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Le petit monde de So et de Fi
30 mars 2015

Demain matin si tout va bien

Quatrième de couverture

Que feriez-vous si l'homme de votre vie décidait de partir pour une île paradisiaque du bout du monde, sans vous, pire, avec sa garce de meilleure amie? Ajoutez à cela une mère complètement allumée, une voyante cinglée et un prétendant bègue qui ne la lâche pas d'une semelle, vous aurez une idée des turbulences que traverse Garance Kléberg. Heureusement, il y a Arthur, le fidèle ami homosexuel, et " les filles ", les quatre bonnes copines " à la vie à la mort ". Et malgré les tuiles qui lui tombent sur la tête, les quiproquos à répétition et les gaffes en série, Garance veut encore y croire. Elle pense avoir perdu " l'homme idéal ", pourtant il est là, tout près... et pas forcément celui qu'on attendait.

En lisant « demain matin si tout va bien » de Cécile Krug, j’ai  ri, parfois aux larmes ( !), ce qui est assez rare pour être signalé. C’est un livre divertissant (surtout après « la fille de l’homme au piano » !), plein d’humour et d’autodérision car Garance, l’héroïne principale est une gaffeuse invétérée qui reconnaît ses travers.  Le style de l’auteur est direct, léger et sans fioriture. A lire si vous avez envie de vous changer les idées et passer un moment agréable.

Je classe ce livre en 125ème position et lui donne une étoile.

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28 mars 2015

Echanges sms avec son ado !

lui : 2 heures ça parait long

moi : Zut Antoine, c'est non négociable

lui : je ne négocie pas là, je m'interroge juste

moi : interroge-toi, c'est porteur

lui : j'aurais préféré 3 heures avec 3 matières différentes plutôt que 2 heures d'une seule. Mais tout ce que je te dis, tu le prends mal même quand je ne critique pas

moi : je ne prends pas mal, j'explique gentiment

lui : quand tu dis zut c'est que je t'énerve

moi : non, je réponds zut pour te dire fin de conversation

lui : ah ok, on n'est pas en démocratie

moi : au bout d'un moment, tu dois te ranger à l'avis de tes parents que ça te plaise ou non.

lui : bah, je n'ai pas dit le contraire. Prendre les décisions comme un dictateur qui ne consulte pas son peuple, ça n'est pas mieux.

moi : Remets les choses dans leur contexte où là je risque de m'énerver : il s'agit de 2 heures de soutien de maths et pas de te mener devant un peleton d'exécution comme sous une dictature !!

lui : c'était une image, tu prends tout mal

 

 

27 mars 2015

Petit truc pour nettoyer sa "ptite" voiture

Je suis allée laver ma petite voiture et malgré le karcher, je n'ai pas réussi à enlever des tâches de goudron sur la carrosserie au niveau des roues (à l'avant et à l'arrière).

Du coup, je suis allée voir sur internet. Certains conseillent de mettre de l'essence, du gasoil ou du white spirit mais j'ai eu peur d'abimer la peinture. Du coup, j'ai suivi le conseil de mettre de la margarine.

Et ça marche ! Il faut appliquer la margarine (ou le beurre parce que je n'ai pas de margarine) quelques minutes et puis gratter avec l'ongle derrière un chiffon doux et cela part assez facilement !!

Voili, voilou...

27 mars 2015

La fille de l'homme au piano

Quatrième de couverture

En 1939, peu avant qu'éclate la Seconde Guerre mondiale, Charlie Kilworth, jeune accordeur de pianos, interroge son passé. Qui fut son père ? Compte tenu des problèmes psychiques de sa mère, comment assumer de devenir à son tour père ? Il décide alors d'entreprendre une lente et douloureuse réappropriation de l'histoire de sa famille.Peu à peu, le personnage de sa mère, Lily Kilworth - femme sujette à des crises d'épilepsie qui étaient la terreur de son entourage, dans une famille qui dissimulait au grenier et dans sa mémoire les traces de la folie d'autres ancêtres, émigrés irlandais -, devient le centre du roman. Toutes les figures de l'intolérance familiale, de la marginalisation et de l'exclusion se succèdent.Progressivement, dans une fresque ample et admirablement construite, Timothy Findley brosse le portrait d'une famille canadienne de l'Ontario du début du siècle à la Seconde Guerre mondiale, hantée par la folie de Lily. 

"La fille de l'homme au piano" de Timothy Findley est une saga familiale et d’ordinaire j’adore cela. Ici, j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de détours, retours et contours… qui font 764 pages.

Par contre, l’auteur décrit avec délicatesse la folie de l’héroïne principale, Lily. Il va au-delà de sa maladie et nous explique un monde différent vu par les yeux de son fils Charlie. Lily est à la fois fantasque, intelligente, drôle et parfois triste, habitée et dangereuse pour elle-même.

Je classe ce livre en 188ème position et lui donne une étoile.

