Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Le petit monde de So et de Fi

27 septembre 2023

La nuit imaginaire

Quatrième de couverture :

"L'automne. J'y décelais une invitation inédite à remettre à l'heure les aiguilles de mon présent. Après l'hiver, plus rien ne serait jamais figé". Un étudiant sans véritables attaches, plus enclin à rêver sa vie qu'à la vivre, se prend la réalité de plein fouet quand sa tante lui révèle les circonstances précises du suicide de sa mère un matin de septembre gare de Lyon. Il avait six ans alors. Cette annonce l'expulse de son quotidien immobile et l'ébranle : mais que faire d'une vérité pareille ? Chercher à la comprendre en rencontrant quelques vieilles amies qui ont connu sa mère à l'époque ? Chercher à s'en éloigner en franchissant une frontière, celle de la boîte du Hangar, où les fantasmes de garçons s'assouvissent enfin loin et tard dans la nuit ? Tout est soudain possible ou nécessaire dans ce Paris qu'il traverse comme on traverse le passé. Il est peut-être temps de quitter les nuits imaginaires et d'avoir le courage de se jeter "pour la beauté du geste, la tête la première dans le grand bain".

Franchement, j’ai trouvé ce livre d’Hugo Lindenberg très pénible à lire. J’en ai entendu parler sur RTL où Laurent Ruquier l’interrogeait. Et je n’ai pas vraiment reçu le témoignage de l’auteur sur le suicide de sa mère comme Laurent Ruquier l’a présenté.

Je m’attendais à une sorte de remontée à la source pour comprendre le pourquoi de ce geste en rencontrant les personnes l’ayant connu à cette époque. Alors, certes oui, il rencontre Suzy Zaltmman, Gloria et Ibrahim Gabbai mais ils ne lui apportent pas vraiment de réponses. La majeure partie du livre est consacrée aux nuits de débauche au Hangar où il a des rapports sexuels avec des tas de garçons (sans protection bien évidemment), ou alors il va à des fêtes où il s’ennivre systématiquement.

Alors, non, je n’ai pas aimé ce livre, d’autant plus qu’il m’a fallu souvent relire des paragraphes car il est facile de perdre le fil de sa pensée tellement il s’éparpille dans tous les sens.

Je classe ce livre en 733ème position et lui donne un moins.

Publicité
Publicité
25 septembre 2023

Velotour - 4ème édition

Hier, nous avons participé, pour la 4ème fois au vélotour de Valenciennes.

Départ, depuis la zone commerciale du coeur de ville, on était les premiers !!

IMG_4925

 

Le parcours nous a ensuite amenés au Parc de la Rhonelle :

IMG_4928

 

puis au centre aquatique de Nungesser, où on a longé les bassins :

IMG_4935

 

Comme chaque année, il y a l'étape incontournable du Stade du Hainaut :

IMG_4941

 

Ensuite, nous sommes allés à la salle du Hainaut où il y avait un trio de musiciens :

IMG_4946

 

Enuite, direction le centre technique municipal :

 

IMG_4952

 

Nous sommes passés par la station d'épuration de Valenciennes avant de traverser le gymnase des Tertiales :

IMG_4957

 

Ensuite, nous sommes allés à l'Université Polytechnique Hauts-de-France au Campus des Tertiales :

IMG_4959

 

Avant de nous retrouver sur la scène du Phénix (salle nationale pôle européen de création) :

IMG_4962

 

Ensuite, détour par le magnifique bâtiment de Valenciennes Métropole :

IMG_4964

 

Il y avait une boucle optionnelle de 7 km (en plus des 13 initiaux) qui nous a fait passer par le Centre d'Incendie et de Secours d'Anzin :

 

IMG_4966

 

et la cité des congrès où il y avait un orchestre :

IMG_4971

 

On a, cette année encore, apprécié la gentillesse et la bonne humeur des bénévoles, les animations, le ravitaillement, ainsi que l'organisation parfaite (fléchage, aide pour traverser les routes, ...).

Par contre, cela manque un peu de nouveaux sites à traverser. Mais bon, on a passé une matinée fort agréable et on a fait en tout 35 km (il faut compter l'aller et le retour au départ/arrivée).

