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Le petit monde de So et de Fi
26 juillet 2016

après-midi marathon

Antoine me tannait depuis 2 jours pour aller acheter un nouvel ordinateur.

Il travaille tout le mois d'août au centre de loisir comme animateur et a une idée précise de ce qu'il veut faire avec sa première paie.

Sauf que comme il n'est pas encore payé (je lui ai pourtant expliqué qu'il faut gagner l'argent avant de pouvoir le dépenser), il souhaite aller à la caisse d'Epargne pour retirer l'argent de son compte qu'il renflouera quand il aura sa paie.

Nous voilà partis à la Caisse d'Epargne de notre commune, sauf qu'elle est fermée. Nous allons donc dans une caisse d'Epargne d'une commune proche et là, celle-ci n'est ouverte l'après-midi que sur rendez-vous (!). On voit une personne rentrer dans le bâtiment, on lui demande si on peut faire un retrait d'un livret, celui-ci nous accueille dans son bureau.

On lui demande la somme, il va voir son patron qui lui dit que finalement il faut retourner à la Caisse d'Epargne de notre commune car il ne peut effectuer le retrait (!). Il les appelle pour qu'on puisse prendre rendez-vous mais personne ne répond (!!). Il me propose d'aller dans l'agence centrale de Valenciennes. La proximité, tu parles ! Le jour où les gens n'iront plus dans les agences de leur commune, ils se remettront peut-être en question.

Je pense même que je vais retirer l'argent qui reste sur le livret d'Antoine et le mettre sur son nouveau compte bancaire. Ce n'est pas pour le peu d'intérêt que cela rapporte...

Du coup, j'abandonne l'idée de retirer l'argent du compte d'Antoine et me dit que je vais lui avancer les fonds.

Nous voilà partis chez Boulanger.

Antoine fait son choix à l'aide du vendeur, prend en prime le pack windows, l'assurance vol, la sacoche. Au moment de vérifier le stock, le vendeur nous dit qu'il n'a pas ce modèle. Il s'apprête à le commander. Ce n'est plus possible car pas de réapprovisionnement possible (alors pourquoi le laisser en exposition dans le magasin ?). Par contre, il y a le même modèle disponible à Tourcoing...

Devinez la suite.

Aller-retour à Tourcoing. On vient seulement de rentrer...

Mais Môssieur est content, il a son nouveau PC !

 

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25 juillet 2016

Explorateur de la rentrée littéraire 2016 !

Babeth, ma grande sœur, m’avait envoyé un mail en juin pour me faire connaître un site de lecture (lecteurs.com) où je pouvais participer à une sélection pour devenir "Explorateur de la rentrée littéraire 2016".

J’ai envoyé ma candidature et j’ai été retenue (il y a 50 explorateurs en tout).

Chaque « Explorateur » reçoit  4 titres (j’en ai reçu 3 pour le moment) à chroniquer pendant l’été.

Cela se découpe en plusieurs étapes :

-      « Le Rendez-vous de la page 100 », sur la fiche du livre concerné du site, il faut décrire notre sentiment de lecteur à ce moment du livre.

-      « La Chronique : on l’envoie à une journaliste littéraire qui la publiera vers le 12 août.

-      « Le Palmarès de la rentrée » : début septembre, sera établie la liste des 10 livres les plus appréciés.

-      « Les Ripostes des auteurs » : fin septembre, des auteurs  répondront aux questions des explorateurs, après la découverte du Palmarès.

J’ai lu les 3 livres reçus, mis sur le site « le rendez-vous de la page 100 » et transmis à la journaliste les 3 chroniques. J’attends le dernier livre à chroniquer…

 

22 juillet 2016

le coup du parrain, ça marche aussi avec les grandes soeurs...

Il y a quelque temps, Antoine n'arrivait pas à faire passer son hoquet.

Je lui explique que quand j'ai le hoquet, je pense à mon parrain et que ça s'arrête.

