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Le petit monde de So et de Fi

3 juillet 2016

Le jardin détrempé !

 

Il a beaucoup, beaucoup plu. A un endroit, il y a même une flaque d'eau dans le jardin (jamais arrivé depuis 20 ans !) et quand on marche dans la pelouse, cela fait floc, floc...

A priori, ce temps plait particulièrement aux hortensias, qui n'ont jamais eu autant de fleurs et de si belle taille :

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Le fond du jardin (avec les spirées japonais en début de floraison se mélangeant aux millepertuis envahissants et les hibiscus qui veillent sur le tout) fait un peu "fouilli" mais finalement j'aime bien ça :

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Voici une des rares roses arrivée à maturité. La plupart des boutons ne se sont pas ouverts par excès de pluie.

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Les spirées japonais vus d'un peu plus près. J'adore cette photo. Le mélange de blanc et de rose sur une même fleur et cet aspect duveteux :

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3 juillet 2016

Le réveil du coeur

Présentation de l’éditeur

Depuis la naissance de son petit-fils, Malo, le Vieux n'est pas franchement en odeur de sainteté dans la famille. Nanti d'un caractère de cochon et d'une allergie totale à la modernité, bloqué à jamais dans les Trente Glorieuses, il désapprouve à peu près tout ce qui constitue la vie de Jean, son fils, y compris le choix de sa compagne, avec laquelle le Vieux est incapable d'échanger trois mots. Jusqu'à ce mois d'août où, en désespoir de cause, on lui confie la garde de Malo... Entre le petit garçon de 6 ans et le vieillard irascible, le réveil du cœur a sonné.

Le livre est divisé en trois parties. La première, c’est Jean qui raconte. Son histoire avec Leila, les rapports avec son père, la naissance de son fils Malo. La seconde, c’est le Vieux, le grand-père de Malo, qui prend le relais. Il détaille la vraie découverte de son petit fils alors âgé de 6 ans quand il vient un mois chez lui à Lacanau. La troisième partie, plus courte, raconte la poursuite de la relation du grand-père et de son petit-fils grâce aux technologies modernes que le Vieux décriait jusqu’alors…

J’ai préféré la deuxième et la troisième partie, parce que dans la première, je sentais comme un décalage entre le personnage et les idées que l’auteur voulait faire passer comme s’il cochait des cases à chaque point abordé (quand il parle de facebook, du respect de la langue française, …)alors que dans la deuxième partie, elles correspondent aux idées du Vieux (la société de consommation qui amène à acheter plutôt qu’à réparer, les hommes qui épuisent la terre et la détériore petit à petit, …),  et du coup c’est plus « naturel ». Et puis surtout, l’intérêt du livre, c’est cette relation qui se noue entre le Vieux et son petit-fils et qui n’intervient réellement que dans cette deuxième partie.

Bref, j’ai réellement accroché une fois les 100 premières pages passées.

Je classe ce livre en 95ème position et lui donne 2 étoiles.

26 juin 2016

Maman a tort

Présentation de l’éditeur

Rien n'est plus éphémère que la mémoire d'un enfant de trois ans et demi...  Mais quand Malone raconte avec ses mots d'enfant que sa maman n'est pas sa vraie maman, même si cela semble impossible, le psychologue scolaire le croit.  Il est le seul... Il doit agir vite. Trouver de l'aide. Découvrir la vérité cachée.  Car déjà, les souvenirs de Malone s'effacent...

L’histoire est un peu longue à démarrer, sans réel rebondissement dans les 150 premières pages (sur 542 au total). Il y a ensuite quelques invraisemblances dans le roman de Michel Bussi (le MP3 qui ne se décharge jamais, l’enfant de 3 ans qui se rappelle de bien trop de choses, l’anticipation incroyable, quasi impossible, du stratège qui tire les ficelles, …). Et puis, la fin n’a pas été si surprenante, on la pressent bien avant la fin du livre. Cela reste un livre très agréable à lire, une intrigue intéressante et des personnages bien campés et bien décrits. C’est le quatrième livre de Michel Bussi que je lis (« un avion sans elle » classé actuellement en 35ème position, « les nymphéas noirs » classé en 216ème position et « ne lâche pas ma main » en 222ème position)

Je classe ce livre en 197ème position et lui donne une étoile.