25 septembre 2023

Ce que les étoiles doivent à la nuit

Présentation de l’éditeur :

Il n'y a pas de hasard, dit-on, seulement des rendez-vous. C'est ce que va découvrir Liz, cheffe prodige et étoilée, en partant au Pays basque sur les traces de sa mère. Dans un petit village perdu, elle rencontre M. Etchegoyen, dandy insaisissable et plein de panache, qui lui confie les clés de son restaurant et un défi à relever : faire de sa gargote une adresse gastronomique. Mais Peyo, le chef, ne voit pas arriver cette étrangère d'un bon oeil. L'un et l'autre vont devoir s'apprivoiser et affronter ensemble les fantômes de leur passé.

J’ai déjà lu 3 livres de cette auteure : « Les demoiselles » classé en 98ème position avec 3 étoiles (« Ce que les étoiles doivent à la nuit » est plus ou moins une suite de celui-ci), « même les méchants rêvent d’amour » classé en 332ème position avec 2 étoiles, et « le bonheur n’a pas de ride » classé en 451ème position avec une étoile.

J’ai apprécié ce livre d’Anne-Gaëlle Huon de plus en plus au fur et à mesure de la lecture. En fait, au début, j’ai eu du mal avec ces aller-retours dans le passé. J’avais davantage envie de suivre la vie de Liz plutôt que celle de sa mère. Et puis, je suis un peu déçue de la fin, un peu rapide, un peu bâclée car les problèmes de Liz se résolvent en quelques lignes, cela paraît un peu trop simpliste.

Je classe ce livre en 282ème position et lui donne 2 étoiles.

24 septembre 2023

La petite

Synopsis :

Joseph apprend que son fils et le compagnon de celui-ci viennent de périr dans un accident. Ils attendaient un enfant via une mère porteuse en Belgique. Le sexagénaire part à la rencontre de la jeune flamande au caractère farouche et indomptable…

Alors, petit mari et moi sommes sortis de la séance un peu déroutés, sans savoir trop quoi penser de ce filmde Guillaume Nicloux. On n’a rien à reprocher à Fabrice Lucchini où à Mara Taquin qui sont parfaits mais voilà, on n’a pas vraiment accrochés au scénario. Difficile alors de donner un avis ou de classer ce film. On n’a pas trouvé cela bouleversant comme annoncé, donc forcément un peu déçus.

Je classe ce film en 199ème position et ne lui donne pas d’étoile.

24 septembre 2023

Toni en famille

Synopsis :

Antonia, dite Toni, élève seule ses cinq enfants. Un job à plein temps. Elle chante aussi le soir, dans des bars, car il faut bien nourrir sa famille. Toni a du talent. Elle a enregistré un single qui a cartonné. Mais ça, c’était il y a 20 ans. Aujourd’hui ses deux aînés s’apprêtent à rejoindre l’université. Alors Toni s’interroge : que fera-t-elle quand toute sa progéniture aura quitté le foyer ? A 43 ans, est-il encore temps de reprendre sa vie en main ?

Ce film de Nathan Ambrosioni nous a fait passer un bon moment (on a déjà réussi à ne pas s’endormir alors que c’était l’heure de la sieste !). Camille Cottin est très juste dans son rôle de maman solo d'une famille nombreuse, Léa Lopez est également une jolie découverte. On retrouve aussi les réflexions des ados qui peuvent parfois être super blessantes…

Je classe ce film en 89ème position et lui donne une étoile.

Publicité
Publicité
21 septembre 2023

Haute saison

Présentation de l’éditeur :

Un club de vacances sur la côte basque. Quatre solitudes qui n’auraient jamais dû se rencontrer. Une histoire d’amitié et de rédemption.Anglet, fin juillet. À la réception du Club Océan, Germain accueille comme chaque semaine les nouveaux arrivants, avec un mélange de plaisir et d’appréhension… Au milieu des habitués, certains clients goûtent pour la première fois aux « joies du club ». Chantal, qui débarque sans grand enthousiasme avec ses petits-enfants, Matthias, papa solo ayant cédé à l’appel de l’option « mini-club », et Fanny, venue en famille pour tenter de resserrer les liens, vont plonger dans ce huis clos aussi enjoué qu’inquiétant, dont la feuille de route est claire : faites connaissance et a-mu-sez-vous ! Mais qu’a-t-on à partager avec des êtres si différents ? Entre tournois de tir à l’arc, plaisirs du self et jeux apéro, ces vacanciers contraints de cohabiter parviendront-ils à rompre la glace malgré les secrets qu’ils ont emportés dans leurs bagages ? Peut-on réparer ce qui a été brisé ? Faut-il se lever à l’aube pour avoir un transat à la piscine ? Autant de questions à la fois profondes et légères qui portent ce roman solaire, plein d’humour, d’émotion et d’humanité.

