Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Le petit monde de So et de Fi

18 juin 2017

Hortillonnage d'Amiens

Hier, nous sommes allés pour la première fois aux Hortillonnages d'Amiens.

Ce sont des jardins flottants sur l'Etang de Clermont que l'on peut visiter en barque et à pied. On suit un parcours indiqué sur un plan.

DSC_0009

Il y a aussi des oeuvres d'art disséminées sur chaque île.

Ci-dessous "un habitacle" de Mengzhi Zheng :

DSC_0010

Petite pause sous les arbres :

DSC_0013

"Les 3 soeurs" du Collectif escargot , il s'agit de 3 plantes entrelacées représentant un mini-écosystème auto-suffisant, chacune aidant l'autre et enrichissant la terre :

DSC_0018

"Le jardin d'Erode" de Mathieu Gontier :

DSC_0022

"Le réservoir" de Matthieu Pilaud :

DSC_0027

"Les Waders" de Stéphanie Cailleau :

DSC_0036

"La sphère nourricière" de Manon Bordet-Chavanes, Marie Brégeon et Johann Laskowski :

DSC_0057

"Fragments" du Collectif Gama avec des sphères de plantes suspendues :

DSC_0075

"L'hydrophone" du collectif PIP Partnership Ltd. Faites le 1, vous entendrez un canard, faites le 2, vous entendrez... la faune !

DSC_0089

"L'île perdue" (sûrement notre préférée !) :

DSC_0092

"Le Module - Mouvement n° 13" :

DSC_0108

Après la ballade en bateau de 2 h 30 avec arrêts fréquents sur les îlots, nous avons marché jusqu'à l'ïle aux Fagots.

Petite pause dans un hamac au sein d'une houblonnière "Small is beautifull" de l'Atelier du Grunderg :

DSC_0120

"Arcane" de Yuhsin U Chang :

DSC_0123

"Entailles" de Wilson Trouvé :

DSC_0127

C'était une chouette découverte faite par un temps magnifique.

A refaire, avec Antoine peut-être... qui sera au moins intéressé par le maniement du bateau (moteur électrique donc silencieux !).

Bref, on a beaucoup aimé !

Publicité
Publicité
17 juin 2017

Combien de temps

Présentation de l’éditeur

Une fille. Une mère. La cruauté de l'attente. Un récit au jour le jour d'un combat inégal, écrit pour être plus forte et rendre l'autre plus forte peut-être. Un dialogue qui n'a pas eu lieu, qui ne le pouvait d'ailleurs pas, poignant, unique et ordinaire à la fois, cathartique - une lettre d'amour et de douleur impossible à envoyer, la mise en mots d'une blessure à mesure qu'elle s'est creusée, jusqu'à l'inéluctable et inacceptable dénouement. " Nous sommes aujourd'hui le 16 janvier 2009. En août 2008, après deux longs mois d'examens, ma mère a appris, à cinquante ans, qu'elle avait un cancer du poumon. Voici, du mieux que je pourrais la raconter, l'histoire d'une personne parmi des millions d'autres ".

C’est le quatrième livre consécutif que je lis d’Amélie ANTOINE qui j’ai découvert il y a peu avec « Quand on a que l’humour », puis « Fidèle au poste » et « Au nom de quoi ».

L’auteure a le mérite de dire certaines choses sur la relation avec les autres quand le cancer survient que j’ai peu lu ailleurs. Ma maman, qui a eu plusieurs cancers, se reconnaîtrait dans certaines pensées, notamment la difficulté, voire l’impossibilité que les autres ont à parler de votre maladie. Mais la ressemblance s’arrête là, car la mère de l’auteur reproche à ses proches (mari et filles) de lui avoir fait rater sa vie (!) et est absolument insupportable avec eux (surtout avec son mari) car ma maman à moi aurait plutôt eu tendance à ne vouloir déranger personne en tant que patiente… Maman, dis-moi si je me trompe !

Ce qui m’a gêné par ailleurs, c’est que dès le début de son « journal de bord », elle dit qu’elle va en faire un livre. Qu’elle ressente le besoin d’écrire pour se soulager un peu comme elle peut, d’accord, mais savoir qu’elle va vouloir en tirer « profit » dès le début me perturbe un peu. Dans les précédents livres que j’ai lus ayant attrait à cette maladie, c’était différent. David Servan Schreber, par exemple, dans « On peut se dire au revoir plusieurs fois » parle de sa situation à lui et dans « Nos étoiles contraires » de John Green, il s’agit d’un roman.

Bref, je classe ce livre en 215ème position et lui donne une étoile.

