Le petit monde de So et de Fi

Mardi, nous sommes partis en balade avec Sandrine, Emeline et Isaline.

Direction la frontière belge.

Démarrage dans les champs :

Puis sur des sentiers ombragés :

Au milieu de la balade, petit pique-nique :

Ensuite, arrivée le long de la Grande Honnelle, rivière que l'on va suivre un moment dans la forêt. D'un coté la rivière, de l'autre, la colline rocheuse nommée "caillou qui bique". 

La légende dit que la grosse pierre serait l'œuvre du diable. Satan n'aurait pas supporté que saint Remacle construise l'Abbaye de Stavelot. Pour empêcher l'inauguration, il partit des Pyrénées, un énorme rocher sur le dos, dans le but de le lancer sur l'église. Mais en chemin, il rencontra un pauvre homme qui lui dit que la route est encore longue... Découragé et furieux de ne pouvoir arriver à temps pour gâcher les festivités, le diable lâcha par colère son rocher qui s'enfonça dans le sol... Ce rocher, qui semble tenir en équilibre depuis la nuit des temps, serait donc le Caillou-qui-Bique ! :

Petit barrage de pierres que l'on a franchi (aller-retour juste pour le plaisir) :

La Grande Honnelle :

Mes zouaves à l'oeuvre :

En fin d'après-midi, on a fêté l'anniversaire d'Emeline (24 ans) mais qui n'a pas vraiment compris car son anniversaire c'était seulement le lendemain. 

Il était indiqué 11 km de randonnée sur le circuit, a priori, on en aurait fait 12, voire même un peu plus.

Les 3 derniers kilomètres sont moins agréables car sur des routes et non plus sur des sentiers mais globalement c'est une chouette balade.

Cette année, nous sommes partis en vacances en Bretagne du Nord. Nous connaissions déjà Saint-Malo mais à part cette ville c'est une partie de la Bretagne que nous ne connaissions pas.

Jour 1 :

Arrivée au Gîte (pas très grand -50 m2- mais très fonctionnel) près de Saint-Hélen et de la forêt de Couetguen :

Jour 2 : 

Randonnée du Cap de Frehel au Fort de Latte (14 km sur la journée) :

Vue sur le phare sur la gauche de la photo, notre point de départ :

Vue sur le Fort de La Latte (dernier plan sur la photo) :

La lande bretonne :

Le fort de La Latte :

que nous avons visité (ici vue du dessus du donjon) :

Jour 3 : 

Visite de Dinan. Les trois premiers jours, c'était brumeux le matin et le soleil arrivait en début d'après-midi. Tous les autres jours, il a fait beau et chaud, voire même très chaud !

La tour de l'horloge :

Le vieux Dinan :

Avec ses maisons anciennes à pans de bois des 15, 16 et 17è siècles :

La plus belle rue de la ville, la rue de Jerzual, pavée et en pente raide, bordée de maisons du 15 et 16è siècles :

Rue de Jerzual :

Toujours la rue de Jerzual :

et de nouveau la rue de Jerzual (et encore, j'ai dû faire un tri pour ne pas mettre davantage de photos de cette rue !) :

Tout en bas de la rue de Jerzual, on débouche sur le port. Ici le pont gothique (du 10è siècle dynamité en 1994 puis reconstruit) et dans le fond le viaduc :

Vue des remparts sur le port et le viaduc :

Le château de Dinan bâti dans les années 1380 que nous avons visité :

J'aurais d'ailleurs une objection à formuler. Je suis adepte des Guides verts Michelin que j'achète pour chaque région que nous visitons. Les endroits sont notés de zéro à 3 étoiles. La ville de Dinan n'a que 2 étoiles. Je pense qu'elle mériterait largement les 3 étoiles ! Saint-Malo en compte 3 et nous avons préféré Dinan à Saint-Malo...

Jour 4 :

Cancale :

et la pointe du Grouin (randonnée de 18 km) : 

La pointe du Grouin :

La côte d'Emeraude :

Retour par le sentier GR34 qui longe toutes les côtes bretonnes :

On se croirait en Corse !

