Présentation de l’éditeur

Du haut de mes trente-deux mètres,

je les regarde vivre sur la place du village.

Depuis cent trois ans, je partage leurs nuits et leurs jours,

j’effeuille leurs amours et parfois j’envie leurs cris de joie.
 

En ce matin de printemps, un avis d’abattage est cloué

sur le platane centenaire qui ombrage ce village de Provence.

Entraînés par un petit garçon effronté, sept habitants s’unissent

pour découvrir qui souhaite la mort du géant.

Ensemble, ils combattent cette sentence absurde,

tandis que l’arbre les observe et vibre avec humour et philosophie

au rythme de leurs émotions et de leurs conflits.

Qui l’emportera… le pouvoir ou la solidarité ?

Aux premiers jours de l’été, Clément, Suzanne, Fanny

et les autres ne seront plus les mêmes.

Bon, j’ai trouvé ce roman "gentillet". Dommage, car les personnages sont bien campés et bien décrits et on s’attache à leur personnalité. On sait ce qu’il advient de l’arbre mais on ignore ce qu’il advient des personnages, comme si l’on n’était témoin que d’une tranche de vie sans avoir la possibilité de connaître la suite, d’où un certain manque, à mon sens. 

J’avais déjà lu un livre de Karine Lambert « L’immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes » et il est classé actuellement en 306^ème position avec une étoile. 

Je classe ce livre « Un arbre, un jour » en 228^ème position et lui donne une étoile.

Nous revenons de Barcelone où nous avons passé quelques jours.

Jour 1 :

Promenade dans le "Barrio Gotico" où nous avons vu cette jolie mezzanine près de la Cathédrale : 

La Cathédrale de Barcelone de Santa Creu et Santa Eulalia :

L'intérieur est très beau :

et le cloître est fait de verdure et de fontaines :

Nous avons également la possibilité de monter sur la terrasse de la Cathédrale par un ascenseur un peu rustique avec une jolie vue à 360 ° sur la ville (on aperçoit au loin à droite le musée national des arts de Catalogne) :

Toujours dans le barrio Gotico, nous sommes passés sous une passerelle qui ressemble un peu au pont des Soupirs de Venise (sans l'eau en dessous :) ) :

Nous avons poursuivi jusqu'au quartier "El Born" aux halles du Mercat de Santa Caterina (avec un toit ondulé et coloré, oeuvre du célèbre architecte Enric Miralles et de sa femme Benedetta Tagliabue) :

Ce bâtiment, qui doit son nom à un ancien couvent, recouvre maintenant des vestiges datant de 4000 ans :

Une rue typique de Barcelone :

La Rambla comme toujours emplie de monde (sauf le matin tôt). Notre hôtel était très bien situé, à 200 m de là :

Jour 2 :

Nous nous dirigeons de bon matin vers le port.

Christophe Colomb nous indique la direction de l'Amérique :

Le port de Barcelone :

Nous empruntons le téléphérique avant de visiter le quartier du Montjuic :

Très jolie vue du téléphérique :

Le château du Montjuic, qui est surtout une citadelle, situé sur une colline entre le port et la ville :

avec une vue à 360 ° (ici côté ville) : 

Vue côté mer (port industriel) :

Nous sommes redescendus en bus et sommes passés devant le musée national des arts de Catalogne (celui-ci domine la place d'Espagne) :

Nous sommes passés devant la Casa de Mila, une des nombreuses oeuvres de Gaudi :

et sommes arrivés à la Sagrada Familia (oeuvre monumentale de Gaudi, toujours en travaux, ils espèrent terminer la construction des 10 tours restantes en 2026 -il y en a 8 pour le moment-, année du centenaire de la mort de l'artiste) :

L'extérieur :

L'intérieur :

Les vitraux (il y en a de toutes les couleurs, c'est vraiment magnifique) :

Le plafond :

Le portique et les quatre tours de devant :

Jour 3 :

Nous avons commencé nos déambulations par le Mercat de la Boqueria (immense marché, ouvert tous les jours, toute la journée) :

Ici, c'est la vitrine d'une patisserie très connue qui existe depuis 1920 :

La Plaça reial (la place royale) :

Le palais Guell (autre oeuvre de Gaudi) que nous avons visité :

L'intérieur est superbe, mélange de bois précieux, de marbres et de métal :

Le salon où l'on jouait de la musique (avec un orgue à demeure et un orchestre les jours de concert) :

La terrasse du Palais avec ses cheminées en céramique de toutes les couleurs :

Nous sommes ensuite allés jusqu'à la plage :

En chemin, nous avons rencontré plein de groupes de musiciens et de danseurs :

avant de parvenir en métro jusqu'au Camp Nou, le stade du FC Barcelone. JP devant le Ballon d'or de Messi :

Le stade de 99.000 places (impressionnant même pour une non fan de foot !) :

Vue de tout en haut dans les cabines des journalistes sportifs (Jean-Paul était ravi de la visite !!) :

Nous sommes ensuite revenus dans le centre pour voir des démonstrations de danse, la Sardane, au son d'un orchestre devant la Cathédrale :

Jour 4 :

Démarrage de la journée par le Musée Picasso :

Les Ménines :

Autre rue de Barcelone :

Ensuite, avant de rejoindre le Park Guell, autre oeuvre de Gaudi, nous avons fait un petit parcours parmi différentes places de Gracia (ici, la place de la Villa de Gracia avec sa tour de l'horloge) :

