La rivière engloutie
Emilien Marillac, nommé curé de la petite paroisse de la Combe-Noire pour son premier sacerdoce, découvre la pauvreté, la maladie et la souffrance d’un monde rude. Bien décidé à améliorer le quotidien de ses ouailles dans ce recoin perdu de la vallée de la Dordogne, il fonde, contre l’avis de tous, une congrégation de sœurs gardes-malades avec des femmes du village : la jeune Marie et la dévouée Johanna sont ses premières recrues. Au fil des ans, avec obstination et courage, Emilien va se battre pour redonner un peu d’humanité à ce lieu austère…
Dans la rivière engloutie (dont on ne comprend le titre qu’à la toute fin du livre) de Louis-Olivier Vitté, on suit ce curé de campagne qui vit dans le dénuement le plus total. Il gardera jusqu’à la fin une volonté toujours intacte de réhabiliter des anciens lieux de cultes, couvents, monastères ou chapelles afin d’y accueillir les sœurs toujours plus nombreuses rejoignant les rangs de sa congrégation de gardes-malades.
C’est une belle histoire et en même temps, il ne se passe pas vraiment grand-chose. C’est pourquoi je classe ce livre en 142ème position et ne lui donne aucune étoile.