Petit mari qui a mal au dos en fin de balade :

jour 5 :

Les remparts de Saint Malo :

Le trois-mats argentin :

Le fort national :

Les maisons en pierre :

De nouveau les remparts :

Le château qui est aussi l'hôtel de ville :

La cour de la Houssaye avec la maison dite de la Duchesse-Anne du 15è siècle :

vue de Saint-Malo depuis la corniche d'Aleth :

La tour Solidor :

Jour 6 :

Randonnée à vélo sur la voie verte de Saint-Samson sur Rance à Dinard et retour (en tout 40 km) :

Dinard (au premier plan piscine d'eau de mer) :

vue sur Saint-Malo :

Jour 7 :

Randonnée de 14 km à Saint Briac sur mer :

Le sentier côtier :

Les îles :

Les plages :

Jour 8 :

Le matin visite du cathédraloscope à Dol de Bretagne. Un musée qui explique tout sur la construction des cathédrales. J'ai retenu notamment que plus de 80 cathédrales ont été édifiées en France entre le 12 et le 14ème siècles. L'église n'est plus soumise aux rois et empereurs, l'institution écclésiale entame une réforme et l'idée s'impose que seule l'église, via le clergé, peut guider vers le salut éternel... D'où le désir que le temple de Dieu soit grandiose, ce qui va être possible avec des revenus considérables grâce aux impots, culte des reliques et indulgences.

L'après-midi, nous sommes allés à Léhon, cité de caractère (un peu déçus tout de même) :

L'abbatiale :

Le jardin paroissial :

Le pont sur la Rance :

Jour 9 :

Balade de 6 km avec Jecko sur Moulin de Mordreuc au Moulin de Prat :

Un château :

le Moulin de Prat :

Le sentier le long d'un mur en pierres sèches :

La fontaine Ferrugineuse :

Nous sommes ensuite allés à Saint Suliac :

avec son église au sein de l'enclos paroissial :

Puis nous sommes montés au Mont Dol, et depuis la tour, nous avons une vue à 360 ° :

La Cathédrale Saint-Samson de Dol-de-Bretagne :

et l'une des maisons à colombages de Dol :

Petite récompense par cette chaleur :

Le menhir de Champ-Dolent (haut de 9,5 m et d'une circonférence de 8,70 m) :

Et une petite pépite que l'on a adorée avec petit mari, le cloître et l'abbaye N.D. du Tronchet :

au milieu du cloître, trône un houx géant vieux de 300 ans :

Ensuite, petit tour dans la fôret du Mesnil pour trouver la "maison des fées", allée mégalithique également appelée "Dolmen de Tressé" couverte de 8 grandes dalles :

jour 10 :

Randonnée à vélo sur la voie verte, mais cette fois-ci de l'autre côté, de Saint-Samson sur Rance à Evran et retour (environ 40 kilomètres en tout) :

Passage par Dinan :

Puis Lehon :

Le pont de Lehon sous un autre angle que lors de notre premier passage :

Une des écluses joliment fleurie :

Les falaises qui bordent la Rance :

Une autre écluse :

Jour 11 :

Petite randonnée avec Jecko dans la vallée du Val Hervelin de 4 km. Jecko a un peu de mal à présent avec les balades plus longues, surtout quand il fait très chaud.

Passage arboré et au dessus d'un ruisseau :

L'après-midi, nous nous sommes rendus à Yvignac la Tour pour visiter le jardin de la Levrette :

Le jardin fait 1 hectare et se sépare en plein d'espaces différents :

Autre endroit pour lire ou se reposer :

Il y a aussi une petite maison bulle :

où il fait très frais à l'intérieur avec vue sur une partie du jardin :

Et nous avons terminé la journée en passant par Becherel, 1ère cité du livre en France et 3ème au niveau européen :

En plus des nombreuses librairies et foires aux livres, elle est jolie architecturalement parlant. Ici un lavoir magnifique :

Une jolie construction :

jour 12 :

Nous sommes allés à la Dune des chevrets :

Avec vue sur la plage des Chevrets :

où nous avons passé un petit moment (et où je me suis baignée) :

Avant de retourner au Mont Dol et manger à la Creperie du Moulin :

jour 13 :

Balade de 11 km à Ploubalay (qui s'est transformée en 14 km car nous nous sommes égarés 2 fois, voir mon billet précédent) :

Etendues d'eau à côté du barrage :

Une eau très verte, trop verte ?

jour 14 :

Avec un jour d'avance, nous sommes rentrés à la maison pour éviter les bouchons notamment.

