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Le petit monde de So et de Fi
30 mai 2022

Oups ! Je ne vois plus rien chef !

Samedi, j'ai installé un transat dans la pelouse, j'ai mis mon téléphone et ma paire de lunettes sous le transat comme je fais toujours (pour que le téléphone soit à l'ombre).

JP a déplacé le transat pour tondre et vous devinez la suite ?

Alors, le téléphone n'a rien car je l'avais repris entre temps mais des lunettes, il ne reste que cela :

lunettes

 

J'ai d'ailleurs eu la chance de retrouver ce morceau car sinon je serai probablement encore en train de chercher après mes lunettes.

 

J'étais toute dépitée parce que j'ai une paire de lunettes qui reste au travail, adaptée à la vision sur l'ordinateur anti lumière bleue (des dégressives ) et cette paire était celle uniquement vision de près pour la maison.

J'ai appelé les opticiens chez qui nous avons l'habitude d'aller. La garantie ne fonctionne pas car la tondeuse n'est pas une utilisation normale des lunettes... Tiens donc ! J'ai donc la possibilité de refaire cette paire pour 69 euros au cas où ma vision ne changerait pas de plus de 0,25 à chaque oeil car le dernier contrôle de vue chez les opticiens datait de septembre 2020 et ma dernière ordonnance de 2018 (et on a droit à de nouvelles lunettes tous les 2 ans par la mutuelle donc pas avant septembre 2022 normalement).

JP a cherché un RV chez un ophtalmologiste et à mon grand étonnement en a trouvé un dès aujourd'hui lundi.

J'en reviens (et puis ensuite je suis allée chez l'opticien).

Ma vision ayant changé de plus de 0,25 à chaque oeil (et apparemment en mieux, va comprendre !), j'ai pu refaire deux nouvelles paires de lunettes, une dégressive pour le travail et une de vision de près pour la maison (le tout pour 23 euros environ).

Je devrais les avoir d'ici samedi.

En attendant, j'utilise une paire de progressives qui date de 2018, que je n'aime pas, parce que lorsque je lis je dois les soulever pour bien voir et lorsque je suis devant l'ordinateur, j'ai la tête relevée sinon c'est flou...

Vivement samedi !

 

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30 mai 2022

Le trail de la fraise

Hier, nous sommes allés avec JP, Sandrine, Emeline et Isaline à Lecelles pour le trail de la fraise.

Bon, nous n'avons pas fait les 25 km en courant, seulement les 6 kilomètres en marchant.

Ici, juste avant le départ :

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Le parcours était sympathique, dans les champs ou en lisière de forêt :

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mais le souci c'est que le 6 km marche avec lieu en même temps que le 6 km course et que certains passages étaient étroits, ce qui gênait autant les coureurs que les marcheurs :

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en file indienne :

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Vers la fin du parcours, un orchestre bien sympathique :

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La balade était agréable, le faire en courant, vu le terrain un peu accidenté, aurait été un peu plus difficile.

Belle journée passée en bonne compagnie.

27 mai 2022

Manuella

Quatrième de couverture :

"Je n'écris que cela, des banalités. En fait, je suis nulle. Toutes mes amies me disent que je suis géniale et belle et sympa et positive, et mes parents disent la même chose et tout le monde me croit formidablement sûre de moi, si seulement ils savaient à quel point je me trouve nulle. J'ai tout faux. Je suis encore vierge, 9/10 (ou plutôt 10/10) de mes amies ne le sont plus depuis longtemps, elles ont toutes plus ou moins un garçon dans leur vie, et moi rien. Plaignez, plaignez la pauvre petite poule sans amour, la gentille fille de bon aloi qui ignore ce que l'amour physique veut dire, le bébé à l'enveloppe de femme qui a les chevilles trop épaisses, les hanches trop larges, un nez trop épaté, une oreille qui dit bonjour à l'autre, des fossettes trop hautes et un menton trop pointu, et qui marche en faisant des mouvements comme les bateaux qui tanguent dans le port lorsqu'il y a de la houle."

J’ai bien aimé ce livre de Philippe Labro. On se reconnaît probablement un peu toutes dans Manuella et ce passage un peu compliqué à l’âge adulte où on ne sait pas encore qui on est et qui l’on souhaite devenir.