15 juin 2017

Au nom de quoi

Présentation de l'éditeur

Abigaëlle, Philippe, Sofiane, Bastien, Léopold, Margot, Daphné, Théo, Lucas, et Romane. Le 13 novembre 2015, tous verront leur vie basculer au Bataclan. Les personnages de cette histoire sont fictifs. Imaginés, inventés. Tels peut-être qu’ils ont habité vos pensées, car ils sont nous tous. Ce texte est un roman, mais c’est avant tout un hommage à toutes les victimes de ce jour-là. Celles qui n'ont pas survécu, celles qui luttent aujourd'hui pour continuer simplement à vivre. Au nom de quoi n'est pas un témoignage. Ou plutôt si, c'est celui de la plus intolérable des réalités.

C’est le troisième livre d’affilée que je lis d’Amélie Antoine et j’ai beaucoup aimé aussi « Au nom de quoi ». L’auteure se sert de ce livre un peu comme une thérapie mais elle explique que cela ne fonctionne pas réellement car l’horreur est toujours là. Elle a ressenti le besoin de mettre des mots pour évacuer une forte émotion à la vue des images et des faits retransmis à la télévision et aussi pour ne pas oublier.

Cela sonne juste même si l’on sait que les personnages sont inventés et les sentiments qu’elle décrit sont ceux que chacun de nous aurait pu avoir dans une telle situation de terreur et d’incompréhension. J’ai ressenti beaucoup d’émotions à la lecture de ce livre.

La moitié des bénéfices tirés de ce roman est reversée à une association œuvrant en faveur des victimes du terrorisme.

Je classe ce livre en 36ème position et lui donne 3 étoiles.

12 juin 2017

Fidèle au poste

Présentation de l'éditeur

Mai 2013. Chloé et Gabriel, mariés depuis plusieurs années, mènent une existence heureuse à Saint-Malo, jusqu’au jour où la jeune femme trouve la mort au cours d’une baignade. Gabriel, incapable de surmonter seul son chagrin, se décide à chercher du soutien auprès d'un groupe de parole. Il fait alors la connaissance d’Emma, une photographe récemment arrivée en ville, qui l’aide à traverser cette épreuve du deuil. Pourtant, Chloé semble toujours très présente – trop peut-être ? - et Gabriel ne parvient pas à l’oublier et à se reconstruire aussi facilement. Que s’est-il réellement passé ? Qu'est-il véritablement arrivé à la jeune femme ? Emma est-elle vraiment celle qu’elle semble être ? Et si la réalité n'était pas telle que le jeune veuf la voit ? Ce roman à suspense, où rien ni personne n'est vraiment ce que l'on croit, vous fera vous poser bien des questions sur notre monde...

Chloé

Bien sûr, je n’ai jamais imaginé qu’on en arriverait là. Tout ce que je voulais, c’était une vie un peu au-dessus de celle des autres, un peu plus précieuse, un peu plus lumineuse. Ce n’est pas ce dont on rêve tous ?

Gabriel

Finalement, on croit connaître les autres, mais ce n’est qu’une illusion. Et on croit se connaître soi-même, alors qu’à chaque instant, selon les circonstances, selon les personnes qu’on a en face de soi, on est quelqu’un d’autre.

Emma

À un moment, la situation m’a échappé, alors que je pensais tout maîtriser. J’ai cru que l’ambition était l’unique moteur valable dans la vie, mais j'ai découvert à quel point je me trompais.

Une intrigue à trois voix qui ne vous emmène jamais là où vous l’attendez...

Surprenant, ce roman est tout simplement surprenant. J’avais beaucoup aimé « Quand on n’a que l’humour » d’Amélie Antoine que j'ai lu juste avant (voir mon billet du 7 juin) et j’ai eu envie de renouveler l’expérience avec « Fidèle au Poste ». J’ai adoré ! Je suis rarement étonnée, peut-être parce que le fait de lire beaucoup permet de voir arriver les ficèles plus facilement. Eh bien là, c’est carrément différent. Par deux fois, l’auteure m’a surprise. Les 3 premiers chapitres m’ont laissée un peu mal à l’aise car on sait dès le départ que quelque chose ne nous ait pas dit mais ensuite, on pense savoir ce que c’est, alors que pas du tout. Et le titre est particulièrement bien trouvé !

Je classe ce livre en 21ème position et lui donne 3 étoiles.

11 juin 2017

Mon mari ne sait pas nager

Mon mari ne sait pas nager.

Vous allez me dire que ce n'est pas un cas unique.

Ok, sauf qu'il a suivi 17 leçons de septembre à février pour apprendre (voir mes différents billets sur le blog), qu'il en avait déjà eu une dizaine 3 ans auparavant avant que l'autre piscine ne prenne feu, qu'il a arrêté il y a 4 mois parce qu'il avait de l'eczéma sur les mains (qu'il pense avoir attrapé à la piscine justement, alors que non !), qu'il aurait pu reprendre il y a 2 mois quand l'eczéma a été soigné mais qu'il ne veut plus y retourner (de peur de rattraper quelque chose, alors que non !).

