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Le petit monde de So et de Fi
18 novembre 2015

La peau de chagrin

Présentation de l'éditeur

Si tu me possèdes, tu posséderas tout. Mais ta vie m'appartiendra. Dieu l'a voulu ainsi. Désire, et tes désirs seront accomplis. Mais règle tes souhaits sur ta vie. Elle est là. A chaque vouloir je décroîtrai comme tes jours. Me veux-tu ? A cette invitation séduisante et provocante, Raphaël répond par l'affirmative. Jeune homme malchanceux en proie au désespoir, il rencontre un mystérieux antiquaire qui lui fournit une peau de chagrin, support de cette formule qui résonne comme une incantation. Mais les pouvoirs de cet objet magique, symbole de sa propre vie, ne lui accorderont qu'un bref sursis. Cependant, si la fatalité règne en maître absolu sur le destin de Raphaël, les égarements de la nature humaine ne sont pas totalement étrangers à sa perte, puisque c'est par l'usage inconsidéré qu'il fait de ce talisman qu'il précipite sa déchéance. De même, si sa rencontre avec l'antiquaire est fortuite, elle aboutit néanmoins à un geste inaugural délibéré.

Raphaël de Valentin, sur le point de se suicider, achète une peau de chagrin (peau d’âne sauvage) chez un marchand d’antiquités, aux pouvoirs magiques : cette peau réalisera tous ses vœux mais en contrepartie, elle rétrécira la durée de sa vie. Ce livre d’Honoré de Balzac comporte 3 parties : « Le talisman » où Raphaël est au bord du suicide, l'acquisition de la peau de chagrin et son premier souhait ; « La femme sans cœur » où Raphaël nous raconte sa vie dans un long monologue (70 pages sans interligne, sans dialogue, sans respiration !!), sa chambre minable louée à la pauvre Mme Gaudin et sa fille Pauline où il écrit son œuvre, sa rencontre avec Foedora, une courtisane, les dettes et la misère, son souhait exaucé et la peau qui rétrécit ; «L'agonie » Raphaël et Pauline (devenue riche à son tour) se retrouvent et s'avouent leur amour, le temps du bonheur total, mais la peau qui s'amenuise jusqu'à l'issue fatale.

Je n’ai pas réellement compris ce que Balzac a voulu transmettre ici, l'excès de la passion chez l'homme ou la puissance du désir ? « Vouloir nous brûle et pouvoir nous détruit ». Je me rappelais les longues descriptions dans les livres de Balzac et je n’en avais pas forcément gardé un bon souvenir. Je me suis dit que peut-être avec davantage de maturité, j’apprécierai sa lecture et bien, non, décidément non, j’ai trouvé cela franchement trop ennuyeux, comme quelqu’un qui s’écoute parler sans fin et qui part dans ses propres délire

Je classe ce livre en 320ème position et lui donne deux moins (!) et tout de même 9 jours pour en venir à bout...

 

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Commentaires
J
laisse tomber Balzac et lis Patrick Sebastien c'est moins compliqué tu verras lol
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M
Moi aussi j'ai du mal à lire Balzac, j'ai toute la comédie humaine. Il s'étend et ça traine. Nous sommes encore une fois du même avis.
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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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