Je classe ce livre en 292ème position et lui donne 2 étoiles.

En le classant dans mon tableau, je me suis aperçue que je l’avais déjà lu… Aucun souvenir et je l’avais moins bien classé…

19 mai 2022

Le second couplet

Présentation de l’éditeur :

Est-ce la vie dont vous rêviez ? Avez-vous réalisé vos rêves d'enfant ?Lorsque HIPPOLYTE, cadre bancaire un peu paumé, reçoit l'ordre de licencier cinq de ses collègues, sa vie rangée bascule. Dès lors, chaque solution envisagée promet de bouleverser son existence. Sans compter que tout le monde s'est ligué contre lui : sa mère, sa petite amie, son patron, ses quelques amis…L'étrange paquet, reçu le même jour par la Poste, pourrait-il le mettre sur la voie ? Qui est donc son mystérieux expéditeur ? Lancé malgré lui dans une quête, sur les traces d'une histoire familiale ignorée, Hippolyte devra trouver des réponses aux questions qu'il ne s'était jamais posées. Et assumer ses choix, en homme libre, quelles qu'en soient les conséquences. LE SECOND COUPLET est un roman feel good mêlant amour, introspection et découverte de soi. Plusieurs thèmes sont abordés avec légèreté, sans "prise de tête" : le passage à l'âge adulte, la crise de la quarantaine, le sens au travail, le burn out, le rapport à l'argent, l'influence des parents, les déterminismes, les injonctions de la société, les stratégies d'évitement, l'auto-sabotage, la communication dans le couple, comment choisir, comment orienter sa vie…

C’est un livre de Guillaume-Loup Bergé, agréable à lire, sans prise de tête. Le personnage principal est bien décrit mais on se doute de tout ce qui va arriver, à la fois dans le cadre de son travail mais également de la rencontre avec Judith. Rien donc de très surprenant et le mantra un peu facile de pouvoir changer de vie si on le souhaite… L’idée de mêler des extraits musicaux au fil des chapitres est bonne, encore faut-il toujours avoir son téléphone à portée de main pour scanner le QR-Code…

Je classe ce livre en 467ème position et lui donne une étoile.

EXTRAIT
— Qu’est-ce que tu vas faire, alors ? demanda Martial.
— Rien, je vais attendre que ça passe.
Martial tendit le bras et prit une poignée de sable. Puis, lentement, il la laissa couler entre ses doigts.
— J’espère que tu ne le regretteras pas, dit-il. Parfois, les regrets te poursuivent. Et tu n’oses plus rien faire, de peur que ça empire…
Il se leva et nettoya le sable de ses vêtements :
— Tu sais, beaucoup de gens ont peur. Alors ils s’inventent des alibis ou des maladies. Pour s’empêcher de réaliser leur rêve, leur grand projet. Et ils finissent par crever de ne pas avoir tenté leur chance… Ils réalisent ainsi le crime parfait, le plus répandu : le crime contre soi-même.

15 mai 2022

Sociologie de l'école

Présentation de l’éditeur

Comment s'organise l'institution scolaire et comment a-t-elle évolué ? Qui sont celles et ceux qui la font vivre ? Celles et ceux qui la fréquentent ? De quelle façon les inégalités scolaires sont-elles produites ? Quel rôle les politiques publiques peuvent-elles alors jouer ? Traitant de la maternelle à l'enseignement supérieur, ce livre apporte un soin particulier à comprendre les inégalités sociales en train de se faire et à décrire les conséquences de la généralisation de l'école. L'école tient aujourd'hui dans la société française une place prépondérante, si bien que près du quart de la population du pays se trouve sur les bancs de l'école et que le nombre d'enseignants, tous niveaux confondus, a dépassé le million. Dans ce contexte, le fait scolaire constitue un fait social majeur. Comment s'organise l'institution scolaire et comment a-t-elle évolué ? Qui sont celles et ceux qui la font vivre ? Celles et ceux qui la fréquentent ? De quelle façon les inégalités scolaires sont-elles produites ? Quel rôle les politiques publiques peuvent-elles alors jouer ? L'objectif de cet ouvrage est de présenter les réponses de la sociologie à ces questions, en s'appuyant sur des travaux classiques, mais aussi sur les recherches les plus récentes. En intégrant des analyses traitant de la maternelle à l'enseignement supérieur, il apporte un soin particulier à comprendre les inégalités sociales en train de se faire et à décrire les conséquences de la généralisation de l'école.

