Retour à la villa aux étoffes
Présentation de l’éditeur
Un vent de bonheur souffle sur la villa aux étoffes : le troisième enfant de Marie et Paul Melzer vient d’avoir quatre ans et le couple s’aime plus que jamais. Mais la crise économique qui se propage en Europe met en péril l’usine de textile. Et quand Paul tombe malade, c’est Marie qui doit une nouvelle fois sauver l’entreprise de la ruine. Croulant sous des dettes qu’elle ne peut rembourser, elle doit faire un choix déchirant. Devra-t-elle se résoudre à vendre l’héritage familial, la demeure qui l’a accueillie et a vu naître ses enfants ?
4ème tome de la saga d’Anne Jacobs, en attente du 5ème à paraître en juin. Même commentaire que pour les précédents, j’ai aimé retrouver les personnages et la suite de leurs aventures. Chaque chapitre est raconté par un personnage différent.
Je classe ce livre en 170ème position et lui donne 2 étoiles.
Histoire de bottes
Cet après-midi avec petit mari, nous nous sommes lancés dans le nettoyage au Kärcher de notre allée pavée dans le jardin.
Au bout d'une heure environ :
JP : "J'ai mal au pied dans mes bottes".
moi : "il y a d'autres paires dans le garage".
JP a du mal (beaucoup de mal) à enlever ses bottes. Je lui donne une autre paire.
moi : "c'est normal que tu aies mal au pied, c'était un 39 ! 5 pointures en dessous de ton 44 !!
JP : "Ce n'était pas les bonnes bottes".
moi : "A priori, non. Tu as mis une heure à t'en rendre compte ? Et en les enfilant, tu n'as pas eu du mal ?"
JP : "Si un peu".
Moi : "Tu es trop drôle, je veux te garder comme mari, tu trouves toujours le moyen de me faire rire".
On a bien ri tous les deux avec cette histoire de bottes trop petites.
L'héritage de la villa aux étoffes
Présentation de l’éditeur
Augsbourg, 1920. La guerre est finie et, après les difficultés et les privations, le bonheur a refait son apparition à la villa aux étoffes. Rentré de captivité, Paul Melzer a repris la tête de l'usine familiale. Avec l'aide de son associé Ernst von Klippstein, il la remet à flot et l'engage sur la voie de la modernité. Marie, de son côté, peut enfin se consacrer à sa véritable vocation et ouvrir un petit atelier de haute couture. Il ne faut pas longtemps pour que ses merveilleuses créations connaissent un grand succès. Mais alors que son activité se développe, son mariage avec Paul commence à battre de l'aile. Après une ultime dispute, Marie quitte la villa avec leurs deux enfants. Le destin est en marche...
J’ai aimé le 3ème tome d’Anna Jacobs comme j’ai aimé les deux premiers. J’ai retrouvé les personnages avec plaisir. Les 646 pages se lisent facilement. Je vais donc attaquer le 4ème tome (qui n’existe malheureusement pas encore en poche mais en broché car trop récent, d’où le prix "22,50 € !" et je sais que le 5ème tome sortira en juin, avant peut-être un 6ème…). Je ne le savais pas en commençant le premier tome mais bon, je sais en continuant la série que je vais passer un bon moment de lecture.
Je classe ce livre à la suite des deux premiers tomes, à savoir en 169ème position avec deux étoiles.
de l'hiver au printemps
Les filles de la villa aux étoffes
Présentation de l’éditeur :
Augsbourg, hiver 1916. Trois ans se sont écoulés depuis le jour où Marie a frappé pour la première fois à la porte des Melzer. Seulement trois ans... et pourtant tout a changé. Si la jeune femme est à présent l'épouse de Paul et la maîtresse des lieux, l'heure n'est plus à la fête dans la somptueuse demeure transformée en hôpital militaire. Les hommes ont rejoint le front, femmes et domestiques œuvrent jour et nuit aux côtés des blessés et Marie se consacre à la gestion de l'usine familiale, dont elle découvre avec stupeur la situation critique. Alors que s'éloigne un peu plus chaque jour l'espoir de voir Paul revenir rapidement de cette guerre terrible et que le destin de toute la famille repose sur ses seules épaules, Marie se sent vaciller. Qu'est-ce qui la retient alors d'accepter l'aide du séduisant Ernst von Klippstein, qui n'a jamais dissimulé l'intérêt qu'il lui porte ?
