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Le petit monde de So et de Fi
29 septembre 2015

Observation pour comportement inadapté

Je reçois ce jour un courrier du Lycée d'Antoine car il s'est endormi en cours d'histoire vendredi dernier.

On me demande de retourner l'accusé réception du courrier ce que je vais faire mais j'ai bien envie de rajouter :

"Je prends note de l'observation mais je tiens juste à informer la professeure d'histoire qu'Antoine s'est levé ce jour là à 6 h du matin pour un entraînement de 6 h 45 à 7 h 30 fait de sprints et de montée de cordes et qu'il s'était couché la veille vers 23 h le temps de revenir de l'entraînement se terminant à 21 h, manger et faire ses devoirs. Effectivement, il a eu un "coup de barre" à 10 h pendant le cours d'histoire. Antoine sait quels efforts il faut consentir pour être en Pôle espoir mais il lui arrive quelquefois malheureusement de s'endormir en cours."

Antoine me dit de ne pas polémiquer (il grandit cet enfant, non ?). Je vais peut-être bien suivre son avis.

A priori, il ne s'agit là que d'une observation qui ne donne pas lieu à une sanction... Tant mieux, c'est déjà ça !

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26 septembre 2015

Les larmes de caramel

Présentation de l’éditeur

Le grand exode des campagnes est commencé. Comme des milliers d'autres déracinés, Rose fait l'expérience de la vie ouvrière, dans les ateliers des soyeux. Marguerite est institutrice, mais devra, sous la pression d'un mari petit-bourgeois, renoncer à son métier. Camille, elle, brave les convenances : elle est la garçonne, la femme émancipée. Autour de ces trois femmes, de leurs amours, de leurs interrogations, de leurs destins, l'histoire bouge et menace : voici la grande crise de 1929, le Front populaire qui divise la ville. Et les menaces qui montent au-delà des frontières, en Allemagne, en Italie, en Espagne... D'une guerre à l'autre, c'est la vie qui va, fertile en surprises, en joies et en deuils, douce et brûlante comme les larmes du caramel...

Franchement, je ne me suis pas passionnée par l’histoire de ces trois femmes. Je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages de Danielle Pampuzac. La situation des femmes à cette époque et le contexte historique auraient pu être des atouts mais j’ai trouvé que c’était trop brouillon. Je m’y suis perdue. Ravie d'avoir terminé pour passer à autre chose...

Je classe ce livre en 270ème position et ne lui donne pas d’étoile.

18 septembre 2015

Nouveau sport, nouvel équipement !

 

Le démarrage de mon nouveau sport entraîne un petit investissement de départ, à savoir une belle raquette de ping-pong, commandée par le club :

IMG_1906

Première utilisation ce mercredi lors du dernier entraînement. C'est vrai que c'est très différent de la raquette que j'avais achetée (plutôt prévue pour l'extérieur), sans savoir à ce moment là que je m'affilierais à un club.

Voili, voilou, y a plus qu'à !!

17 septembre 2015

Dernière sortie avant l'autoroute

Présentation de l’éditeur

Après des années de débauche médiatique, une rédemption est-elle encore possible ? C'est la question que se pose Fraser, star de la télévision écossaise qui, après avoir été au coeur d'un scandale sexuel, décide de se refaire une virginité en gagnant la Floride, à l'invitation de deux jumeaux nés d'une soirée de débauche entre leur mère et le Rat Pack de Frank Sinatra. Après des années de mariage sans amour et avec pour seul horizon la maladie, reste-t-il encore un espoir ? C'est ce que se demande George, un avocat de Glasgow, en route pour un dernier tour de piste entre Londres et Paris, où l'attend une femme merveilleuse dont les six derniers maris sont décédés de mort violente. Fraser et George, les deux amis d'enfance, auraient-ils perdu leur âme ? Et comment la retrouver dans un monde où télévangélistes, scientologues, patrons de studios bipolaires et escort girls hystériques finissent par rendre les serial killers sympathiques ?

Cet avis n’engage bien évidemment que moi mais ce livre est une horreur. 400 pages qui partent dans tous les sens. Un nombre incalculable de personnages dont la grande majorité que l’on ne côtoie que 5 minutes et que l’on ne retrouve plus. J’avais commencé à noter pour tenter de faire des liens entre eux mais je me suis vite rendu compte que cela ne servait à rien. L’auteur emmène ses personnages dans des rêves ou des comas qui sont l’objet d’autant d’histoires parallèles, histoire de complexifier le tout qui n’est déjà pas très compréhensible. Je n’ai donc pas aimé du tout ce livre de Craig Ferguson que j’ai mis 8 pénibles jours à terminer.

Je classe ce livre en 311ème position et lui donne deux "moins".

15 septembre 2015

Changement de sport

Voili, voilou, j'ai décidé de changer d'activité sportive cette année.

Ce sera donc du ping-pong à la place du renforcement musculaire.

Après avoir "testé" 3 clubs, mon choix s'est orienté vers celui où le ping-pong en loisir est le plus développé.