Voici le troisième livre que j'ai lu dans le cadre du mémoire d’Antoine sur le déterminisme social.

Tout dans ce livre est intéressant. Il s’agit d’un résumé de tout ce qui a été écrit sur la sociologie de l’école et on parle donc énormément du déterminisme. J’ai apprécié l’effort de synthétisation et de vulgarisation de certaines notions qui parfois dans leur jus d’origine (écrites par les sociologues de renom) sont un peu complexes. Difficile de lui en faire un résumé (j’ai stabiloté beaucoup de paragraphes) mais je vais essayer. Les deux auteures, Marianne Blanchard et Joanie Cyouette-Remblière concluent, de façon assez pessimiste, que l’école participe plus que jamais aux inégalités sociales et à leur légitimation. Toutefois, l’école n’étant pas une institution figée et qu’il est toujours possible de faire bouger les choses.

Je classe ce livre en 191ème position et lui donne 2 étoiles.

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13 mai 2022

Nouvelle cuisine

Alors, depuis un bon moment, on envisageait de changer de cuisine. Entre l'idée de changer, de regarder sur internet, de faire la démarche auprès de cuisinistes, de rencontrer les professionnels du bâtiment pour les travaux, il s'est passé du temps, mais voilà, c'est fait (ou quasiment).

On a changé la cuisine 2 ans après notre arrivée dans la maison, soit en 1998 (je n'ai malheureusement pas de photo du plan de travail initial en béton armé que l'on a dû démolir au marteau piqueur) avec des meubles en kits provenant de Pologne (sur la photo petit mari et Walter) :

1 (2)

 

En 2003, on a supprimé le papier peint bleu et jaune et mis en peinture saumon :

2 (2)

 

et changé de carrelage (petit mari sur la photo) :

3 (2)

 

et en 2015, on a passé de la résine grise sur les meubles et repeint les murs en blanc pour lui donner un coup de jeune :

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La voici vue du fond de la pièce :

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et côté réfrigérateur :

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Vue de l'autre côté :

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Alors bien sûr, depuis 7 ans, la résine s'est enlevée par endroit malgré des reprises régulières :

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Et puis il y avait des choses un peu anciennes comme le robinet mitigeur qui sortait directement du mur ou le ciment qui avait coulé car trop liquide :

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Première étape, retirer les anciens meubles :

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Deuxième étape, se prévoir une cuisine temporaire dans le salon :

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Troisième étape, démarrage du chantier. On retire une marche inutile dans la partie véranda :

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Le tableau électrique, pas du tout aux normes :

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Retrait du placo dans la véranda et mise au jour de l'ancien carrelage : 

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Les deux électriciens à l'oeuvre :

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Ici, les deux plaquistes :

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 Ici 2 électriciens, 2 plaquistes, 2 plombiers + 1 dans le garage + le chef de chantier, beaucoup de monde au m2 :

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Nouveaux tuyaux pour le passage de l'eau et nouveaux câbles électriques :

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Le laser qui facilite le travail des plaquistes pour la pose des rails :

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Pose des rails :

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A l'attaque du tableau électrique :

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Au revoir ancienne cuisine :

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Positionnement des rails, des câbles électriques et de la laine de roche :

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sur l'ensemble de la pièce :

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recouverte ensuite par les plaques de placo :

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Les joints et le ponçage (que de poussière !) :

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Livraison des meubles de la cuisine :

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Isolation des tuyaux d'eau :

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Nouvelle plomberie pour l'évier :

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Finitions des plaquistes :

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Peinture des murs (blanc cassé, là aussi, pas évident de choisir parmi toutes les nuances) et du plafond (blanc) :

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 rrivée du cuisiniste pour le montage des meubles :

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Le voici en pleine action :

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Déplacement de l'interrupteur des luminaires au plafond :

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Finalisation du tableau électrique :

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Câble du nouvel interrupteur (ils sont jolis mes chaussons, non ?) :

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Mais où va ce câble ? 