C'était un séjour très agréable. Nous avons découvert une région magnifique que nous ne connaissions pas vraiment (niveau Bretagne, nous connaissons davantage le finistère ou la Bretagne du Sud). C'est passé très vite, mais comme toujours...

Avec petit mari, on adore les balades, les randonnées, à pied ou à véLo. On les trouve sur internet, on imprime le résumé (détail du parcours et plan) et nous voilà partis.

Mais quasiment à chaque fois, il se passe un imprévu.

Aujourd'hui par exemple, on a eu un souci dès le démarrage. On a bien trouvé le point de départ mais pas les premiers balisages bleus. On a dû se connecter à "plan" sur le téléphone pour trouver la première direction à prendre. Ensuite, deux fois pendant la randonnée, on s'est perdu. Ce qui fait qu'au final la balade de 11 km s'est transformée en 14 km...

Il y a quelques jours, c'était à vélo. En plein milieu d'une voie verte, un barrage car il y avait des travaux de construction d'un immeuble ! et rien pour expliquer le contournement ! Si un panneau à un moment et puis plus rien.

Et puis parfois aussi, il y a des chemins non entretenus avec des herbes hautes et des ronces. Je ne suis pas fa. pour en éviter un aujourd'hui on a fait 300 mètres de plus.

Alors plusieurs choses certainement :

- des petits malins qui enlèvent les indications ou retournent un panneau, 

- des circuits non vérifiés régulièrement par les concepteurs et qui se détériorent au fil du temps.

- des indications pas très compréhensibles ou contradictoires.

Alors je me demande comment font ceux, plus âgés ou non équipés de la 4G comme nous, pour retrouver leur chemin. 

Le mieux, c'est Visorando. On suit (toujours sur le téléphone et via la 4G, l'endroit où nous sommes et si l'on est bien sur le parcours dessiné en rouge, mais malheureusement toutes les ballades ne sont pas sur Visorando. Et puis, il faut toujours avoir son téléphone à portee de main.

L'ideal, ça resterait des randonnées bien balisées et dont le départ est bien comprehensible...

A bon entendeur...

Petit rajout en relisant certains de mes billets sur nos anciennes balades, il s'avère que les fois où nous nous perdons, ou que le kilométrage final n'est pas celui annoncé est quand même important. Il est rare qu'une balade, malgré le plan, se passe sans encombres. Il y en a même une, faite 2 fois et avec des personnes différentes où l'on s'est perdu à des endroits différents !

il y a quand même un souci...

Présentation de l'éditeur

Antoine démarre son contrat en alternance chez Punch Powerglade (Général Motors) à Strasbourg le 16 août.

Selon lui, c'est trop long pour y aller en transport en commun. De ce fait, il a été question pour lui d'acheter sa première voiture.

Guillaume, l'ami d'Emeline, est mécanicien et a cherché la voiture sur internet. En allant avec petit mari voir une voiture dans un garage, ils en ont finalement trouvé une autre. Ce sera donc une 206+ diesel (217 000 km) que Guillaume a inspecté.

Hier, avec JP, nous sommes allés la récupérer (le temps pour le garage de réparer la courroie de distribution). Nous sommes allés la laver (pendant qu'Antoine travaille au centre de loisirs) :

Elle est relativement propre. On s'est occupé de l'assurance aussi.

La voici :

Je ne suis pas hyper rassurée. Antoine conduit bien mais ne sait pas trop se garer et dans Strasbourg, ville qui n'est pas vraiment faite pour les voitures mais plutôt pour les vélos, cela ne va pas être évident. C'est petit mari qui l'emmenera à Strasbourg.

