Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Le petit monde de So et de Fi

17 mars 2024

Avec la SNCF, c'est possible (3ème article)

Hier, Antoine est rentré dans le Nord pour pouvoir participer aux championnats départementaux du Pas de Calais (où il s'est d'ailleurs qualifié pour les championnats régionaux malgré une angine carabinée et une perte de 3 kilos en 15 jours).

Son club de judo d'Arras lui paie l'abonnement TGV Max à 80 euros par mois. Ce qui doit normalement lui permettre de trouver des trajets à 0 euros.

Je dis normalement, car c'est rarement le cas.

Hier par exemple, pour avoir à ne rien payer, il a dû prendre 3 trains différents pour faire le trajet Strasbourg/Lille, à savoir Strasbourg/TGV Lorraine (près de Metz/Nancy), où il a attendu 1 h 30, puis TGV Lorraine/Rungis puis Rungis/Lille. Sinon, il fallait payer, 69 euros, 130 euros, ... 

Le plus beau dans l'histoire, c'est qu'il a dû quitter le premier train qui était un direct pour Lille et cerise sur le gâteau celui-ci était quasiment vide !

En plus, il faut savoir que le prix des billets changent sans arrêt, d'une minute à l'autre. Ce qui oblige l'usager à rafraîchir l'application SNCF toutes les 5 minutes pour tenter de trouver la meilleure solution, la moins chère, et cela pendant des heures...

Tout ça, sans compter sur les contrôleurs, parfois très pointilleux voire méconnaissants de leurs propres règles. La semaine dernière, un contrôleur reprochait à Antoine de ne pas avoir valider son billet alors qu'il ne faut le faire que si vous avez réservé à l'avance, avant la veille à 17 h. Or, Antoine avait confirmé son billet la veille à 21 h (comme d'habitude en restant connecté à l'application pendant des heures pour trouver la meilleure solution !). Il ne s'est pas laissé faire et un autre contrôleur est venu lui confirmer qu'il avait raison. Un autre passager, moins sûr des règles, aurait peut-être payé une amende ! 

Publicité
Publicité
15 mars 2024

La baie des baleines

Présentation de l’éditeur :

Liza ne peut échapper à son passé. Heureusement, les plages sauvages de Silver Bay, en Australie, et la communauté soudée qui vit là-bas, lui permettent d'assouvir sa soif de liberté et de prendre un nouveau départ avec sa fille, Hannah. L'arrivée de Mike dans l'hôtel de sa tante va mettre la Baie des baleines en effervescence. Cet Anglais élégant aux yeux doux pourrait anéantir tous les efforts qu'elle a déployés pour préserver l'entreprise familiale et les baleines qui peuplent la baie - et venir à bout de ses dernières défenses. Liza jure qu'elle ne se laissera plus prendre au jeu de l'amour, mais cet homme est peut-être celui qu'elle attendait depuis longtemps... 

J’ai beaucoup aimé ce livre de Jojo Moyes. On ne s’attend pas à la fin et c’est moins à l’eau de rose que pourrait le laisser supposer le résumé. Toutefois, il y a deux petites choses qui m’ont paru peu crédibles (ou que je n’ai pas comprises) :

  • A quoi aurait servi à Liza de retourner en Angleterre pour empêcher le projet immobilier ?
  • J’ai trouvé qu’il n’y avait pas beaucoup d’oppositions de l’ancien compagnon de Liza et que c’était un peu rapide et facile (je ne peux pas en dire plus sans risque de dévoiler la fin de l’histoire).

Je classe ce livre en 147ème position et lui donne 3 étoiles.

10 mars 2024

Fille en colère sur un banc de pierre

Présentation de l’éditeur :

« Elle aurait pu renoncer. Elle aurait dû renoncer. Elle se le répéta bien un million de fois toutes les années qui suivirent. Elle eut d'ailleurs une hésitation, peut-être valait-il mieux rester, se rallonger dans la chambrée, à écouter ses deux autres sœurs qui gesticulaient dans leur sommeil, pétaient et miaulaient sous leurs draps à cause de leurs rêves lascifs tout juste pubères. Peut-être valait-il mieux abdiquer, enrager, et se délecter de sa rage, puisqu'il y a un plaisir dans l'abdication, cela va sans dire, le plaisir tragique de la passivité et du dépit, le plaisir du drapage dans la dignité, on ne nous laisse jamais rien faire, on a juste le droit de se taire, on nous enferme, alors que les autres là-bas au loin s'amusent et se goinfrent, qu'est-ce que j'ai fait dans mes vies antérieures pour mériter ça, oh comme je suis malheureuse. Peut-être aussi que le jeu n'en valait pas la chandelle. Mais le jeu, n'est-ce pas, en vaut rarement la chandelle. Le jeu n'est désirable que parce qu'il est le jeu. »

Tout d’abord, dans la forme, ce roman de Véronique Ovaldé est un peu pénible à lire. Il n’y a pas d’espace entre les paragraphes, les dialogues sont tapés au kilomètre et comme les phrases s’enchaînent dans de nombreuses digressions, c’est lourd à lire.