Voici un livre facile à lire, sans prise de tête, une pause après un livre ayant nécessité plus de concentration et d’attention.

C’est parfois un peu gentillet mais j’ai bien aimé l’appréhension du sujet du handicap, sujet que l’on trouve assez rarement dans les romans contemporains (les sujets à la mode étant plutôt le harcèlement scolaire, les violences intra-familiales,  ..).

Ce livre m’a fait pensé à « Je revenais des autres » de Mélissa da Costa, du fait de rencontres de gens différents ayant des histoires particulières et se rencontrant dans un même lieu.

D’Adèle Bréau, j’ai déjà lu « La cour des grandes » classé en 40ème position avec 3 étoiles, « Le jeu des garçons » classé en 41ème position avec 3 étoiles, « Frangines » classé en 48ème position avec 3 étoiles et « les devoirs de vacances » classé en 233ème position avec 2 étoiles.

Je classe ce livre en 340ème position et lui donne une étoile.

16 septembre 2023

Vivre avec son passé

Présentation de l’éditeur :

Comment faire de notre passé une force d'avenir ?Enfance, éducation, souvenirs heureux ou traumatiques : notre passé ne passe pas. Il est toujours présent. Il nous appartient alors d'établir une relation apaisée et féconde avec notre mémoire. Celle-ci n'est pas, comme on le pense souvent, un stock de données. Les neurosciences nous apprennent, au contraire, que la mémoire est dynamique, mouvante. Nos souvenirs ne sont pas figés, ils s'apparentent à une partition à interpréter. Notre rapport au passé doit être repensé. En convoquant sciences cognitives, nouvelles thérapies, sagesses antiques et classiques de la philosophie, de la littérature ou du cinéma, Charles Pépin nous montre que nous pouvons entretenir un rapport libre, créatif, avec notre héritage. Notre bonheur dépend de notre capacité à bien vivre avec notre passé. Cet essai lumineux nous donne les clés pour y parvenir.

Voici un livre intéressant de Charles Pépin sur la manière de « gérer » notre passé. L’auteur commence par nous décrire les différentes mémoires (épisodique, sémantique, procédurale, de travail et sensorielle).

Il présente ensuite le passé comme le socle de notre identité. Il dit que tourner le dos à son passé ou vouloir l’oublier n’est pas la solution car l’évitement ne permet que de reculer et pas de sauter.

Il propose 3 façons d’intervenir dans ses souvenirs pour modifier la perception que l’on en a :

-          Comparer le mauvais souvenir avec un autre souvenir où la même action n’a pas eu le même effet pour changer la règle de vie implicite que l’on a établie

-          Se remémorer régulièrement ce mauvais souvenir à la manière des stoïciens (dans le cadre d’un traumatisme) afin de ne pas pratiquer l’évitement ou le ressassement qui serait contreproductif et pourrait générer un rebond non souhaité à des moments non désirés

-          Reparentaliser le souvenir en faisant intervenir un personnage fictif parlant à la personne associée à ce mauvais souvenir comme l’aurait fait un parent protecteur

Revivre les souvenirs heureux, pas seulement les souvenirs douloureux.

Vivre des moments heureux, qui deviendront à leur tour des souvenirs heureux et relègueront au second plan les souvenirs malheureux.

Pardonner aux autres mais également se pardonner à soi-même. "En refusant le pardon, nous maintenons ouverte la blessure en nous et nous nous interdisons le plaisir de vivre, annihilons notre capacité à nous projeter pleinement vers l'avenir. Et nous risquons, épuisés par cette rancoeur tenace, de sombrer dans la dépression."