Je croise les doigts pour qu'il soit prudent (Antoine, pas petit mari, là j'ai confiance en sa conduite). C'était tout de même plus rassurant de le savoir utiliser les transports en commun...

Il y a exactement 30 ans, jour pour jour, je disais à mon fiancé que c’était terminé, que je le quittais. Il n’a pas compris.

Il ne pouvait pas savoir que seulement 42 jours avant, j’avais commencé à discuter avec un collègue, venu du Nord (j’habitais près de Montargis), plus âgé que moi. On parlait de tout, il était cultivé, intelligent et me faisait rire aussi.

Alors, j’ai su que la personne avec qui j’allais m’engager dans la voie du mariage n’était pas la bonne. Je ne savais pas s’il allait se passer quelque chose avec mon collègue (qui était marié à l’époque) mais j’ai compris que mon fiancé, même s’il était extrêmement gentil, n’était pas celui qu’il me fallait, que j’allais m’ennuyer.

Ce collègue est devenu mon mari et le père de mon fils. Cela ne s’est pas fait en un jour. Il s’est séparé de sa femme (qui était sa deuxième épouse). Il avait (et a toujours) 4 enfants d’un premier mariage, 1 enfant lors du second. Il avait (et a toujours) 17 ans de plus que moi.

Nous sommes ensemble depuis près de 30 ans, mariés depuis 24 ans et jamais je n’ai regretté mon choix. Il est toujours cultivé, intelligent et drôle. Je l'aime infiniment.

Quatrième de couverture

Première résolution. J'aurai cet enfant. Je le veux. Cachée au fond de moi, sous mes tailleurs d'executive woman, il y a une femme qui désire être mère de toute sa chair, de toute son âme. Même si ce n'était pas prévu. Je vais prendre mon courage à deux mains et l'annoncer à Jean-Phil. Dont acte. Marianne et ses deux inséparables copines, des complices de toujours. Dressées pour réussir, elles ont tout sacrifié à leur carrière professionnelle. Jusqu'au jour où, à l'approche de la quarantaine, elles s'aperçoivent avec affolement que les années leur sont comptées pour rattraper le temps perdu... Un mari ? Un enfant ? Les problèmes ne font que commencer...

Bon, rien de transcendant dans ce livre de Valérie McGarry. C’est facile à lire et pas prise de tête mais un peu caricatural sur les femmes qui approchent la quarantaine et sur l'urgence de devoir faire des enfants et se marier.

Je classe ce livre en 530^ème position et lui donne une toute petite étoile.

La voisine nous a demandé d'élaguer le prunus qui dépasse dans son jardin (à droite sur la photo).

Hier, nous avons donc attaqué le chantier.

Avant de réduire l'arbre, nous avons enlevé les palissades qui entouraient la terrasse (vue de l'intérieur) au pied du prunus :

Vue de l'extérieur (le tronc du prunus, le lierre, la glycine et la bignone) :

Le pied du prunus avec le lilas devant :

1ère palissade enlevée, Guillaume (revenu dans le Nord pour deux jours) à la manoeuvre :

2ème palissade en cours d'enlèvement :

et la 3ème à présent à terre :

Il faut séparer le bois de la palissade des arbres qui l'ont vampirisée : 

Nouvelle vue sur le jardin sans la palissade :

Guillaume s'attaque au prunus :

Puis aux souches des glycine, bignone et lierre que l'on a supprimés :

Petit mari en action :

Voici le prunus, une fois l'élaguage terminé. J'ai envoyé une photo à la voisine qui nous a remerciés.

J'ai installé le salon de jardin sur la terrasse :

Voici le pied du prunus, on voit bien tout ce que l'on a retiré :

On voit à présent le ciel (terrasse au soleil le matin et à l'ombre l'après-midi) :

Vue offerte sur le jardin sans la palissade :

Il reste à voir ce que l'on fait au sol. Le carrelage est irrécupérable car le bouleau pleure dessus un liquide collant.

Des caillebotis ne sont pas la solution car les feuilles tombent entre les lattes. A voir ce que l'on va mettre...