20 juin 2016

Tu comprendras quand tu seras plus grande

Présentation de l’éditeur

Quand Julia débarque comme psychologue à la maison de retraite Les Tamaris, elle ne croit pas plus au bonheur qu’à la petite souris. Pire, une fois sur place, elle se souvient qu’elle ne déborde pas d’affection pour les personnes âgées. Et dire qu’elle a tout plaqué pour se sauver, dans tous les sens du terme. Au fil des jours, Julia découvre que les pensionnaires ont bien des choses à lui apprendre. Difficile pourtant d’imaginer qu’on puisse reprendre goût à la vie entre des papys farceurs, des mamies fantaisistes et des collègues au cœur brisé… Et si elle n’avait pas atterri là par hasard ? Et si l’amour se cachait là où on ne l’attend pas ? C’est l’histoire de chemins qui se croisent. Les chemins de ceux qui ont une vie à raconter et de ceux qui ont une vie à construire.

C’est une histoire agréable à lire. L’héroïne se prend d’amitié pour les résidents de la maison de retraite où elle est psychologue et elle apprend beaucoup de leur expérience. Il y a de jolies réflexions sur la vie et sur la mort, sur la vieillesse et l’expérience. Le « rebondissement » du 103ème chapitre est pour moi presque superflu (comme si l’auteure, Virginie Grimaldi, devait absolument nous surprendre pour que son livre soit apprécié), ou alors pas très bien amené (l’auteure est amenée à livrer une sorte de mensonge pour que son rebondissement puisse être possible) ou alors d’un mécanisme un peu compliqué (rien n’empêchait Julia de mettre sa mère dans la confidence, tout ça pour ça !).

Je classe ce livre en 116ème position et lui donne 2 étoiles.

 

20 juin 2016

Noces de turquoise

Aujourd'hui, 18ème anniversaire de mariage, ce sont nos noces de turquoise :

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Comme à son habitude, mon homme n'a rien prévu (il y a pensé, c'est déjà bien, ...).

Pour lui, difficile de choisir un bijou en turquoise, alors il a juste la couleur :

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mais pour moi, oui :

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17 juin 2016

La répétition crée la notion ?

Vous n'avez jamais remarqué comment les publicitaires nous prennent, soit pour des sourds, soit pour des benêts ?

Quasiment systématiquement l'information est répétée sous forme d'un dialogue plus ou moins bien réussi d'ailleurs où le deuxième interlocuteur fait l'étonné et répète exactement ce qu'a dit le premier et ce dernier répète à nouveau pour confirmer.

Je sais bien que la répétition crée la notion mais quand même, ce que cela peut être pénible...

C'est le cas dans un tas de publicités, pour ne citer par exemple que celle de la SEAT IBIZA (3 répétitions), le Quinté plus (3 fois aussi) ou bien encore avec Lidl...

Ils devraient se renouveler un peu et trouver d'autres idées, non ?

 

12 juin 2016

Merci pour votre soutien !

Au terme de l’année scolaire, le conseil de classe au 3ème trimestre attribue à chaque élève, un avis pour le Bac. Il figure sur le livret scolaire, consulté par le jury du Bac, lors des délibérations.

Un avis « Très favorable » incite à donner un coup de pouce pour obtenir une mention; L’avis « Favorable » aide davantage ceux à qui il manque quelques points, pour décrocher le diplôme, ou une mention. Enfin « Preuves » signifie que les élèves devront faire leurs preuves à l’examen.

Antoine n’a pas eu d’avis « favorable » pour cause d’absences trop nombreuses. Or, ses absences sont le résultat des départs pour des compétitions de judo. Son ami Lucas est exactement dans la même situation.

Petit rappel, si Antoine s’est retrouvé dans ce Lycée à 70 km de la maison (et en internat) c’est parce qu’il a fait les tests et été sélectionné par le Pôle Espoir de Judo. Et ce lycée se vante de promouvoir le sport puisqu’il accueille des jeunes en sections sportives (judo ou handball).

Mais lorsqu’il s’agit de mettre un avis favorable à un élève qui, en plus des cours fait 15 h de judo par semaine, non, on lui reproche ses absences, elles-mêmes justifiées par la vie scolaire !!!

Sur les 3 années de lycée, Antoine aura connu 3 proviseurs... Seul le premier était réellement impliqué et motivé par l'action des sections sportives.

Quand Antoine était en première, il a même fallu se battre avec d'autres parents pour que le Lycée retire les cours qu'ils leur avaient mis le samedi... histoire de dormir 6 nuit sur 7 à l'internat...