Il se moque, hausse les épaules et me dit qu'en plus il n'a pas de parrain.

Du coup, je lui dis de penser à Bédi, sa grande soeur, ce qu'il fait. Le hoquet s'en va... Incrédule, il me dit c'est un coup de chance.

Tout à l'heure au Mac Do, rebelote, de nouveau le hoquet. Il veut vérifier que ça marche vraiment, repense à sa grande soeur et hop plus de hoquet !!

Bédi, si tu lis ces lignes... Antoine ne pense pas à toi que quand il a le hoquet !!

21 juillet 2016

Celui que je rêvais d'être

Présentation de l’éditeur

Quel a été le chemin parcouru par Laurent Ournac avant de devenir l’une des personnalités préférées des français ?Dès son plus jeune âge, il se découvre une passion : la comédie. Son but ? Faire rire les gens. C’est donc avec humour et sincérité que la star de Camping Paradis nous dévoile les joies, les déboires et les rencontres qui ont ponctué sa vie professionnelle et personnelle. Sans complexe, il partage avec nous ses difficultés pour perdre du poids jusqu’à cette prise de conscience où maigrir était devenu une question de survie. La sleeve gastrectomie, opération chirurgicale encore peu connue en France, lui permettra d’atteindre cet objectif. Un témoignage qui nous entraîne dans l’intimité de l’acteur, depuis son enfance à aujourd’hui.

Laurent Ournac raconte sa jeunesse, son accession à la notoriété grâce à sa volonté farouche de devenir acteur. Il explique la prise de poids progressive, les régimes qui ne fonctionnent pas jusqu’à arriver à peser 146 kilos pour 1m77. Il découvre sur internet la possibilité de se faire opérer. Il prend RV avec un spécialiste qui lui explique les 3 possibilités (anneau gastrique, by-pass ou sleeve gastrectomie). S’ensuit un parcours médical aidé d’une psychologue et d’une diététicienne. L’opération fonctionne et il perd même davantage qu’il n’espèrait puisqu’il atteint 84 kilos.

C’est écrit dans des mots simples. Il souhaite se montrer tel qu’il est et montrer qu’il est le même avec ou sans les kilos mais que sans c’est mieux car il peut faire de nouveau plein de choses qui posaient problème en tant qu’obèse.

Tout s’est super bien passé pour lui. Parfois, c’est beaucoup plus compliqué, comme pour notre amie Flo mais à présent tout est rentré dans l’ordre et c’est très bien ainsi !

Je classe ce livre en 208ème position et lui donne une étoile.

16 juillet 2016

Le début des haricots

Présentation de l’éditeur

Anna, trentenaire au régime alimentaire aléatoire et à la vie sentimentale en dents de scie, exerce brillamment le métier de médecin urgentiste dans un hôpital parisien. Comme chaque année, son père, cardiologue autoritaire et réputé mais phobique de l'avion, envoie sa fille à San Francisco afin de présenter ses derniers travaux dans un congrès prestigieux. Au lendemain d'une garde particulièrement mouvementée, Anna s'envole sans grande conviction vers les États-Unis, par crainte des foudres paternelles plus que par réelle motivation scientifique.  Alors lorsqu'elle remarque à l'aéroport le panneau indicatif d'un stage de thérapie sur le thème du courage, elle se dit qu'il est peut-être temps de faire quelque chose...

Ce livre de Fanny Nodet-Gayral est très plaisant à lire (malgré les termes médicaux et certains mots compliqués : c'est là que l'on apprécie le dictionnaire intégré de la liseuse !). L’héroïne doit apprendre à dire « non » à son père despotique et cela passe par un stage de thérapie et de méditation. Il y a beaucoup d’humour et d’auto-dérision. Les personnages et les situations sont réalistes et le ton plein de justesse. Bref, un très bon moment de lecture.

Je classe ce livre en 138ème position et lui donne deux étoiles.