J’ai apprécié le tome 2 de la saga de la Villa aux étoffes d’Anne Jacobs tout comme j'avais apprécié le premier tome. J’ai aimé retrouver les personnages et découvrir la suite de leurs aventures. Les femmes y jouent un rôle prépondérant, du fait que la plupart des hommes sont partis au front. Je viens d’ailleurs de commencer le tome 3 et de commander le tome 4. Le tome 5, lui, sortira en juin…
Je classe ce livre en 168ème position, juste après le 1er tome et lui donne 2 étoiles.
Goliath
Synopsis : France, professeure de sport le jour, ouvrière la nuit, milite activement contre l’usage des pesticides. Patrick, obscur et solitaire avocat parisien, est spécialiste en droit environnemental. Mathias, lobbyiste brillant et homme pressé, défend les intérêts d’un géant de l’agrochimie. Suite à l’acte radical d’une anonyme, ces trois destins, qui n’auraient jamais dû se croiser, vont se bousculer, s’entrechoquer et s’embraser.
Petit mari et moi avons bien aimé ce film de Frédéric Tellier. On avait craint le côté moralisateur ou démagogique mais en fait non, cela sonne assez juste : l’importance des lobbies et leur cynisme, leur flirt avec les politiques pour faire voter l’utilisation des produits controversés, la mauvaise communication sur l’utilisation des pesticides aux agriculteurs dont la dangerosité cancérigène des composants est minimisée... Pierre Niney est parfait dans le rôle du méchant et Gilles Lellouche est bon également même si son rôle d’avocat un peu bancal est moins crédible.
Je classe ce film en 77ème position (sur 120 que compte mon classement) et lui donne 2 étoiles.
Histoire du fils
Présentation de l’éditeur :
Le fils, c’est André. La mère, c’est Gabrielle. Le père est inconnu.André est élevé par Hélène, la sœur de Gabrielle, et son mari. Il grandit au milieu de ses cousines. Chaque été, il retrouve Gabrielle qui vient passer ses vacances en famille.Entre Figeac, dans le Lot, Chanterelle ou Aurillac, dans le Cantal, et Paris, Histoire du fils sonde le cœur d’une famille, ses bonheurs ordinaires et ses vertiges les plus profonds, ceux qui creusent des galeries dans les vies, sous les silences.
Alors le premier point, c’est cette écriture au kilomètre. Jamais un interligne, jamais ne serait-ce qu’un retour à la ligne dans ce roman de Marie-Hélène Lafon ! Les dialogues sont narrés et ne donnent pas de souffle. C’est juste pénible à lire sur la forme. Sur le fond, c’est pareil, c'est indigeste. Les allers et retours dans le passé, à chaque chapitre, il faut calculer l’âge des uns et des autres pour s’y retrouver. Enfin, c’est ce que j’ai dû faire. Et puis par moment j’avoue avoir été un peu perdue dans les prénoms de personnages et revenir en arrière pour m’y retrouver. Et puis, on attend quelque chose qui ne viendra jamais et on se demande pourquoi. Alors, prix Renaudot ou pas, moi, je n’ai pas aimé du tout. Heureusement, il n’y a que 175 pages !
Je classe ce livre en 639ème position et lui donne un « moins ».
Next ! J’ai reçu la suite de « La villa aux étoffes », je sais que ce sera plus agréable…
Monsieur le facteur
La dernière fois qu'Antoine est venu à la maison, à un moment dans une de nos conversations, il m'a dit qu'il ne recevait jamais de courrier à son appartement, sauf quand je lui envoie un petit colis.
Alors l'idée m'est venue en début de semaine suivante de lui envoyer une lettre, puis la semaine suivante une seconde, et encore une troisième...
Pas de nouvelle depuis suite à cela 😥
Alors tout à l'heure au téléphone, je lui demande s'il va de temps en temps voir dans sa boîte aux lettres. Il me dit qu'il n'y est pas allé depuis longtemps. Je lui propose d'aller y faire un tour.
Après le coup de fil, il m'a envoyé des sms pour me dire qu'il irait plus souvent maintenant !
Ca lui a fait plaisir 👍
Maigret
Synopsis : Maigret enquête sur la mort d’une jeune fille. Rien ne permet de l’identifier, personne ne semble l’avoir connue, ni se souvenir d’elle. Il rencontre une délinquante, qui ressemble étrangement à la victime, et réveille en lui le souvenir d’une autre disparition, plus ancienne et plus intime…
Bon, il n’y a rien à reprocher à la prestation de Gérard Depardieu dans ce film, il est parfait dans le rôle de Maigret mais JP et moi avons été un peu déçus. Difficile à expliquer pourquoi, on ne s’est pas ennuyé non plus mais on n'en gardera pas un souvenir impérissable.
Je classe ce film en 80ème position et lui donne 1 étoile.