Où nous avons mangé une spécialité catalane (très bon !) :

Le Park Guell (dessiné par Gaudi) :

avec sa place :

ses mosaiques :

L'escalier du dragon tout en céramique :

L'escalier vu de plus haut :

La maison du garde :

Et la vue que l'on a tout en haut du parc :

De retour dans le centre et pour fêter notre super séjour à Barcelone, bien ensoleillé, nous nous sommes offerts une Sangria sur la Rambla :

Présentation de l’éditeur

L’Algérie dont est originaire sa famille n’a longtemps été pour Naïma qu’une toile de fond sans grand intérêt. Pourtant, dans une société française traversée par les questions identitaires, tout semble vouloir la renvoyer à ses origines. Mais quel lien pourrait-elle avoir avec une histoire familiale qui jamais ne lui a été racontée ? Son grand-père Ali, un montagnard kabyle, est mort avant qu’elle ait pu lui demander pourquoi l’Histoire avait fait de lui un « harki ». Yema, sa grand-mère, pourrait peut-être répondre mais pas dans une langue que Naïma comprenne. Quant à Hamid, son père, arrivé en France à l’été 1962 dans les camps de transit hâtivement mis en place, il ne parle plus de l’Algérie de son enfance. Comment faire ressurgir un pays du silence ? Dans une fresque romanesque puissante et audacieuse, Alice Zeniter raconte le destin, entre la France et l’Algérie, des générations successives d’une famille prisonnière d’un passé tenace. Mais ce livre est aussi un grand roman sur la liberté d’être soi, au-delà des héritages et des injonctions intimes ou sociales.

J’ai eu quelques difficultés au début du livre à me concentrer sur l’histoire, sur les personnages. Puis, à partir du départ de l’Algérie, je suis rentrée dans l’histoire de ces 3 générations de Harkis. Les situations des personnages sont bien étudiées, celle de celui qui décide de partir et d’emmener sa famille (Ali), la génération suivante qui s’adapte à la vie française et oublie peu à peu les souvenirs du pays d’origine et la langue (Hamid), et enfin celle de la génération qui naît en France et qui veut essayer de comprendre les pourquoi et les comment de l’histoire familiale (Naima). Cette génération se sent française mais pas tout à fait dans le regard des autres. Cette double culture et ce sentiment d’appartenance à l’une ou à l’autre en fonction des situations et des évènements sont très bien décrits par l’auteur Alice Zeniter.

Je classe ce livre en 83^ème position et lui donne 3 étoiles. J’ai beaucoup appris sur la guerre d’Algérie avec ce livre (un peu comme le livre de Victoria Hislop que j’avais bien aimé aussi « Une dernière danse » m’avait permis d’en savoir davantage sur la guerre civile espagnole).

Pour ce week-end prolongé de l'ascension, JP avait réservé une Tiny House à Looberghe (près de Gravelines), à 15 kilomètres de la mer du Nord (sympa de l'extérieur mais les toilettes, la douche et l'évier sont à l'extérieur) :

Le pipi de la nuit où il faut traverser en nuisette les pieds dans la rosée, bof, bof.

La propriétaire était sympa, un peu collante mais très sympa.

Sinon, on était en pleine nature (ça c'était bien !), entouré de chevaux :

et de poules et de coqs (Jecko a essayé de courir après mais peine perdue !) :

Jeudi, nous sommes allés à Oye-Plage (où il y a un sentier très bien aménagé avant d'accéder à la plage) :

et une plage gigantesque (comme la plupart des plages de la Côte d'Opale) et pas grand monde (!) :

Vendredi, nous sommes allés à la Plage de Petit-Fort-Philippe avec ses cabines bleues et blanches :

et son phare :

Samedi matin, (après nos 7 kilomètres de jogging quotidiens), nous avons fait une ballade (randonnées des nouvelles terres avec une variante courte de 9 kilomètres et une variante longue de 18 km) sous le soleil et dans les champs (les 9 kilomètres annoncés au départ se sont avérés être 12 km (!) et on ne s'est pas trompé). JP qui a mal au dos au bout de 7 ou 8 kilomètres, a eu du mal à terminer !!

Les champs de lin (qui aime a priori le sol sableux) :

Une petite chapelle (à 3 kilomètres encore de l'arrivée mais on ne le savait pas encore qu'il en restait autant...) :

Samedi après-midi, après nous être équipés d'une tente (contre le vent et le soleil) et de fauteuils pliables (pour le confort de mon petit mari), nous sommes retournés à la plage de Petit-Fort-Philippe (où il y avait un peu plus de monde mais quand même ça va !! quand on voit les serviettes contre serviettes de la Côte d'Azur) :

J'ai fait au moins un kilomètre pour arriver jusqu'à la mer ( ;) !) et me baigner (un quart d'heure pour y aller, autant pour revenir !). Elle était fraîche mais j'ai fait quelques brasses.

Dimanche, 20 kilomètres avec nos vélos électriques le long du canal de la Colme (le retour contre le vent, on a bien apprécié l'assistance électrique) :

Petit arrêt près d'oies et de canards (avant de rebrousser chemin) :

C'était un super week-end qui a passé trop vite. Le temps était de la partie, (28°C samedi et 29°C dimanche), c'était chouette !