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16 juillet 2016

La solitude du gilet jaune

Présentation de l’éditeur

En se rendant à son travail chez Poplait, géant du yaourt, une jeune femme dynamique est obligée de faire une pause dans sa vie tourmentée car un pneu de sa voiture a crevé. En retard pour une réunion capitale, elle est condamnée à attendre sur un bord de route en portant le gilet jaune réglementaire. Pourtant, rien ne se passe comme prévu : le dépanneur tarde, les rencontres improbables s'enchaînent et ne se ressemblent pas. Un clochard-philosophe, une mamie fan de vodka, un neurochirurgien croisent son chemin pour le meilleur... ou pour le pire. Pendant que son ami Marc fait tout pour empêcher la terrible Agnès de lui voler son travail et Gladys sa patronne cyclothymique de la renvoyer, elle est témoin d'un étrange événement qui pourrait bien renverser l'avenir de Poplait et peut-être même le sien. Une panne et un gilet jaune peuvent-ils vraiment changer votre vie ?

L’idée de départ de Zoé Brisby est bonne. Le personnage principal tombe en panne, revêt son gilet jaune et attend la dépanneuse. Sauf que s’ensuit toutes une série de rencontres, plus improbables les unes que les autres : Le gamin de 10 ans en vélo qui lui cite Aristote ou Churchill, le professeur de philo qui a décidé de devenir SDF, la mamie qui se trimbale avec son thermos de vodka, les gendarmes qui font tout sauf l’aider, le détective privé, son ex, …

Et puis, si vous crevez en voiture, quel est votre premier réflexe ? Changer la roue non ? Et bien, elle, non. Elle appelle la dépanneuse. Il faut attendre qu’un homme s’arrête pour vérifier qu’elle a une roue de secours…

Et puis encore, le papa qui surgit de sa boîte après 25 ans de disparition et la fusion des deux entreprises réglée en une heure, c’est encore plus improbable…

Il y a pourtant de bonnes trouvailles et de l'humour mais le tout est un peu trop simpliste.

Je classe ce livre en 259ème position et lui donne une étoile

13 juillet 2016

N'oublier jamais

"Vous croisez au bord d'une falaise une jolie fille ? Ne lui tendez pas la main ! On pourrait croire que vous l'avez poussée." Il court vite, Jamal, très vite. A cause de sa prothèse à la jambe et autres coups du sort, il a un destin à rattraper. A Yport, parti s'entraîner sur la plus haute falaise d'Europe, il a d'abord remarqué l'écharpe, rouge, accrochée à une clôture, puis la femme brune, incroyablement belle, la robe déchirée, le dos face au vide, les yeux rivés aux siens. Ils sont seuls au monde ; Jamal lui tend l'écharpe comme on lance une bouée. Quelques secondes plus tard, sur les galets glacés de la plage déserte, gît sous les yeux effarés de Jamal le corps inerte de l'inconnue. A son cou, l'écharpe rouge. C'est la version de Jamal. Le croyez-vous ?

Comme le précédent livre de Michel Bussi, j’ai eu les 200 premières pages difficiles (sur les 543 que compte l’ouvrage). L’intrigue est un peu longue à se mettre en place mais après c’est assez génial et particulièrement bien construit. On ne découvre la vérité qu’à la toute fin car l’auteur sait nous lancer sur de fausses pistes. Et cette fois pas d’interrogations en suspens, tout est clair et bien ficelé.

Je classe ce livre en 54ème position et lui donne 3 étoiles.

5 juillet 2016

Contrat rempli !

Nous sommes allés au Lycée pour les résultats du bac ES.

Nous sommes arrivés vers 10 h. Antoine n'avait pas regardé avant les résultats sur internet.

Il a donc découvert son nom parmi les admis avec en prime une mention "assez bien".

Il a voulu faire celui qui ne l'avait pas eu quand il est revenu à la voiture mais j'avais, en l'attendant, consulté le site officiel.

