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Le petit monde de So et de Fi

8 novembre 2015

Aux urgences...

 

Cette nuit à minuit et demi, Antoine me réveille car il a une énorme douleur au mollet gauche.

Jeudi, à l'entraînement, il a combattu contre un "lourd" de plus de 90 kilos (Antoine en fait 60...) qu'il a battu et l'autre pour se "venger" lui a donné un coup sur le tibia. (!)

Depuis jeudi, Antoine mettait de la glace pour dégonfler la zone.

Lorsqu'il me réveille, on voit une bosse et une zone un peu rouge.

Comme il a très mal et qu'il ne sait plus poser le pied par terre, on appelle le SAMU (entre temps, il a réveillé son père car j'étais sur le point de m'évanouir !).

Antoine explique au médecin du SAMU la situation et pour finir nous demande si on peut l'emmener aux urgences (je préfèrais avoir un avis avant de le bouger au cas où cela aurait été osseux).

Nous voilà partis tous les 3 aux urgences du Centre Hospitalier (j'ai eu entre temps Flo au téléphone pour savoir s'il valait mieux aller au Centre Hospitalier ou à la clinique privée).

Sur place, un pompier nous donne une chaise roulante :

IMG_1937

Au guichet, on nous dit d'aller dans une première salle d'attente où l'on attend 3 quarts d'heure avant d'être reçu et d'être orientés dans une seconde salle d'attente "médecine, chirurgie" adulte.

Là, on attend de nouveau 3 quarts d'heure. Juste avant d'être appelé, Antoine arrive de nouveau à poser son pied par terre...

L'interne lui pose des questions, l'osculte et pense faire une radio pour voir si l'os est touché, puis se ravive. Il parle d'un oedème qui devrait se résorber seul et explique que du Doliprane sera suffisant pour calmer la douleur. On attend dans la salle de soins environ une heure et demie et l'interne revient pour regarder à nouveau sa jambe. Antoine a entre temps marché, couru en rond dans la petite pièce et même s'il sent encore une chaleur dans la zone touchée et une douleur lègère, ce n'est en rien comparable avec ce qu'il a ressenti à la maison.

L'interne revient avec un ordonnance et on est reparti à la maison...

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5 novembre 2015

Elle s'appelait Sarah, le film

En septembre 2014 (voir mon billet du 16/09/14), j'ai lu "Elle s'appelait Sarah" et j'avais beaucoup aimé puisque je l'avais classé en 30ème position et donné 3 étoiles. J'avais même conseillé à JP de le lire aussi, ce qu'il avait fait.

Dimanche soir, le film tiré du livre était diffusé à la télévision.

Du coup, nous l'avons regardé tous les deux.

J'ai trouvé que l'actrice principale était formidable (Kristin Scott-Thomas) et que le film respectait globalement bien l'histoire. J'ai juste trouvé que la belle-famille était plus encline dans le film à aider la journaliste dans ses recherches que dans le livre (où elle est beaucoup plus réticente).

Je vous conseille et le livre et le film (dans cet ordre là :o) !).

 

4 novembre 2015

Trois reines pour une couronne

Présentation de l’éditeur

Au début du siècle dernier, ruiné par l'incendie de sa petite brasserie familiale, Baptiste Thouvenelle se met au service d'Antoine Trampitsch, brasseur venu de Slovénie. Un génie dont la réputation ne cesse de s'étendre et les établissements de s'agrandir. Cet homme a décidé que sa bière était la " Reine des bières " et l'a baptisée du nom de son village des bords de la Meurthe : Champigneulles. Maître-tonnelier sans rival, lui-même possédé par la passion de l'orge, du houblon et du malt, Baptiste sait qu'il peut un jour égaler son patron. Par bonheur, sa fille Adèle semble avoir hérité de ses dons et de son énergie. Une dynastie est née. Durant quatre générations de luttes, de succès, d'accidents et d'amour, les Thouvenelle vont illustrer la plus passionnante des sagas industrielles.

Le livre d’Elise Fischer est d’une saga familiale, où sont principalement mises en avant, 4 générations de femmes : Lise, Adèle, Charlotte et Louise dont les 3 dernières vivront des amours compliquées avec 3 générations d’hommes d’une autre famille : Charles, Julien et Philippe. Le tout est livré sur fond historique des deux guerres mondiales, de fabrication de la bière et du terroir lorrain. Je garde de ce livre un sentiment mitigé tant sur la crédibilité de certaines « circonstances » ou « coïncidences » de l’histoire que sur le nombre incalculable de personnages.

Je classe ce livre en 238ème position et lui ne donne pas d’étoile.

3 novembre 2015

Yes ! je l'ai eu !

Dimanche, profitant d'un grand beau soleil, j'ai sorti la table de ping-pong.

Jusqu'à présent, je n'avais jamais réussi à battre mon cher et tendre époux qui se débrouille plutôt bien au ping-pong.

Première partie, il me bat 14 à 12 (alors que d'habitude c'était plutôt 13-7 ou 13-8). Deuxième partie, c'est moi qui gagne 13 contre 10 !!!!

Youpiiiiiiiii ! J'ai réussiiiiiii !

Merci aux cours de ping-pong que je prends depuis septembre. bon, j'ai surtout réussi grâce à ce service que j'ai nettement amélioré suite aux conseils du coach !

Bon, je sais, il y a encore d'énormes progrès à faire et des gestes à corriger (dur, dur !) mais c'est en progrès !

2 novembre 2015

Balade sur le circuit de Cataine

Pour profiter du beau temps, nous sommes partis en balade avec Jecko sur un circuit trouvé sur internet grâce au site du Conseil Général (où nous allons régulièrement puiser des idées).

