Les brûlures de l'été
Quatrième de couverture
Depuis que sa femme l'a quitté, Martial Flora, ouvrier agricole, n'a plus qu'une passion : la forêt, dont il connaît les moindres sentes, épie les moindres bruits. Le jour, ce colosse de deux mètres loue ses bras à qui le veut. La nuit, il retourne dans la vallée encaissée de la Sioule, où nul autre que lui n'aurait l'idée d'habiter... Jamais son chemin n'aurait dû croiser celui de Lucia, une servante italienne qui élève seule son enfant. Elle est belle, désirable même. Martial ne se l'avoue pas, mais, lorsque Lucia lui apprend que son logeur, le marchand de grains, a tenté d'abuser d'elle, il jure de la venger. Car Lucia est de ces femmes pour lesquels un homme tuerait... Un jour d'été, lors de la fête du village, un homme est retrouvé mort, étranglé par une poigne de fer. Seule une force de la nature a pu commettre un acte aussi brutal. Le coupable semble tout désigné...
J’ai beaucoup aimé les trois quarts du livre de Jean-Pierre Leclerc. Après, je trouve que cela part un peu en vrille… Dommage, les personnages étaient intéressants et l’histoire partait plutôt bien. J’ai eu l’impression bizarre que l’auteur a décidé une fin tragique pour donner du coffre à son livre, comme si une fin heureuse aurait dévalué la qualité de celui-ci.
Je le classe en 269ème position et lui donne une étoile.