En cas de deuil, les phases de déni, de sidération et de colère sont normales et indispensables pour ensuite entretenir avec le disparu un lien intérieur.

Quelques extraits :

"Dans les valeurs auxquelles nous croyons, dans ce qui nous importe plus que tout, persiste la marque de notre milieu social, de notre éducation, de nos rencontres les plus décisives."

"Tout ce que nous sommes, nos qualités comme nos défauts, nous goûts et nos dégoûts, nos rêves et ambitions, mais aussi nos peurs, nos angoisses, nos joies comme nos peines, nos réactions, notre vision du monde, et bien sûr nos habitudes : tout cela procède de notre passé. En en tout cela, notre passé est présent. On le croyait derrière nous : il ne cesse de faire signe."

"On accablait son père, on se découvre injuste. On idéalisait ses parents, on les regarde avec une lucidité nouvelle. On se voyait aîné exemplaire, protecteur attentionné, on se sait maintenant également jaloux, blessé par l'arrivée d'un plus petit."

"Comment revenir sur son passé sans s'enfermer dans le ressassement ?"

"Freud est un pionnier. Il est le premier à avoir donné un cadre théorique d'envergure à cette idée : notre premier univers social - notre famille, notre rapport à nos parents, notre place dans la fratrie... - influence pour notre vie entière notre rapport aux autres, au monde."

« Le deuil est en cours lorsque l’on réussit à faire résonner dans le monde extérieur cette relation intérieur. Cette conscience de la mort peut nous aider à mieux distinguer l’essentiel, à apprécier pleinement chaque seconde de notre existence. »

« C’est en faisant le deuil d’hier que nous pouvons nous épanouir au présent : il nous faut accepter la fin de ce qui a été en trouvant comment prolonger l’histoire que l’on écrit. Si la vie nous a apporté son lot de tracas, de désillusions ou de maladies, elle nous a aussi délivré ses leçons de sagesse. »

« Si tant vieillissent mal, c’est qu’ils vivent non avec leur passé, mais dans leur passé. »

« Nous pouvons bien vieillir, la vieillesse peut même être une des plus belles aventures de notre vie, et la route qui y conduit est celle que nous avons essayé de dessiner durant toute notre réflexion : mieux nous vivrons avec notre passé, à la bonne distance, dans un dialogue ouvert avec lui, mieux nous vieillirons. »

« Le vieux con gonflé d’orgueil et celui qui se vit en victime se ressemblent plus qu’ils ne le pensent : leur passé prend trop de place. L’un se vante, l’autre se lamente, mais aucun d’eux ne parvient à aimer le présent, a forciori à se lancer dans des projets, pour soi ou pour ses proches. »

Je conseille de lire ce livre. Pour ma part, il a remué des choses en moi et la perception même de certains souvenirs.

Je classe ce livre en 97ème position et lui donne 3 étoiles.

12 septembre 2023

Chaleur humaine

Présentation de l’éditeur :

Ceci est un roman total. Entrelaçant l’histoire du monde et une histoire de famille, il embrasse notre présent et nos fautes passées. En quelques semaines, du début du mois de janvier 2020 à la fin du mois de mars, le quotidien d’une famille française va basculer en même temps que l’humanité. Fuyant le confinement urbain, Vanessa, Caroline et Agathe se réfugient aux Bertranges, une ferme du Lot entre les collines et la rivière, où leurs parents vivent toujours. Les trois sœurs y retrouvent Alexandre, ce frère si rassurant avec qui elles sont pourtant en froid depuis quinze ans, ainsi que des animaux qui vont resserrer les liens du clan. Tandis que, du dérèglement climatique aux règlements de compte, des épidémies aux amours retrouvées, la nature reprend ses droits, ces hommes et ces femmes vont vivre un huis clos d’une rare intensité.

Ce livre de Serge Joncour est la suite de « Nature humaine » que j’ai lu juste avant. En fait, j’ai entendu à la radio qu’il parlait de « Chaleur humaine » comme étant la suite de « Nature humaine » et donc j’ai voulu commencer par le début, logique.

J’ai préféré le deuxième livre car le premier fait un peu le tour de toutes les catastrophes climatiques, de pollution nucléaire ou marée noire de 1976 à 1999. Je l’ai trouvé un peu long et plombant, même si je suis d’accord pour dire que si les anciens faisaient d’une certaine façon, c’est qu’il y avait de bonnes raisons.