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Continuation du montage des meubles et de l'évier :

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Tableau électrique fini :

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Petit (?) problème pour les électriciens (!), pas d'interrupteurs prévus pour les leds en dessous des meubles du haut, obligés de tirer des fils (heureusement que j'avais pris des photos, ils ont pu savoir où étaient les rails) :

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Remise en route des luminaires au plafond :

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Cela se monte rapidement :

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Vue d'ensemble :

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Je ne sais pas comment il s'y retrouve avec tous les cartons mais il connaît son affaire et il travaille vite : 

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Cela commence à ressembler à une cuisine :

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Et voilà (tous leds allumés ;) ) : 

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J'aime beaucoup le mariage des couleurs. J'avais peur d'avoir fait de mauvais choix (et le conseiller avait trouvé que j'avais mis beaucoup de temps à me décider mais ce n'est pas évident sur des petits échantillons et il y a tellement de choix possibles !) mais cela me plaît beaucoup, beaucoup :

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Côté réfrigérateur :

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Vue d'ensemble avec le nouveau plan de travail central (super idée du conseiller) : 

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Petit mari et moi sommes ravis du résultat.

Ce n'est pas tout à fait terminé, il manque la crédence et le sol.

A suivre prochainement...

12 mai 2022

Et je suis devenue le vent

Présentation de l’éditeur :

À 42 ans, divorcée, Marlène partage son quotidien entre un travail qui ne l'épanouit plus et sa voix intérieure qui la critique sans arrêt. Elle trouve l'essentiel de son réconfort auprès de sa grand-mère que la maladie d'Alzheimer grignote jour après jour, et Francis. Son chat. Décidée à s’extraire de son cagibi sentimental, elle s’inscrit sur un site de rencontre. Entre déconvenues et espoirs, cette initiative pourrait bien lui apporter autre chose que ce qu’elle espérait et l'obliger à affronter son histoire familiale… Et je suis devenue le vent, c'est l'histoire d'un nouveau départ, d'une reconstruction de soi. Une tranche de vie entre rires, larmes, drame qui parle d'amitié, d'Amour avec un grand a, de secrets de famille et du poids de l'enfance.

Ce livre de Jeanne Yliss est un roman « feelgood », où l’héroïne apprend petit à petit à s’aimer elle-même, à ne plus se dévaloriser et où la relation à soi-même tend à modifier sa relation avec les autres. Le vécu dans l’enfance prend également une place prépondérante pour Marlène et il lui faut savoir faire la part des choses pour se détacher des paroles parentales blessantes. C’est facile à lire, il y a quelques conseils à piocher et à tenter d’appliquer.

Je classe ce livre en 320ème position et lui donne une étoile.

8 mai 2022

Les héritiers, les étudiants et la culture

Présentation de l’éditeur            

Si l'école aime à proclamer sa fonction d'instrument démocratique de la mobilité sociale, elle a aussi pour fonction de légitimer - et donc, dans une certaine mesure, de perpétuer - les inégalités de chances devant la culture en transmuant par les critères de jugement qu'elle emploie, les privilèges socialement conditionnés en mérites ou en « dons » personnels. À partir des statistiques qui mesurent l'inégalité des chances d'accès à l'enseignement supérieur selon l'origine sociale et le sexe et en s'appuyant sur l'étude empirique des attitudes des étudiants et de professeurs ainsi que sur l'analyse des règles - souvent non écrites - du jeu universitaire, on peut mettre en évidence, par-delà l'influence des inégalités économiques, le rôle de l'héritage culturel, capital subtil fait de savoirs, de savoir-faire et de savoir-dire, que les enfants des classes favorisées doivent à leur milieu familial et qui constitue un patrimoine d'autant plus rentable que professeurs et étudiants répugnent à le percevoir comme un produit social. La première édition de cet ouvrage est parue en 1964.

