s’agit de retenir. C’est bien de mort dont il est question. Cette chose dont on ne voudrait pas mais qui donne à l’existence toute sa substance. Et ce fichu manque. Ces griffes que l’on croit entendre sur le plancher et cette odeur, malgré la pluie, à jamais disparue.

J’avais entendu parler de ce livre sur RTL et une amie me l’a prêté (j'aurais sinon attendu qu'il sorte en poche).

Déjà la préface m’avait parue pompeuse mais que dire de l’ensemble du livre ! C’est pourtant un sujet universel que l’amour réciproque entre un maître et son chien mais que les phrases sont longues et alambiquées, le vocabulaire de haut vol. Je pense que cela méritait davantage de simplicité. Si l’auteur parle comme il écrit, il doit être grandement ennuyeux et s’autoécouter. Au début, je relisais les phrases difficiles et cherchait la définition des mots, j’avoue qu’à la fin, je ne l’ai plus fait.

Et puis, je n'ai pas aimé sa façon parfois de critiquer les autres propriétaires de chiens. Comme si lui faisait tout ce qu'il fallait et que les autres, non. 

Mis à part la forme, il y a de jolies choses dans le fond. On reconnaît les moments partagés avec son animal, les premières bêtises, les longues balades, les visites chez le vétérinaire, les rencontres avec les autres (hommes ou congénères), …

Un extrait (page 163) pas trop compliqué celui-là :

« Le docteur Wicky a sauvé la vie d’Ubac. Une autre fois, pour la fille d’Ubac, ce sera le docteur Forget, l’opération de sa carrière, nous dira-t-il, des heures à dénouer son intestin d’une serpillère coriace.

Les vétérinaires sont des êtres supérieurs. Je ne le dis pas, flagorneur, pour que le sort nous cajole, tout est trop tard. C’est une simple réalité.

Ils opèrent un ligament croisé à 8 heures, une tumeur intestinale à neuf, aident à une mise bas à dix, détectent un glaucome à douze et sauvent entre temps un écrasé, les pattes à angle droit, hurlant et goutant de sang. L’après-midi sera semblable en ce qu’el ne ressemblera en rien au matin et demain encore. Ils sont spécialistes de tout, font chacun ce qu’une cohorte de dix médecins peinerait à honorer, au milieu de patients infoutus de dire où ils ont mal. Ils baladent leurs compétences scintillantes au travers d’un joli désordre qui miaule, aboie, pue, chante, crie et jamais ne remercie. »

Je classe ce livre en 763ème position et lui donne un "moins".

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  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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