Dans ce deuxième livre, il est davantage question des personnages et notamment d’Alexandre, agriculteur qui persiste à vouloir faire « comme avant » dans le respect de sa terre et de ses bêtes. Cela se passe en 2020 au moment de la montée de la Covid et du confinement.

Je classe ce livre en 267ème position et lui donne 2 étoiles.

6 septembre 2023

La nature humaine

Présentation de l’éditeur :

La France est noyée sous une tempête diluvienne qui lui donne des airs, en ce dernier jour de 1999, de fin du monde. Alexandre, reclus dans sa ferme du Lot où il a grandi avec ses trois sœurs, semble redouter davantage l’arrivée des gendarmes. Seul dans la nuit noire, il va revivre la fin d’un autre monde, les derniers jours de cette vie paysanne et en retrait qui lui paraissait immuable enfant. Entre l’homme et la nature, la relation n’a cessé de se tendre. À qui la faute ?
Dans ce grand roman de « la nature humaine », Serge Joncour orchestre presque trente ans d’histoire nationale où se répondent jusqu’au vertige les progrès, les luttes, la vie politique et les catastrophes successives qui ont jalonné la fin du XXe siècle, percutant de plein fouet une famille française. En offrant à notre monde contemporain la radiographie complexe de son enfance, il nous instruit magnifiquement sur notre humanité en péril. À moins que la nature ne vienne reprendre certains de ses droits…

Personnellement, je me suis ennuyée avec ce roman de Pierre Joncour. Pourtant, j’aime plutôt bien ses livres habituellement : « Chien-loup » classé en 151ème position avec 3 étoiles, « L’amour sans le faire » classé en 317ème position avec 2 étoiles, « Repose toi sur moi » classé en 357ème position avec 1 étoile mais aussi « L’idole » classé en 745ème position avec un « moins ».

L’auteur commence par la sècheresse de 1976, en passant entre autres par la construction des centrales nucléaires, l’accident de Tchernobyl, la catastrophe de l’Erika et finit avec la tempête de 1999.

Tout cela n’est pas très réjouissant et donne le ton du livre.

En plus, le héros, Alexandre, attend désespérément que l’amour de sa vie décide de le rejoindre…

Bref, c’était long…

Il y a une suite qui vient de paraître, je suis sûrement un peu tordue mais je vais peut-être la lire...

Je classe ce livre en 601ème position et ne lui donne pas d’étoile.

3 septembre 2023

Braderie de Lille

Hier, nous sommes allés à la Braderie de Lille. Cela faisait un moment que nous n'y étions pas allés, 2013 si je me réfère à mon dernier billet.

Bon, cela fut un peu laborieux grâce à la SNCF qui n'avait pas prévu assez de train ou des trains avec trop peu de wagons, mais on a fini par arriver à Lille (avec 1 h de retard...).

Sinon, sur place, c'était top !

Donc, vu l'heure à laquelle nous sommes arrivés (merci Madame SNCF), nous avons commencé par nous sustenter par la traditionnelle et incontournable "moules-frites" :

IMG_4792

 

Juste à côté de la gare, où nous avons mangé, nous avons été accompagnés par la fanfare :

IMG_4793

 

Il y avait beaucoup, beaucoup de monde :

IMG_4800

 

Mon stand préféré avec plein de livres, tous bien classés :

IMG_4803

 

Les stands de brocanteurs professionnels, un peu prohibitif au niveau des prix :

IMG_4806

 

Ici aussi :

 

IMG_4807

 

Un stand avec que des articles des années seventies :

IMG_4812

 

De la céramique et des luminaires :

IMG_4814

 

Des petites voitures, des bus et barbapa !

IMG_4816

 

Et puis, il y avait la radio France Bleue qui était là et qui a réuni suffisamment de personnes pour battre le record de la plus longue chenille humaine, le tout dans une super ambiance :

IMG_4823

 

Et on a terminé par les stands de particuliers :

IMG_4830

 

C'était une chouette journée, sous le soleil en plus, ce qui ne gâte rien !

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 > >>
Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 212 378
Publicité