On a dû attendre 14 h pour avoir le détail des notes et il s'avère qu'il a 13,80 de moyenne :

Il avait déjà eu l'année dernière pour les épreuves anticipées : 12 en français écrit (coef 2), 15 en français oral (coef 2), 16 en sciences (coef 2) et 10 en travaux personnels encadrés (opt).

Il a eu aux épreuves de cette année : 9 en histoire-géo (coef 5), 17 en maths (coef 5), 14 en sciences économiques (coef 7), 9 en sciences politiques (coef 2), 12 en anglais (coef 3), 14 en espagnol (coef 2), 12 en philo (coef 4), 16 en EPS (coef 2) et 20 en judo (coef 2).

Félicitations Antoine !

Estelle, sa cousine, a eu son bac S, avec une mention assez bien. Bravo ma nièce !!

Lucas, son copain de judo, est en rattrapage. On croise les doigts pour lui.

3 juillet 2016

Le jardin détrempé !

 

Il a beaucoup, beaucoup plu. A un endroit, il y a même une flaque d'eau dans le jardin (jamais arrivé depuis 20 ans !) et quand on marche dans la pelouse, cela fait floc, floc...

A priori, ce temps plait particulièrement aux hortensias, qui n'ont jamais eu autant de fleurs et de si belle taille :

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Le fond du jardin (avec les spirées japonais en début de floraison se mélangeant aux millepertuis envahissants et les hibiscus qui veillent sur le tout) fait un peu "fouilli" mais finalement j'aime bien ça :

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Voici une des rares roses arrivée à maturité. La plupart des boutons ne se sont pas ouverts par excès de pluie.

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Les spirées japonais vus d'un peu plus près. J'adore cette photo. Le mélange de blanc et de rose sur une même fleur et cet aspect duveteux :

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3 juillet 2016

Le réveil du coeur

Présentation de l’éditeur

Depuis la naissance de son petit-fils, Malo, le Vieux n'est pas franchement en odeur de sainteté dans la famille. Nanti d'un caractère de cochon et d'une allergie totale à la modernité, bloqué à jamais dans les Trente Glorieuses, il désapprouve à peu près tout ce qui constitue la vie de Jean, son fils, y compris le choix de sa compagne, avec laquelle le Vieux est incapable d'échanger trois mots. Jusqu'à ce mois d'août où, en désespoir de cause, on lui confie la garde de Malo... Entre le petit garçon de 6 ans et le vieillard irascible, le réveil du cœur a sonné.

Le livre est divisé en trois parties. La première, c’est Jean qui raconte. Son histoire avec Leila, les rapports avec son père, la naissance de son fils Malo. La seconde, c’est le Vieux, le grand-père de Malo, qui prend le relais. Il détaille la vraie découverte de son petit fils alors âgé de 6 ans quand il vient un mois chez lui à Lacanau. La troisième partie, plus courte, raconte la poursuite de la relation du grand-père et de son petit-fils grâce aux technologies modernes que le Vieux décriait jusqu’alors…

J’ai préféré la deuxième et la troisième partie, parce que dans la première, je sentais comme un décalage entre le personnage et les idées que l’auteur voulait faire passer comme s’il cochait des cases à chaque point abordé (quand il parle de facebook, du respect de la langue française, …)alors que dans la deuxième partie, elles correspondent aux idées du Vieux (la société de consommation qui amène à acheter plutôt qu’à réparer, les hommes qui épuisent la terre et la détériore petit à petit, …),  et du coup c’est plus « naturel ». Et puis surtout, l’intérêt du livre, c’est cette relation qui se noue entre le Vieux et son petit-fils et qui n’intervient réellement que dans cette deuxième partie.

Bref, j’ai réellement accroché une fois les 100 premières pages passées.

Je classe ce livre en 95ème position et lui donne 2 étoiles.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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