Présentation de l’éditeur

Karen Holt est agent d’un service de renseignement très particulier. Benjamin Horwood est un universitaire qui ne sait plus trop où il en est. Elle enquête sur une spectaculaire série de vols d’objets historiques à travers le monde. Lui passe ses vacances en France sur les traces d’un amour perdu. Lorsque le vénérable historien qui aidait Karen à traquer les voleurs hors norme meurt dans d’étranges circonstances, elle n’a pas d’autre choix que de recruter Ben, quitte à l’obliger. Ce qu’ils vont vivre va les bouleverser. Ce qu’ils vont découvrir va les fasciner. Ce qu’ils vont affronter peut facilement les détruire.

Comme d’habitude, j’ai adoré ce livre de Gilles Legardinier. Ce n’est pas une comédie comme les premiers auxquels il nous avait habitué ("complètement cramé", "demain j'arrête", "et soudain tout change", "Ca peut pas rater", "quelqu'un pour qui trembler", ...) mais plutôt un livre d’aventures doublé d’un petit côté policier. On adore être emporté par son univers et on suit l’enquête documentée avec délectation. Les personnages sont attachants à souhait et on n’a pas envie que cela s’arrête, ce qui est la marque des livres qui comptent. L’humour est toujours présent et les dialogues claquent !

Je le classe en 18^ème position et lui donne trois étoiles.

Hier soir, nous sommes allés voir "Fences" au Cinéma de Denzel Washington avec Denzel Washington et Viola Davis.

Le synopsis, c'est : "L'histoire bouleversante d’une famille où chacun lutte pour exister et être fidèle à ses rêves, dans une Amérique en pleine évolution. Troy Maxson aspirait à devenir sportif professionnel mais il a dû renoncer et se résigner à devenir employé municipal pour faire vivre sa femme et son fils. Son rêve déchu continue à le ronger de l’intérieur et l’équilibre fragile de sa famille va être mis en péril par un choix lourd de conséquences…"

Fences signifie barrières (barrière que doit construire le personnage principal autour de sa maison, mais aussi barrière sociale, ethnique).

Personnellement, je me suis ennuyée. Je n'avais qu'une hâte, que le film se termine... et il dure 2 h 20...

Jean-Paul n'a pas franchement adoré non plus.

Si je n'ai pas aimé, je pense que cela vient de deux éléments principaux. Le film a été réalisé après le succès d'une pièce de théâtre avec les mêmes acteurs. Le problème c'est qu'on est au cinéma et le décor quasi unique de la maison et de la rue est pesant.

La deuxième raison qui m'a énormément gênée, c'est le doublage, très mauvais selon moi. Je suis restée spectatrice et je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire.

Le personnage principal est détestable, ce qui n'a rien fait pour arranger mon sentiment général.

Je classe ce film en 11ème position et lui donne deux "moins".

Puisque l'on va davantage au cinéma depuis que nous avons la carte pass duo, j'ai décidé de faire un classement comme je le fais pour mes lectures.

Nous sommes allés voir "Lion" aujourd'hui. Miracle, JP et moi avons bien aimé ! (souvent j'aime mais JP n'aime pas ou l'inverse, enfin c'est surtout la première solution, JP est plus difficile que moi....).

Voici donc le classement (avec les dix premiers films, classés par ordre de préférence) :

Quatrième de couverture

Si Marc n'était pas un incorrigible rêveur, peut-être aurait-il pris conscience dès son plus jeune âge des drames, des jalousies et des vieilles rancunes qui déchirent les familles du hameau où il est né. Peut-être aurait-il aussi compris tout ce qui, dès le départ, les comdamnait, Odile et lui, à ne pouvoir s'aimer. Lorsque, vingt ans plus tard, le destin remet Odile sur sa route, il se trouve confronté à un cruel dilemme : retourner à la respectabilité de son foyer parisien et aux médiocres illusions de sa vie bourgeoise, ou admettre qu'il n'a jamais rien voulu que rester au pays, quels que soient les sacrifices que cela lui demande...

A part de belles descriptions du pays de son enfance, ce livre de Didier Cornaille fait la part belle à l’indécision chronique et aux rêveries du personnage principal. Comme le héros est mou, l’histoire en devient molle…

Je classe ce livre en 211^ème position et lui donne une étoile.

Pour la Saint-Valentin, j'ai emmené JP chez Boulanger car je voulais être sûre que mon idée de cadeau lui plairait.

Une fois dans le magasin, je l'ai dirigé devant le rayon des drônes et je lui ai demandé si cela lui ferai plaisir.

A priori oui, puisque l'on est reparti avec un modèle Parrot. Il y en a à tous les prix mais pour débuter on est resté raisonnable.

Du coup, JP l'a essayé à l'intérieur tout d'abord et hier pour la première fois dans le jardin :

Il n'y avait pas trop de vent donc c'était bien pour une première sortie. Par contre, le drône est tombé deux fois car JP l'avait dirigé dans les branches du noyer :

La batterie est rapidement vide (environ 7 minutes), c'est pourquoi le vendeur nous avait conseillé d'en prendre une seconde.

Premier essai concluant !

