Danser au bord de l'abîme
Petit préambule :
Avec mes petites mésaventures de la journée du 3 avril passée dans plusieurs aéroports de France à attendre (voir mon billet du 3 avril), j'ai pu finir un livre et en attaquer largement un autre...
Présentation de l’éditeur
Emma, quarante ans, mariée, trois enfants, heureuse, croise le regard d’un homme dans une brasserie. Aussitôt, elle sait.
J’ai lu, avant celui-ci, « Danser au bord de l’abîme », 3 autres livres de Guillaume Delacourt. « La liste de mes envies » lu en décembre 2012, classé en 166ème position dans mon classement et gratifié de 2 étoiles, « l’écrivain de la famille » lu en octobre 2013 en 338ème position avec une étoile, et « la première chose que l’on remarque » lu en janvier 2016 classé en 363ème position sans étoile.
Pour changer de mon habitude, je vais donner le classement avant mon commentaire. « Danser au bord de l’abîme » se retrouve en 368ème position et je ne lui donne pas d’étoile. Au vu de la baisse croissante dans le classement, je vais peut-être arrêter de lire cet auteur…
Il y a pour moi 3 parties dans ce livre, que je peux difficilement détailler sans éventer l’histoire. La première partie est sympa mais peu crédible, la seconde est triste et la troisième assez plombante. Et puis surtout, le style alambiqué et le trop plein de détails sur les sentiments de l'héroïne m’a perdue dès le début.