Ce circuit emprunte tout d'abord le chemin de halage de la Scarpe : 

IMG_1928

Puis un chemin à travers champs :

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avant de pénétrer dans la forêt de Raismes-Saint-Amand-Wallers :

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Petit mari m'a fait remarquer des toiles d'araignées visibles car au soleil et pleines de rosée (ça tombe bien c'était Halloween hier !)

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Des fougères "belles et rares Osmonde royales" (ce n'est pas moi qui le dit mais le texte accompagnant le détail du circuit !) devant des grands chênes :

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La balade annoncée pour 7 km et 2 h 20 fait en fait 6,6 km et nous l'avons faite en 1 h 30 (j'avais pris mon GPS de randonnée).

Jolie balade ! A refaire !

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1 novembre 2015

Un courrier bien sympathique !

Voilà un courrier très attendu et bien sympathique que nous avons reçu.

Chaque année, à la date anniversaire du prêt contracté pour l'achat de la maison, nous recevons un courrier faisant état des mensualités effectuées de l'année passée et du montant restant encore à payer.

Nous avions choisi en 1997 un emprunt avec une mensualité fixe mais mais avec un taux variable. D'une durée de 20 ans, il pouvait s'allonger si le taux variait à la hausse ou diminuer si le taux baissait.

Et cette année, au bout de 18 ans, notre relevé fait état d'une dernière mensualité (youpi tralala !) à payer mi-novembre (et d'ailleurs pas tout à fait complète).

Nous voici enfin propriétaire de la maison !!

Le 15 novembre, une bouteille de champagne est prévue pour fêter cela...

 

 

27 octobre 2015

La rosée blanche

Présentation de l’éditeur

Rude paysan attaché à sa terre et à ses traditions, le père Goursat s'inquiète pour sa succession à la tête du domaine familial. Deux de ses fils sont morts dans les tranchées. L'épouse du dernier, Léon, ne veut pas rester à la campagne. Le père Goursat désespère de voir l'œuvre de sa vie, de celle de plusieurs générations, s'éteindre ainsi. De son côté, Marcellin Bascompt, riche propriétaire, profite de la vie et de ses plaisirs dans la frivolité et l'insouciance, sans entendre les bruits de bottes qui résonnent aux portes du pays

Il est question dans ce roman de terroir de Jean-Paul Malaval d’amours contrariés, de tragédies familiales, de jalousies, de terres rudes de Corrèze, de vie paysanne, le tout sur fond historique d’après première guerre mondiale. La dureté de la vie paysanne y est parfaitement décrite ainsi que l’opposition entre les nantis et les ouvriers. Il est question aussi des syndicats qui luttent pour obtenir la journée des huit heures et des paysans pour la juste rémunération du fruit de leur travail.

Je classe ce livre en 200ème position et lui donne une étoile.

22 octobre 2015

Leçons de conduite, c'est parti !

Antoine a eu sa première leçon de conduite aujourd'hui.

Son moniteur a commencé par une évaluation de départ pour estimer le nombre d'heures à effectuer.

Parmi les questions : "attitude à l'égard de l'apprentissage et de la sécurité", il y a quatre possibilités de réponse :

- maîtriser la voiture et connaître le code

- prévoir les difficultés et savoir y faire face

- l'apprentissage est une nécessité

- réel désir d'apprendre à conduire

Antoine a choisi la 3ème solution et a perdu deux points, il aurait apparemment mieux valu choisir la quatrième (?).

Au final, il est conseillé 24 h de leçons mais le moniteur lui dit que c'est lui qui verra en fonction des aptitudes d'Antoine (alors pourquoi ce test ??).

Je demande à Antoine comment s'est passé le reste de la leçon. Il a juste appris à tourner le volant, le moniteur se chargeant des pédales, car a priori, "on ne tourne pas de la même façon dans un virage qu'à une interception" (??).

Il devrait "attaquer" les pédales demain...

20 octobre 2015

Newletters et commentaires

Si vous êtes un lecteur régulier (ou lectrice :o) !) de mon blog, si vous appréciez celui-ci et si vous souhaitez être informé(e)s de mes nouvelles publications, sachez que vous pouvez entrer votre adresse mail dans « newsletter » (colonne de droite du blog) et cliquer sur "m'abonner", vous recevrez ainsi un mail avec le lien d'accès direct à chaque fois que j'écrirai un nouveau billet (votre adresse mail peut rester anonyme) et uniquement à chaque publication.

N'hésitez pas non plus à me laisser un commentaire sur un billet. Créer un blog n'a de sens que s'il est lu et quoi de mieux qu'un retour écrit du lecteur !! J'adore ça :o) !

18 octobre 2015

La dernière vague

Quatrième de couverture

L'océan Atlantique est capable du meilleur comme du pire. L'inspecteur Monestier aussi. Nommé à Biarritz sans l'avoir vraiment souhaité, Monestier ne tarde pas à découvrir les charmes du bord de mer... Le lendemain d'une tempête, on retrouve le corps d'un noyé échoué sur une plage. Ce qui pourrait n'être qu'un banal accident est le point de départ d'une enquête assez peu conforme à la déontologie policière. Un vieux démineur géorgien, deux surfeurs fantasques et pittoresques, une photographe au sourire lumineux, un sous-brigadier basque plein de bon sens, quelques baïnes : tels sont les protagonistes de cette étrange affaire... Sans oublier les vagues, omniprésentes sur ce littoral grandiose, qui finiront par envoûter Vincent Monestier.

Les plus : une histoire qui se lit facilement, un personnage principal atypique, des chapitres courts.

Les moins : un ou deux nouveaux personnages par chapitre dont on n’entend parfois plus parler, quelques longueurs, quelques bizarreries.

Je classe ce livre de Denis Humbert en 206ème position et lui donne une étoile.

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  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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