Et aujourd'hui avec Antoine, petite vidéo (avec le mode avion, c'est quand il se met de côté les hélices vers l'avant et les ailes à l'horizontal) :

Présentation de l’éditeur

Pour se rapprocher de sa fille, Mathias, libraire à Paris, décide de s'installer à Londres. Il y retrouve Antoine, son meilleur ami, lui aussi père célibataire. Pour rompre la solitude du quotidien, ils prennent la décision d'emménager sous le même toit, avec leurs enfants. Seule règle de cette famille recomposée pas comme les autres : pas de femme à la maison ! Mais elle a beau être belle, l'amitié ne fait pas tout, et bientôt l'amour frappe à la porte...

Ce qu’il y a de bien avec un livre de Marc Levy, c’est que l’on rentre tout de suite dans son univers. Il suffit des 10 premières pages et l’on est déjà amis avec les personnages dont on souhaite connaître la destinée. J’ai moins aimé la fin et les petites choses qui restent non expliquées comme qui est Popinot ? A priori, il faut lire un livre postérieur pour le savoir… mais là du fait on reste sur sa faim.

Je classe ce livre en 141^ème position et lui donne deux étoiles (j’en ai retiré une à la fin du fait de ce qui reste incompréhensible).

Aujourd'hui, nous sommes allés à Calais pour les demi-finales du Championnat de France par équipe sénior (Antoine est encore junior mais peut combattre également en sénior).

Nos deux équipes du club de Condé, féminine et masculine, partaient déjà avec un handicap au départ, car il manquait un compétiteur dans une des catégories de poids.

Normalement constituée de 5 judokas, les deux équipes étaient composées de 4 judokas (ou judokates).

Dans l'équipe masculine, il manquait le judoka plus de 90 kilos (car deux blessés).

Il fallait donc pour passer au tour suivant remporter au moins 3 combats sur 4 (et non sur 5 !).

Lors du premier tour, Antoine n'a pas combattu car dans l'équipe adverse d'Amiens, il n'y avait personne dans sa catégorie de poids. Pour le coup, ils étaient 4 contre 4. L'équipe du club d'Antoine a gagné 2 combats (le combat par forfait d'Antoine et le combat de Grégoire). L'équipe adverse a remporté les 3 autres (dont le combat par forfait en moins de 90 kilos) :

Au second tour, le club de Condé rencontre l'équipe d'AJ59 de Maubeuge :

Antoine rencontre son premier adversaire. Après 6 ou 7 tentatives de sumi gaeshi non concluantes :

où il risque le contre au sol à chaque fois (oups !) :

il finit une minute avant la fin du temps règlementaire par marquer ippon grâce à un kochi (étranglement en tournant au sol) :

Le clud d'Antoine ne franchira pas le tour suivant car là aussi, ils seront menés 3 combats à 2.

JP et moi avons laissé Antoine avec son équipe et sommes partis manger une moule-frites avant de faire un tour sur la plage de Calais (il faisait beau mais froid à cause du vent !) :

Hier, Antoine et moi avons fait une surprise à Mamie, nous sommes arrivés chez elle, sans l'avoir prévenue au préalable, après 4 heures de trajet (voiture, taxi, train, taxi).

Elle était avec Estelle, la cousine d'Antoine.

L'après-midi, on a joué à des jeux de société.

Le patatras (souvenirs, souvenirs !) où on a bien rigolé :

Babeth (ma sœurette numéro 2) est arrivée et on a fait un pictionnary. Elle est repartie et Amélie est arrivée (cousine d'Antoine) avec son toutou (qui grogne comme un petit cochon) et on a fait un petit bac, et puis un autre avec Cathy (ma sœurette numéro 1).

Très belle après-midi en famille. Vraiment contente de les revoir.

Reste Anne-Marie, (sœurette numéro 3) que l'on va sûrement aller voir cet après-midi.

PS : mes numéro correspondent à l'ordre de naissance, je suis la soeurette numéro 4 ;).

Jeanne, orpheline, est recueillie par la Baronne Marie-Françoise de Bouhey et suit enfant les cours de botanique de Philibert Aubriot, médecin. Elle en tombe follement amoureuse mais il en épouse une autre. Elle rencontre ensuite Vincent le corsaire, mais décidera de rester avec Philibert qui en fait sa maîtresse bien après la mort de son épouse. Elle aura l’occasion plus tard de se retrouver sur la route de Vincent, dont elle deviendra amoureuse également.

Le livre de Fanny Deschamps fait 692 pages et se perd dans des méandres au point que l’on oublie parfois le fil de l’histoire de fond. Jeanne rencontre des tas de gens (Casanova, Richelieu, Diderot, Mozart, ... pour ne citer qu’eux !) et il lui arrive des tas de chose (trop peut-être ?). Bref, j’ai trouvé beaucoup de longueurs et le pire c’est que ce n’est que le premier tome ! Malheureusement, l’auteure ne m’a pas envie de me plonger dans le second. Je ne saurai donc pas pourquoi le titre du livre est « la Bougainvillée » puisque l’on ne sait que dans le second tome (j’ai même vu l'existence d'un troisième tome sur internet !). Personnellement, je m’arrête là.

Je classe ce livre en 323^ème position et ne lui donne pas d’étoile.

JP a effectué sa 17ème leçon de natation et la deuxième avec le maître nageur Fabien.

Celui-ci est venu dans l'eau avec eux et leur a fait faire une diagonale dans le grand bassin puis un retour sur une largeur :

JP a traversé ensuite plusieurs fois la piscine avec ou sans le maître-nageur.

Il est content de sa séance.