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Le petit monde de So et de Fi
19 décembre 2020

Avec la SNCF, c’est possible (suite)

J'ai mis dans le titre "suite" mais ce n'est pas la suite de la contravention d'Antoine. On n'a pas de retour pour l'instant... 

Ici, ce sont deux autres péripéties avec la SNCF.

En octobre, JP s’est rendu par le train jusqu’à Angers pour voir Guillaume, Séverine et les enfants. 

Le premier train Valenciennes/Lille n’est jamais arrivé, JP a dû prendre le suivant.

Le train qu'il devait prendre ensuite Lille/Paris était donc parti à son arrivée à la gare de Lille. 

Il n’y avait pas de guichet ouvert donc aux bornes il a dû reprendre un billet Lille/Paris et Paris/Angers pour 54 €.

A son retour il a demandé le remboursement. A ce jour, 2 mois après, malgré relances, il n’a toujours pas été remboursé !

Aujourd’hui même, Antoine prend un Strasbourg/Besançon puis un Besançon/Lons le Saunier. Le deuxième train est supprimé mais la Sncf n’a même pas envoyé de message à Antoine.

C’est en regardant l’application qu’il a découvert l’annulation.

De ce fait, il doit attendre le prochain train 3 heures plus tard, dans une gare isolée et désertique !!! Et repayer 8 €.

En ce moment même, un représentant de la SNCF vient de dire à la radio que tout va bien et que tous les trains sont assurés !! Ah, ah, ah !

pfff !

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15 décembre 2020

L'Abyssin

Quatrième de couverture :

«Quelque chose, pourtant, lui disait qu'il pouvait réunir l'inconciliable, c'est-à-dire ne renoncer ni au désir qu'il avait de connaître l'Abyssinie et de s'y illustrer, ni à la tentation de conquérir l'inaccessible Alix de Maillet, dont tout en lui proclamait qu'elle n'avait été créée que pour le rencontrer et le rendre heureux. Voilà, pensa-t-il, c'est exactement cela. Il y a entre elle et moi d'extraordinaires obstacles ; seules d'extraordinaires circonstances peuvent les surmonter. Si j'étais resté au Caire, je ne l'aurais jamais vue, jamais approchée et rien n'aurait été possible. Mais la mission qui m'est confiée, en me faisant affronter de grands périls, peut m'assurer en retour un grand triomphe. Je vais en Abyssinie, je guéris le Négus, je reviens avec l'ambassade qu'on me demande, je l'accompagne à Versailles. Louis XIV me fait noble et le consul ne peut plus me refuser sa fille ? Il avait cru d'abord, sans enthousiasme, que sa mission servait seulement les desseins du Roi de France et du Pape. Maintenant, il réalisait qu'elle pouvait être aussi l'instrument de son bonheur. La chose devenait autrement sérieuse ?

J’ai bien aimé ce livre de Jean-Christophe Rufin même si j’ai trouvé des longueurs parmi ces 699 pages (9 jours de lecture tout de même). Il m’a manqué aussi une carte géographique en début de livre pour pouvoir m’y référer et suivre les pérégrinations de Jean-Baptiste Poncet. Je situe bien Le Caire mais j’aurais bien voulu repérer les autres villes traversées par le héros et décrites par l’auteur. J’ai apprécié la description du Roi Négus et la personnalité qui s’en dégage. La fin est surprenante et on ne s’y attend pas. C’est très bien ainsi.

J'aime bien la dernière phrase du roman : " Rien de le contredit mais rien non plus ne le prouve car des gens heureux on ne sais pas grand chose. Ils vivent, voilà tout, et le bonheur leur tient lieu d'histoire."

J’ai lu récemment un autre livre du même auteur : « Immortelle randonnée » classé en 149ème position avec 2 étoiles et plus anciennement : « Check-point » classé en 247ème position avec 2 étoiles.

Je classe ce livre en 307ème position et lui donne une étoile.

6 décembre 2020

L'homme qui plantait des arbres

Présentation de l’éditeur

Si l'on n'y prenait garde, la vie se retirerait vite des landes de Haute-Provence, et le plateau de la lavande retournerait au désert. Elzéard Bouffier a voulu l'empêcher. Berger paisible et obstiné, toute sa vie il a planté des arbres, des milliers d'arbres et, au fil des ans, la région est redevenue verdoyante, fraîche, parfumée.

J’ai bien aimé cette courte (très courte) histoire de Jean Giono (15 pages, le reste du livre étant consacré à l’analyse et à des exercices destinés à des écoliers ou des collégiens). La vie revient dans des villages abandonnés grâce à un ancien berger planteur d’arbres, où même l’eau réapparait avec cette forêt. C’est une jolie trouvaille, pleine d’enseignement, écologiste avant l’heure. Mais j'ai quand même un goût de trop peu… Ce texte a été proposé dans le cadre d’un concours par un magazine américain, le reader’s digest et dont le thème était « le personnage le plus extraordinaire que j’ai rencontré ».

Je classe ce texte en 323ème position et lui donne une étoile.

6 décembre 2020

Avec la sncf c'est possible !

Le 30 août, Antoine s'est fait contrôlé dans le train de Strasbourg/Lille. Il n'avait malheureusement pas sa carte d'identité sur lui et malgré sa carte vitale à son nom et sa carte bancaire, le contrôleur lui a fait payer une contravention (à son nom !) de 180 euros. Au retour, le contrôleur plus compréhensif, ne l'a pas verbalisé.

Courant septembre, JP a envoyé une réclamation à la SNCF en expliquant qu'Antoine était en règle, qu'il avait bien un titre de transport, qu'il avait également payé pour son chat et demandait de ce fait le remboursement de la somme.