Du coup, aujourd'hui, nous sommes allés à une autre piscine. Résultat, incapable de se lâcher du bord parce qu'il y avait 3 mètres de profondeur dans le grand bain (2 mètres, cela aurait été pareil de toute façon).

Donc, conclusion, mon mari ne sait pas nager. Malgré ses 17 leçons, il continue à avoir peur.

Je ne vois pas de solution. Il me dit qu'il va prendre des leçons dans cette autre piscine (à plus d'une demi-heure de la maison...).

Bref, je suis un peu désabusée et triste aussi...

Publicité
Publicité
7 juin 2017

Quand on n'a que l'humour...

Présentation de l’éditeur

Imaginez... Vous êtes Édouard Bresson, l'humoriste préféré des Français. Le moindre de vos spectacles se joue à guichets fermés, tout le monde vous adule et vous envie. Mais à chaque tournée, au premier rang, une place reste désespérément vide. Et à chaque fois, votre cœur se déchire un peu plus. Imaginez que la France entière vous aime. La France entière, sauf votre fils, qui ne vient jamais vous applaudir. Parce qu'il vous déteste de l'avoir négligé toute son enfance. Parce qu'il a laissé la colère et le ressentiment le dévorer et que vous n'avez rien fait pour l'empêcher de s'éloigner. Imaginez ce que vous feriez si, à force de toujours remettre à plus tard, vous réalisiez soudain qu'il est peut-être désormais trop tard pour rattraper vos erreurs. Imaginez que vous ayez tout, absolument tout pour être heureux. Sauf l'essentiel.

J’ai franchement beaucoup aimé ce livre d’Amélie Antoine. Un père, emporté par la célébrité, n’a pas su garder le contact avec son fils. Ce fils, qui découvre peu à peu ce père grâce à un jeu de piste conçu par celui-ci. C’est beau, c’est finement décrit, cela sonne juste. Ressort de ce livre, la difficulté parfois toute bête à dire à ses proches qu’ils sont importants pour nous.

Je classe ce livre en 64ème position et lui donne 3 étoiles. A lire !!

4 juin 2017

Le psy, le caniche... et moi

Présentation de l’éditeur

UN MARI PSY QUI LA TROMPE... nie farouchement l'évidence et n'applique aucun des principes qu'il conseille à ses patients. UN FILS ADO MANIAQUE DE LA PROPRETÉ... dont la consommation d'eau et de savon rivalisent ceux d'une blanchisserie. UNE VIEILLE TANTE DÉJANTÉE... sur le point d'être chassée de sa maison de convalescence pour cause de soirées karaoké. ÉGALEMENT : une Charlotte bien décidée à surmonter les embûches... par le RIRE. Avec le soutien de deux amies et celui, inattendu, d'un vieux client qui confond retraite avec nouvelle jeunesse. Entre assassinat de smartphone, pancakes aux myrtilles et course-poursuite dans un palace s'ensuit une comédie gaie, vitaminée, aux personnages attachants en proie à de multiples rebondissements.

J’ai bien aimé. Le style est facile (par contre, il y a des fautes d’orthographe, des mots manquants -voire carrément des fins de phrase !-, de mot pour un autre, … soit un gros problème de relecture) et dynamique. On aime les personnages bien campés et on suit leurs aventures avec plaisir. C’est divertissant et donc un bon moment de lecture. L'auteure est en train d'écrire la suite...

Je classe ce livre en 70ème position et lui donne 3 étoiles.

2 juin 2017

Le dernier facteur

Présentation de l’éditeur

Valentin, jeune facteur, livre tous les mardis à un vieux monsieur, Pierre, une lettre parfumée et marquée de rouge à lèvres. Ce rendez-vous devient le seul bonheur de la vie monotone du jeune homme, et des liens se tissent entre les deux âmes solitaires sans qu'ils aient besoin de beaucoup parler. Lorsque Pierre meurt, les lettres continuent à arriver. Valentin, très affecté par la disparition de son ami, décide de retrouver la mystérieuse expéditrice pour lui annoncer la triste nouvelle.

Bof, bof. Nous voilà en 2027. Les facteurs ont été remplacés par des drones. Tous sauf un. Pourquoi le vieux monsieur est-il encore le seul à ne pas voir son courrier livré par un drone ? Mystère. Ensuite, le couplet sur la modernisation, les courriers numériques qui remplacent les courriers papiers et suppriment les contacts humains apportés par les facteurs nous est servis à maintes reprises. La détective privée qui arrive en deux jours à retrouver une personne dans une parfumerie parce qu’elle achète un certain parfum et un certain rouge à lèvres alors là chapeau (elle indique qu’elle ne peut fournir ses sources pour avoir cette information, et pour cause !). Personnellement, une bouteille de parfum me dure 6 mois, voire même un peu plus... Alors faire le planton et tomber directement sur la personne que l’on cherche parce qu’elle vient justement à la parfumerie ce jour-là, incredible ! Quant au facteur qui ne livre qu’une lettre par semaine et le reste du temps fait le ménage chez lui a tout de l’anti-héros. Bref, beaucoup d’approximations et d’incohérence dans ce roman.