Le premier club où je suis allée, j'ai eu l'impression, même si l'accueil était chaleureux et qu'ils étaient tous très sympathiques, de ne pas être à ma place. Il n'y avait que des hommes d'un très bon niveau dont l'objectif était de s'entraîner pour les prochaines compétitions. Ils se sont relayés tour à tour pour me faire jouer mais je me sentais un peu comme un boulet.

Le second club était prêt à développer davantage l'aspect loisir mais en gros, nous n'aurions été que deux femmes...

Du coup, j'ai proposé à cette femme (qui s'appelle Isabelle) de venir au 3ème club où nous retrouverons Patricia et Florence qui se sont inscrites également. Nous sommes donc 4 plus peut-être deux autres personnes à venir.

Déjà deux cours effectués dans ce club, où Antoine, le président est très attentif, donne des cours structurés et de bons conseils.

A suivre donc...

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11 septembre 2015

sms avec son (grand) ado...

La semaine dernière, semaine de la rentrée en Terminale ES - sport-étude judo - internat pour Antoine, un seul sms de sa part :

- "Il faut un chèque de 70 euros pour les livres. Tu m'y feras penser ?"

Cette semaine, de nouveau un seul sms :

- "Il faudra le chèque pour le Pôel Espoir de judo"

Je ne sais pas, moi, je sais qu'il est grand, mais il pourrait juste donner quelques nouvelles sur la façon dont se passent les cours, comment sont ses nouveaux profs, comment ça va aux entraînements de judo...

9 septembre 2015

L'amour sans le faire

Quatrième de couverture

Après dix ans de silence, Franck téléphone un soir à ses parents. Curieusement, c'est un petit garçon qui décroche. Plus curieusement encore, il s'appelle Alexandre, comme son frère disparu des années auparavant. Franck décide alors de revenir dans la ferme familiale. Louise, elle, a prévu d'y passer quelques jours avec son fils. Franck et Louise, sans se confier, semblent se comprendre. "On ne refait pas sa vie, c'est juste l'ancienne sur laquelle on insiste", pense Franck en arrivant. Mais dans le silence de cet été ensoleillé et chaud, autour d'un enfant de cinq ans, "insister" finit par ressembler à la vie réinventée.

Ce livre de Serge Joncour se déroule crescendo. Au début, chaque chapitre alterne entre la vie de Franck et la vie de Louise. L’histoire est un peu sombre car tous les deux ont été malmenés par la vie et se trouvent un peu perdus chacun dans leur univers. Et puis, ils se rencontrent à la ferme autour du fils de Louise et se comprennent sans avoir à se parler. On sent l’espoir renaître pour chacun d’eux. La fin laisse entrevoir la suite mais sans réellement nous dire ce qu’il advient des différents personnages. Habituellement, je n’aime pas ces fins trop vagues mais là c’est plutôt bien fait.

C’est le second livre de Serge Joncour que je lis. Le premier ne m’avait pas plu du tout, il s’agit de « l’idole » classé en 299ème position avec un « moins » !

Je classe ce livre en 131ème position et lui donne deux étoiles. Il mériterait certainement davantage mais le début un peu plombant a terni le classement. C’est un livre à lire !

5 septembre 2015

Prélude de cristal

Présentation de l’éditeur

Fin mars 1886 en Belgique. Mineurs et verriers se révoltent dans le bassin de la Sambre, mettant le pays à feu et à sang, tandis que l'orchestre philharmonique de Berlin fait étape à Bruxelles pour un concert consacré à Mozart. Lena, une jeune harpiste, rencontre Lazare, un souffleur de verre. Avec lui, elle se retrouve impliquée dans un recel de formules secrètes, puis obligée à fuir en Amérique où elle sera nomade parmi les saltimbanques, mère de substitution, justicière, chantre du destin tragique du peuple sioux.

Je me suis clairement ennuyée avec ce livre de Bernard Tirtiaux et cette narration sans fin d’un amour contrarié. L’héroïne s’épanche à longueur de lignes et j’ai eu parfois envie de tourner les pages sans les lire (ce que je n'ai pas fait...). Elle attend l’homme qu’elle aime pendant des années en se demandant si elle fait bien (un pas en avant, deux pas en arrière…).

Un extrait pour exemple :

En route pour Mons, je ressasse ces trois années de privations, cherche désespérément un sens à ma dérobade, à mon entêtement à poursuivre un homme marié avec enfants qui m’est inaccessible et pour lequel je suis surnuméraire. Je me fustige d’avoir canalisé toute ma force d’amour sur cette impossible reconquête.

Il y a parfois de jolies choses poétiques :

Mon guerrier d’un côté, mon verrier de l’autre, mes deux bras en étreinte sur les barreaux cristallins de ma harpe, l’un pour marteler l’accord et le rythme, l’autre pour colorer les notes d’une mélodie, vous êtes tout ce qui en moi se dédouble et se ramifie, mes yeux, mes bras, mes mains, mes seins, mes lèvres…

En résumé, je classe ce livre en 257ème position et ne lui donne pas d’étoile.

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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