Le service réclamation de la SNCF nous renvoie vers le médiateur. JP fait donc un mail au médiateur qui nous renvoie à son tour vers le service réclamation de la SNCF !

On a tenté alors de faire une saisine en ligne auprès du médiateur. Première tentative la semaine dernière, au moment de faire "envoyer" le système se bloque. On a retenté aujourd'hui, même résultat ! On n'est même pas surpris.

C'est sûr qu'ils ne doivent pas être débordés de dossiers à traiter, si un service renvoie à un autre qui renvoie au premier avec en plus une procédure en ligne qui ne fonctionne pas...

De ce fait, on a tout réimprimé et on renvoie tout demain par courrier au médiateur.

A suivre...

5 décembre 2020

Ces femmes qui pensent trop - Débrancher (enfin) son mental et reconquérir sa vie

Présentation de l’éditeur

Débrancher (enfin) son mental et reconquérir sa vie. Vous restez éveillée une partie de la nuit en repassant en boucle votre journée ? Vous avez du mal à vous concentrer car les pensées négatives vous envahissent ? Vous avez le sentiment de ne pas pouvoir contrôler votre esprit ? Vous êtes certainement une overthinker, une personne qui ressasse pendant des heures des pensées, des expériences et des sentiments négatifs. Ces prises de tête sont souvent sources de tristesse, de colère, d'anxiété et de dépression. Sortez de la boucle infernale et retrouvez sérénité et joie de vivre !
Découvrez dans ce livre :
- Les facteurs déclencheurs de l'overthinking et les raisons pour lesquelles les femmes en souffrent davantage.
- Des méthodes efficaces et concrètes pour vous en libérer et prendre de la hauteur.
- Des témoignages d'overthinkers abordant différents thèmes (couple, parentalité, emploi, deuil...).

Je n’attendais pas de solutions miracles avec ce livre. Je ne les ai pas trouvées.

Je suis, je pense, une "overthinker" (déjà le fait qu'il n'y ait pas de terme en français, cela m'agace). J’ai souvent de mal à m’endormir le soir parce que les pensées arrivent par flots et tournent en boucle.

C’est d’autant plus vrai dans des périodes de grosses charges de travail. Elle aborde la question du travail dans son livre, mais principalement quand les relations avec les collègues sont difficiles ou lorsqu’un chef fait une réflexion et que les personnes en viennent à douter de leurs compétences. Elle n’aborde pas la question du « trop », le fait qu’on peut avoir des périodes très chargées et/ou stressantes et de ce que cela peut impliquer la nuit (je me lève souvent plusieurs fois pour noter ce que je ne dois pas oublier de faire par exemple) et n’arrive pas à m’endormir ou à me rendormir.

Et c’est pourquoi, quand je lis ce livre, justement dans une période très chargée au travail (organisations des jurys de diplôme avec le stress annuel que cela implique pour le calcul de leur obtention après 5 ans d’études) que je trouve ces solutions inefficaces.

Dire « stop » à ses pensées (la police de la pensée) et elles s’arrêtent ! Faites-moi rire, j’ai bien essayé, cela ne fonctionne pas. Faire attention à sa respiration, méditer pour se calmer, cela fonctionne 3 minutes et les pensées reviennent. Faire une autre activité, oui, je peux me lever et m’occuper l’esprit pendant une heure mais quand je me recouche, c’est reparti de plus belle… Le « choisissez de ne pas vous impliquer dans des situations qui éveillent l’overthinking », elle est rigolote, non ?

Il m’arrive aussi de « ruminer » quand un problème arrive. C’était le cas récemment, par exemple, quand on a cherché un nouvel appartement pour Antoine (pendant le premier confinement !), que l’on a vu des arnaques et que j’ai douté de la propriétaire parce qu’elle ne voulait donner aucune confirmation de son statut. Finalement tout s’est bien passé mais cela a généré du stress (que j’ai malheureusement réussi à communiquer à JP et à Antoine) pendant plusieurs semaines.

Il m’arrive heureusement de longues périodes où l’endormissement est plus facile, fort heureusement.

Le livre est ponctué de cas précis de personnes "overthinkers" qui arrivent généralement toutes à s’en sortir en suivant les conseils du livre. Mouais, je suis perplexe. C’est un peu simpliste.

Un passage toutefois a eu grâce à mes yeux :

« Nous avons également trop tendance aujourd’hui à considérer la famille comme l’éternelle responsable de nos échecs, de nos malheurs. On la rend responsable de nos échecs, de nos difficultés d’adulte sous prétexte que « tout s’explique dans l’enfance ». Et comme il n’y a pas d’éducation parfaite, on a l’embarras du choix pour y trouver un traumatisme, une carence affective, etc. (…). La plupart d’entre nous avons eu des parents pleins de bonne volonté, qui ont fait de leur mieux. Bien sûr, on a toujours des regrets. On les aurait voulus plus aimants ou moins protecteurs, plus ouverts. Poussés par note obsession du « tout nous est dû », nous cherchons dans notre jeunesse les explications à nos faiblesses, ce qui est le meilleur moyen de rester prisonnier d’un overthinking destructeur. Or, on ne devient un adulte responsable et mature que l’lorsqu’on est capable d’assumer son passé, de comprendre -et d’accepter- les personnalités de ses parents, d’assumer son héritage et d’en dépasser les effets négatifs. Refuser la réalité, (…) c’est laisser les traumatismes vous affecter. De la même façon, rester obsédé par les souvenirs vous emprisonne et vous empêche de construire votre vie. »

Je classe ce livre en 464ème position et ne lui donne pas d’étoile.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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