J’ai lu ce livre de Pierre Bourdieu, toujours dans le cadre du mémoire d’Antoine, sur le déterminisme social, à savoir le fait que le cursus scolaire, la poursuite d’études et même la profession d’un jeune est plus ou moins conditionnée ou induite par le niveau de la catégorie socio-professionnelle de ses parents. Les étudiants qui poursuivent leurs études après le bac sont plus nombreux parmi les classes sociales les plus favorisées.

De ce fait, ce livre parle davantage du déterminisme social que le livre précédent qui l’évoquait mais dans le champ de l’art.

J’ai trouvé que c’était beaucoup plus facile à lire que le précédent même si parfois une même phrase peut faire une page complète.... Pareillement, heureusement que c’était avec ma liseuse car cela m’a permis d’avoir la définition des mots compliqués même s’il y en avait beaucoup moins que dans le précédent.

Les statistiques ne datent pas d’hier car elles sont de 1964 mais cela reste malheureusement d’actualité. Le livre dénonce l'accès inégal à la culture dans les familles, ce qui se répercute dans le niveau scolaire des élèves de la maternelle à l’université. L’auteur déclare même que le système scolaire entretient le déterminisme social contre lequel il dit pourtant vouloir lutter.

Je classe ce livre en 476ème position et ne lui donne une étoile.

Comme pour le précédent, j’en ai fait un résumé de 10 pages pour Antoine.

8 mai 2022

Course de la Paix

Aujourd'hui c'était la course de la Paix.

Avec Sandrine et ses filles, Emeline et Isaline, nous avons fait la randonnée des 7 kilomètres.

Au départ :

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A l'arrivée :

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Petit mari nous a rejointes pour la course des 5 kilomètres (Sandrine et Isaline nous ont attendus près de l'estrade au son de la musique avec des majorettes).

Au départ :

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A l'arrivée :

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Nous l'avons faite en 35 minutes et 57 secondes. Emeline, plus rapide, en 31 minutes :

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C'était bien sympa cette matinée !

6 mai 2022

Mutations et déterminisme chez Bourdieu: Epistémologie de la sociologie de l'art de Bourdieu

Présentation de l’éditeur            

Pierre Bourdieu serait le sociologue du déterminisme social par excellence. L'institution scolaire, écrit-il, avantage les avantagés et désavantage les désavantagés. Les possibilités de changement sont réduites. Pourtant, n'est-il pas questions dans Les règles de l'Art de changement et de discontinuité ? Bourdieu, un penseur déterministe ? Il est légitime d'en douter puisqu'il y a manifestement des tensions entre la logique de la conservation et la logique du changement.

J’ai lu ce livre dans le cadre du mémoire d’Antoine sur le déterminisme social, à savoir le fait que le cursus scolaire, la poursuite d’études et même la profession d’un jeune est plus ou moins conditionnée ou induite par le niveau de la catégorie socio-professionnelle de ses parents. Les étudiants qui poursuivent leur étude après le bac sont plus nombreux parmi les classes sociales les plus favorisées.

De ce fait, ce livre parle du déterminisme mais dans le champ de l’art. Bourdieu explique, entre autres, qu’il y a des niveaux dans l’art, où la musique classique, la peinture et la sculpture seraient en haut de la pyramide reconnue par les académies et les universitées, qu’ensuite se trouveraient la photographie et le jazzmen reconnues par les critiques et les clubs et qu’enfin se situeraient la décoration, les cinéastes et les arts vulgaires valorisés par la publicité et les créateurs de haute couture.

Le champ du pouvoir est une structure de domination des fractions dominées (les artistes) dans la classe dominante (économie et politique). Et il y est fait un parallèle avec l’école qui perpétuerait ce système de domination.

En plus il ne s’agit pas d’un livre de Pierre Bourdieu mais d’une analyse de son livre « règles de l’art » par Simon Dulmage.

J’ai trouvé que c’était difficile à lire. Heureusement que c’était avec ma liseuse car cela m’a permis d’avoir la définition des mots compliqués. Il y a tout une partie sur un parallèles avec les artistes allemands qui m’a un peu perdue.

Difficile de classer ce livre par rapport à mes lectures habituelles. Mais je trouve que les auteurs devraient se mettre à la portée de tous les lecteurs et ne pas écrire entre-soi.

Je classe ce livre en 571ème position et ne lui met pas d’étoile.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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