11 juin 2016

Alors voilà, les 1001 vies des urgences

Présentation de l’éditeur

Un jeune couple arrive aux urgences. Elle a des douleurs au bas-ventre. L’interne s’interroge sur la possibilité d’une grossesse. Elle ne prend pas sa pilule de manière très sérieuse. « Du coup, quand elle l’oublie, c’est moi qui la prends », dit son compagnon. Baptiste Beaulieu est un jeune interne en médecine de vingt-sept ans, en stage dans le sud-ouest de la France. En novembre 2012, il crée le blog « Alors voilà ». Son but : réconcilier les soignants et les soignés en racontant, avec humour et sensibilité, l’incroyable réalité de l’hôpital. Le succès est immédiat et le blog compte, à ce jour, 2 millions de lecteurs. Ce blog est devenu un livre, riche en anecdotes inédites. Voilà le récit au quotidien d’un interne en médecine. Il fait des allers-retours entre son poste aux urgences et les soins palliatifs. Là, pendant sept jours, il décrit à une patiente en stade terminal (dans la Chambre 7), ce qui se passe sous les blouses et dans les couloirs. Pour la garder en vie le temps que son fils, bloqué dans un aéroport, puisse la rejoindre. Se nourrissant de situations vécues par lui ou par ses collègues, chirurgiens ou aides-soignants, Baptiste Beaulieu passe l’hôpital au scanner. Il peint les chefs autoritaires, les infirmières au grand cœur, les internes gaffeurs, les consultations qui s’enchaînent... Par ses histoires drolatiques, poignantes et tragiques, il restitue tout le petit théâtre de la Comédie humaine.

J’ai beaucoup aimé ce livre du Docteur Baptiste Beaulieu. Il y a beaucoup d’humanité et de réflexions sur la vie (et sur la mort). Chaque histoire est surtout l’occasion une rencontre avec l’autre, qui vient se faire soigner, mais qui est avant tout un humain avec sa propre expérience et son passé. L’auteur explique bien les différentes situations rencontrées pour que des lecteurs non initiés aux termes médicaux puissent comprendre. Il décrit le milieu hospitalier avec ses joies et ses difficultés.

Je classe ce livre en 108ème position et lui donne deux étoiles.

11 juin 2016

Un humour différent ?

Ce matin, en allant à la déchetterie, nous suivions une camionnette de livraison de pains.

Au rond-point, JP râle d'un "Mais pourquoi elle s'arrête ?" car la camionnette stoppe alors qu'il n'y a absolument personne qui arrive sur sa gauche.

Et moi de répondre : "ben, c'est normal, il y a marqué "arrêt fréquent" sur la porte arrière !".

Cela n'a pas fait rire, ni même sourire mon cher et tendre époux, mais moi oui.

Je rigole encore de ma blagounette en vous la racontant ici...

6 juin 2016

Juste après dresseuse d'ours

Présentation de l'éditeur

Petite, je voulais faire dresseuse d'ours. Et puis ça m'a passé et j'ai fait docteur. Généraliste remplaçante. Mais quand même, depuis douze ans (entre la fac, l'hôpital et le cabinet), j'ai eu le temps de voir un paquet de choses absurdes, terrifiantes, émouvantes, révoltantes, rigolotes. J'ai eu le temps de dire un paquet de conneries, et d'en faire quelques-unes. J'ai eu le temps de mettre de côté un paquet d'histoires à raconter.  J'ai eu envie de les écrire, d'abord pour ne pas oublier ce qui me scandalisait à l'époque de l'hôpital, pour ne pas me laisser aller à m'habituer. Puis pour vomir ma frousse de me voir parfois si impuissante. Puis pour partager les rencontres, les fragments de victoires, les bouts de vie savourés. Ces histoires, je les livre brutes, dans le désordre, comme je les ai vécues et comme elles me reviennent.

Tout le monde en prend pour son grade dans ce livre (issu d’un blog) du Docteur Jaddo : les patients, l’hôpital, les chefs de service, les collègues, les infirmières, l’URSSAF, l’administration, la faculté, …  J’ai bien aimé l’humour, l’humilité et l’auto-dérision. Cela permet de voir les choses du côté de l’apprenti médecin puis du médecin généraliste. Elle nous fait partager les difficultés qu’elle rencontre mais aussi et surtout l’amour de son métier.

Je classe ce livre en 104ème position et lui donne 2 étoiles.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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