Concernant le fond, ce n’est pas très réjouissant non plus. La famille Salvatore a connu un drame, la perte de leur quatrième fille. C’est raconté du point de vue de la troisième fille, celle à qui l’on a reproché le drame. La fin est surprenante et c’est le seul côté positif que je trouve à cette lecture.

Je classe ce livre en 682ème position et ne lui donne pas d’étoile.

8 mars 2024

Recherche gentleman fortuné

Présentation de l'éditeur :

Comté du Dorset, 1818. La jeune et téméraire Kitty Talbot, aînée d’une fratrie de cinq sœurs, est dans le pétrin. Depuis le décès soudain de ses parents, elle se retrouve à la tête de sa famille criblée de dettes. Si une solution miraculeuse ne se présente pas bientôt, les filles Talbot vont perdre leur charmant cottage et être dans un grand dénuement. Kitty n’a d’autre choix que de partir pour Londres afin d’intégrer la haute société et de se fiancer avec un homme fortuné avant que la saison s’achève. Son plan se déroule sans accroc jusqu’à ce qu’elle soit démasquée par le beau et hautain Lord Radcliffe. Dès lors, Kitty doit redoubler d’efforts pour tenir cet agaçant ennemi à distance, apprivoiser les codes de ce monde impitoyable et – qui sait ? –trouver l’amour.

La première moitié du livre de Sophie Irwin est un peu ennuyant, dans le sens où Kitty semble uniquement intéressée à "coincer" un homme riche pour sauver sa situation financière et celle de ses soeurs. Et puis, au fur et à mesure des pages, on s'aperçoit que c'est plus profond que cela et que l'on parle de la condition féminine au 19ème siècle et des codes de la haute société. Il y a un peu de féminisme derrière cette histoire et cela n'a pas été pour me déplaire. Après, il n'y a pas non plus de surprise quant à la façon dont se termine le roman.

Je classe ce livre en 362ème position et lui donne une étoile.

4 mars 2024

Le consentement

Présentation de l’éditeur :

Au milieu des années 80, élevée par une mère divorcée, V. comble par la lecture le vide laissé par un père aux abonnés absents. À treize ans, dans un dîner, elle rencontre G., un écrivain dont elle ignore la réputation sulfureuse. Dès le premier regard, elle est happée par le charisme de cet homme de cinquante ans aux faux airs de bonze, par ses œillades énamourées et l’attention qu’il lui porte. Plus tard, elle reçoit une lettre où il lui déclare son besoin «  impérieux  » de la revoir. Omniprésent, passionné, G. parvient à la rassurer : il l’aime et ne lui fera aucun mal. Alors qu’elle vient d’avoir quatorze ans, V. s’offre à lui corps et âme. Les menaces de la brigade des mineurs renforcent cette idylle dangereusement romanesque. Mais la désillusion est terrible quand V. comprend que G. collectionne depuis toujours les amours avec des adolescentes, et pratique le tourisme sexuel dans des pays où les mineurs sont vulnérables. Derrière les apparences flatteuses de l’homme de lettres, se cache un prédateur, couvert par une partie du milieu littéraire. V. tente de s’arracher à l’emprise qu’il exerce sur elle, tandis qu’il s’apprête à raconter leur histoire dans un roman. Après leur rupture, le calvaire continue, car l’écrivain ne cesse de réactiver la souffrance de V. à coup de publications et de harcèlement. «  Depuis tant d’années, mes rêves sont peuplés de meurtres et de vengeance. Jusqu’au jour où la solution se présente enfin, là, sous mes yeux, comme une évidence : prendre le chasseur à son propre piège, l’enfermer dans un livre  », écrit-elle en préambule de ce récit libérateur.

Plus de trente ans après les faits, Vanessa Springora livre ce texte fulgurant, d’une sidérante lucidité, écrit dans une langue remarquable. Elle y dépeint un processus de manipulation psychique implacable et l’ambiguïté effrayante dans laquelle est placée la victime consentante, amoureuse. Mais au-delà de son histoire individuelle, elle questionne aussi les dérives d’une époque, et la complaisance d’un milieu aveuglé par le talent et la célébrité.

Une fois n’est pas coutume, je n’ai pas grand-chose à ajouter à la présentation de l’éditeur. C’est tout à fait ça.

Je classe ce livre en 170ème position et lui donne 3 étoiles.