Antoine a soutenu en juin son mémoire devant son Directeur de mémoire et une assesseure. Cela s'est très bien passé. Il avait répété plusieurs fois devant moi par visio. Il a respecté les 10 minutes imparties. Les questions qui lui ont été posées lui ont fait plaisir car elles relevaient des phrases qu'il avait écrites et qui étaient importantes pour lui.

A la fin de son passage, les deux examinateurs lui ont dit qu'il aurait 15/20 au mémoire et 17 pour la soutenance.

Il était très content (et moi aussi !).

Ses notes ont renforcé le bilan de son année scolaire (semestre 2 à 12,42 de moyenne, semestre 1 à 11,94) et il a donc validé sa quatrième année en master MEEF (ou master 1), option CPE. Il change d'orientation l'année prochaine et s'inscrit en master 2 "Ingénierie de la formation" en parallèle d'un contrat en alternance chez Punch Powerglide (General motors) à Strasbourg dans le service des Ressources Humaines et plus particulièrement au sein du service de la gestion des formations. Il continuera par ailleurs à mi-temps le contrat d'assistant d'éducation au CREPS.

Je ne sais pas s'il passera le concours de CPE l'année prochaine. Il en a encore la possibilité mais je ne sais pas si l'envie est toujours là car il pense que l'on formate les CPE de telle manière à ne pas révolutionner l'Education Nationale, c'est d'ailleurs ce qu'il a en partie dit lors de sa soutenance et l'assesseure a trouvé qu'il assumait cela en justifiant ses propos. 

Il a appris que l'année prochaine, il devait à nouveau faire un mémoire (ce qui n'aurait pas été le cas s'il avait poursuivi en master 2 MEEF). J'espère qu'il s'y prendra un peu plus tôt cette fois, car cela a été un peu (beaucoup !) la course cette année...

Cette année a été réussie au niveau de ses études, du judo également où il a fait une excellente saison.

Fière de toi, mon fils.

Présentation de l’éditeur

Dans le calme et la pénombre, au chevet de son père qui vient de se faire opérer des yeux, Charlotte Brontë écrit, se remémore sa vie, la transfigure. Elle devient Jane Eyre dans la rage et la fièvre, et prend toutes les revanches : sur ce père, pasteur rigide, désormais à sa merci, sur les souffrances de son enfance marquée par la mort de sa mère et de deux sœurs aînées, sur sa passion malheureuse pour un professeur de français à Bruxelles, sur son désespoir face à son frère rongé par l'alcool et la drogue, sur le refus des éditeurs qui retournent systématiquement aux trois sœurs Brontë leurs premiers romans, envoyés sous pseudonyme. Sheila Kohler se glisse dans la tête de Charlotte Brontë et de son entourage afin de décrire les méandres de la création. Sans se départir du style cristallin de ses précédents ouvrages, elle restitue avec finesse le climat qui a donné naissance aux œuvres des sœurs Brontë : Jane Eyre, bien sûr, mais aussi Les Hauts de Hurlevent et Agnès Grey, trois joyaux de la littérature anglaise.

J’ai bien aimé ce roman sur la vie de Charlotte Brontë et de ses sœurs. Il fait notamment revivre le personnage de Jane-Eyre (un de mes livres préféré) ou en tout cas relate la façon dont l’auteure, Sheila Kohler, pense qu’il a été écrit, de qui les personnages ont été inspiré, tout comme les autres ouvrages de Charlotte et de ses sœurs. On comprend mieux la vie difficile des 3 sœurs, les décès qui ont jalonné la vie de Charlotte et le succès qui n’a pas réussi à compenser tout cela. Elle se sera battue pour démontrer qu’une femme peut être écrivain, ce qui n’était pas chose aisée à l’époque.

Je classe ce livre en 147^ème position (sur 705) et lui donne 3 étoiles (mon classement compte 3 étoiles, 2 étoiles, 1 étoile, pas d’étoile, un « moins » et deux « moins »). Jane-Eyre est classé en 6^ème position, Agnès Grey en 159^ème position et les Hauts du Hurlevent (trop sombre pour moi) a dû être lu avant le démarrage de mon classement mais je n’en garde pas un super souvenir.