Je classe ce livre en 379ème position et ne lui donne pas d’étoile.

31 mai 2017

Bertrand et Lola

Présentation de l’éditeur

L'histoire de Bertrand et Lola, c'est l'histoire des choix qu'on effectue pour de bonnes raisons, et qui nous enferment à jamais. Ainsi, Bertrand et Lola pensaient tout contrôler. Mais l'amour ne se laisse pas faire ! Pourquoi Lola a-t-elle sonné à cette porte ? Pourquoi Bertrand a-t-il ouvert ? Comment peut-on tomber amoureux en dix secondes ? Durant quelques heures d'un bonheur insoupçonné, Bertrand et Lola vont s'aimer et tout oublier. Lui, qu'il est photographe, épris de liberté. Elle, qu'elle est hôtesse de l'air, sur le point de se marier. Pourtant, ensemble, ils prennent la plus sage et la pire des décisions : poursuivre leur chemin et leurs carrières respectives. Mais quand on est envahi par un si grand amour, tout devient plus fort, l'absence, le manque, l'attente, le besoin, le remords. Piégés dans leur propre vie, comment Bertrand et Lola pourront-ils se libérer ?

C’est le troisième livre que je lis d’Angélique Barberat. J’avais adoré « l’instant précis où les destins s’entremêlent » (classé en 41ème position avec 3 étoiles) plein de finesse et de justesse dans la description de l’enfer vécu par une femme maltraitée par son mari et la rencontre avec un homme sensible qui détecte immédiatement sa situation car identique à celle que sa mère à lui a vécu. J’avais moins aimé « la vie enfouie de Martha K » que j’avais trouvé plus confus (classé en 195ème position avec une étoile).

J’ai malheureusement retrouvé cette confusion dans ce livre « Bertrand et Lola ». Je sais qu’il y a une suite et j’ai failli acheter les deux en même temps (pour la modique réduction de 2 euros !) mais j’ai été prudente en me disant que je n’allais peut-être pas apprécier le premier. J’ai bien fait, je ne lirai pas le tome 2 (j’imagine, à tort sûrement, qu’on resigne pour un tour, ils se reperdent de vue tout le livre pour se retrouver à la fin).

Le style est lourd et pompeux. On ne sait jamais qui parle, il faut revenir en arrière pour deviner quel protagoniste a parlé. Les idées s’enchaînent de façon farfelue parfois et désoriente la lectrice que je suis. Il y a beaucoup trop de longueurs.

J’ai le sentiment qu’à vouloir trop bien écrire, l’auteure en perd le fil et toute fluidité. C’est tout à fait cela, pour moi, rien n’est fluide dans ce roman. Je me suis ennuyée (10 jours pour en venir à bout !).

Souvent je me prends de sympathie pour les personnages. Ici, je ne m’y suis pas attachée, je suis restée insensible aux malheurs de Bertrand et de Lola. Tout aurait été tellement plus simple s’ils avaient échangé leurs coordonnées dès le départ ! Cela aurait évité 591 pages de lamentations.

Je classe ce livre en 351ème place et ne lui donne pas d’étoile.

29 mai 2017

Demi-finales séniors

 

Hier, Antoine combattait aux demi-finales séniors (ayant terminé 1er des départementales séniors).

Il gagne son premier combat en marquant tout d'abord un waza ari sur sumi gaeshi puis ippon au sol sur immobilisation :

DSC_0141

Il gagne ensuite son deuxième combat par ippon sur sumi gaeshi :

DSC_0156

En quart de finale, il perd par une immobilisation au sol :

DSC_0178

Comme son adversaire précédent arrive en demi-finale, Antoine est repêché. Il gagne son quatrième combat grâce à un son kaku (immobilisation de la tête de son adversaire entre ses jambes) :

DSC_0187

Antoine va en finale de repêchage pour tenter de prendre la 3ème place mais perd sur une clé de bras :

DSC_0195

Du coup, il n'est pas qualifié pour la finale du championnat de France séniors car il termine 7ème (sur 23 judokas) "avec du très bon boulot dans une catégorie très forte", ce n'est pas moi qui le dit mais son club (voir la page facebook du club Arts Martiaux Condé). Il est tout de même content de sa compétition.

Lucas, son ami et colocataire, termine 3ème (en moins de 60 kilos) et se qualifie. Aurélien ne se qualifie pas (en moins de 90 kilos).

Publicité
Publicité
Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 212 400
Publicité