Publicité
Publicité
29 février 2024

Le secret du mari

Présentation de l’éditeur :

Jamais Cecilia n’aurait dû trouver cette lettre dans le grenier. Sur l’enveloppe jaunie, quelques mots de la main de son mari : « À n’ouvrir qu’après ma mort. » Quelle décision prendre ? Respecter le vœu de John-Paul, qui est bien vivant ? Ou céder à la curiosité au risque de voir basculer sa vie ? Tous les maris – et toutes les femmes – ont leurs secrets. Certains peuvent être dévastateurs. Best-seller aux États-Unis, ce roman, intense, pétillant et plein d’humanité, allie habilement suspense et émotion pour marquer son lecteur d’une empreinte durable.

J’ai adoré ce livre de Liane Moriarty. Il y a du suspense, des histoires qui s’entrecroisent, des personnages bien campés et une fin surprenante. Je l’ai écouté sur audible. La narratrice forçait un peu le trait des personnages mais globalement c’était bien.  

Je classe ce livre en 138ème position et lui donne 3 étoiles.

26 février 2024

Différence d'âge

Samedi, dans la voiture, sur la route d'une compétition, avec Antoine à l'arrière.

Je ne sais plus pourquoi, dans une discussion, j'en viens à parler de nos 17 ans d'écart avec petit mari.

Antoine : Cela veut peut-être dire que ma future femme, aujourd'hui, elle a seulement 8 ans !

JP : et qu'elle est en CE1 !

 

25 février 2024

Une vie

Synopsis : Prague, 1938. Alors que la ville est sur le point de tomber aux mains des nazis, un banquier londonien va tout mettre en œuvre pour sauver des centaines d’enfants promis à une mort certaine dans les camps de concentration. Au péril de sa vie, Nicholas Winton va organiser des convois vers l’Angleterre, où 669 enfants juifs trouveront refuge. Cette histoire vraie, restée méconnue pendant des décennies, est dévoilée au monde entier lorsqu’en 1988, une émission britannique invite Nicholas à témoigner. Celui-ci ne se doute pas que dans le public se trouvent les enfants – désormais adultes – qui ont survécu grâce à lui...

Ce film de James Hawes est magnifique. Anthony Hopkins y est particulièrement juste pour représenter l'humilité de cet homme qui a tenté de sauver de la mort le maximum d'enfants juifs. A voir absolument !

Je classe ce film en 6ème position et lui donne 3 étoiles.

25 février 2024

Abonnement TGV Max, pas franchement une réussite

Antoine est revenu ce week-end à la maison.

Son club de judo lui paie l'abonnement de TGV max, à savoir 80 euros par mois, pour qu'il puisse revenir les week-ends de compétition.

Sauf que cet abonnement qui devrait permettre de trouver des trains à 0 euros ne le permet pas vraiment. En effet, le volume des places à 0 euros sur les trajets les plus fréquentés (vendredi soir et dimanche après-midi) est très très limité.

Pour exemple, Antoine est rentré vendredi soir où il a dû payer 120 euros et est reparti cet après-midi où il a dû débourser 94 euros. 120 + 94 + 80 euros, cela fait quand même 294 euros pour un aller retour Strasbourg Lille sur le mois.

Sans compter le temps qu'il faut passer sur l'application pour tenter de trouver un tarif à 0 euros ou tout au moins plus attractif que 120 euros.... Il faut rafraîchir régulièrement et d'une minute à l'autre, un trajet de 30 euros (avec 2 correspondances soit 6 h 30) passe à 110 euros, 5 minutes plus tard !

Même en s'y prenant à l'avance, cela ne change rien. Certains billets à 0 euros se débloquent au dernier moment (ou pas).

C'est soit-disant pour améliorer le remplissage des trains : à l'aller, Antoine était quasiment tout seul dans son wagon...

Merci la SNCF §§

 

 

 

24 février 2024

La saga des Cazalet

Présentation de l’éditeur : 

Juillet 1937, Sussex. Dans la propriété de Home Place, la Duche, affairée avec ses domestiques, prépare l'arrivée de la famille au grand complet : ses trois fils, Hugh, Edward et Rupert Cazalet, sont en chemin depuis Londres avec épouses, enfants et gouvernantes. Entre pique-niques sur la plage et soirées auprès du gramophone, les intrigues familiales se succèdent. Aux préoccupations des adultes font écho les inquiétudes des enfants, et à la résilience des femmes répond la toute-puissance - ou l'impuissance - des hommes. L'été regorge d'incertitudes mais, sans l'ombre d'un doute, une nouvelle guerre approche...

C’est la première fois que je tente un livre audio. Et je pense que le choix de ce livre en particulier n’était pas une bonne idée. 
En effet, il ne se passe rien dans ce livre d’Elizabeth Jane Howard. Ce n’est qu’une succession de descriptions de lieux, de toilettes des personnages, des repas, …

Quant aux dialogues, je ne sais pas si c’est le fait de la lectrice, mais je les ai trouvés très « cucul gnangnan ».

Il y a 5 tomes... Je m'arrête au premier.

Je classe ce livre en 750eme position et lui donne un @moins ».

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 > >>
Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Newsletter
Archives
Visiteurs
Depuis la création 212 400
Publicité