21 mars 2015

Le jour où j'ai appris à vivre

 

Quatrième de couverture

Imaginez : vous vous baladez sur les quais de San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, mais dans l’instant son regard se fige, elle devient livide. Ce qu’elle va finalement vous dire… vous auriez préféré ne pas l’entendre. À partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle. C'est ce qui va arriver à Jonathan dans ce nouveau roman de Laurent Gounelle. À la suite de cette rencontre troublante, il va se retrouver embarqué dans une aventure de découverte de soi ponctuée d’expériences qui vont changer radicalement sa vision de sa vie, de la vie. Ce roman, dont l’intrigue est basée sur des expériences scientifiques réelles, éclaire d’une lumière nouvelle notre existence et nos relations aux autres, et apporte un souffle d’air pur dans notre vie.

Laurent Gounelle nous rappelle "l'essentiel". Accaparés par notre quotidien, nous oublions de voir les petites choses agréables de la vie et d’en ressentir du bien-être. Il met le doigt sur l’importance d’être soi-même et d’être en phase avec les autres et la nature. Offrir des moments de bonheur et de tendresse aux autres de façon désintéressée, fait qu’on se sente bien à son tour. Laisser tomber le paraître et relativiser les évènements en fonction de leur réelle importance. Prendre conscience de la société de consommation et des travers qu’elle entraîne (jusqu’à la destruction de la forêt amazonienne). Ce livre fait du bien…

C’est le 4ème livre de Gounelle que je lis ("Les dieux voyagent incognito" classé actuellement en 25ème position, "le philosophe qui n’était pas sage" classé en 170ème position et "l’homme qui voulait être heureux" classé en 259ème position) et c’est celui que j’ai préféré car peut être le plus simple (pas dans la façon d’aborder le sujet du développement personnel et la connaissance de soi mais dans sa manière d’amener ces sujets dans l’histoire et par les personnages).

Je le classe en 18ème position et lui donne 3 étoiles.

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18 mars 2015

Et qui va promener le chien ?

Présentation de l’éditeur

À trente-cinq ans, incapable de se remettre du départ de son ex-petit ami, Clyde a l'impression d'être au point mort. Et ce n'est ni son colocataire immature, ni Otis, un pauvre chien déboussolé, qui le convaincront du contraire. Au prix de folles tribulations, ils tentent vaille que vaille de s'adapter à un monde hostile, absurde, et prodigieusement familier.

Bof, bof, bof. Il n’y a pas vraiment de fil conducteur dans ce livre de Stephen Mc Cauley, pas vraiment d’histoire et pas vraiment de fin. J’ai envie de dire « tout ça pour ça ! ». En fait, il n’y a que le titre que j'ai trouvé bien…

...Ah si et une phrase aussi page 296 (sûrement parce que maintes fois entendue sous une autre forme) : "J'en ai marre qu'on me dise tout le temps de me décontracter. J'aimerais bien savoir ce que ça a de si décontractant, la décontraction."

Je classe ce livre en 217ème position et ne lui donne pas d’étoile.

14 mars 2015

Bourse aux livres

Il y a peu de temps j'ai fait du tri dans mes livres et je m'apprêtais à les donner à la bibliothèque quand JP m'a suggéré de tenter de les vendre dans une bourse aux livres et ainsi pouvoir en racheter d'autres...

Du coup, aujourd'hui, nous avons fait notre première bourse aux livres (!).

Nous avons loué deux tables (pour 5 euros en tout) :

IMG_1589

J'avais mis les livres dans 6 boîtes de rangement, bien évidemment classés par ordre alphabétique d'auteurs (vous connaissez mon organisation légendaire) et toutes les tranches dans le même sens afin de faciliter la lecture des titres (!). Je précise car ce n'était pas le cas pour tous les stands. J'ai trouvé aussi que l'état de mes livres était vraiment bon en comparaison avec certains (où les pages sont jaunies, les couvertures cornées et où parfois même s'échappe une odeur désagréable).

Il n'y a pas eu énormément de monde mais j'ai fait de jolies rencontres. J'avais mon lutin avec le classement de mes lectures et j'ai donné l'adresse de mon blog à quelques personnes. J'espère qu'elles viendront ici partager leur sentiment sur les livres que nous aurons lus en commun.

En résumé, j'ai vendu 21 livres et j'ai récolté 31 euros (j'ai déjà dépensé 5,5 euros pour l'achat de 4 livres !).

A refaire donc...

 

12 mars 2015

La vérité sur l'affaire Harry Quebert

Présentation de l’éditeur

À New York, au printemps 2008, alors que l’Amérique bruisse des prémices de l’élection présidentielle, Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, est dans la tourmente : il est incapable d’écrire le nouveau roman qu’il doit remettre à son éditeur d’ici quelques mois. Le délai est près d’expirer quand soudain tout bascule pour lui : son ami et ancien professeur d’université, Harry Quebert, l’un des écrivains les plus respectés du pays, est rattrapé par son passé et se retrouve accusé d’avoir assassiné, en 1975, Nola Kellergan, une jeune fille de 15 ans, avec qui il aurait eu une liaison. Convaincu de l’innocence de Harry, Marcus abandonne tout pour se rendre dans le New Hampshire et mener son enquête. Il est rapidement dépassé par les événements : l’enquête s’enfonce et il fait l’objet de menaces. Pour innocenter Harry et sauver sa carrière d’écrivain, il doit absolument répondre à trois questions : Qui a tué Nola Kellergan ? Que s’est-il passé dans le New Hampshire à l’été 1975 ? Et comment écrit-on un roman à succès ?

J’ai beaucoup aimé ce livre « La vérité sur l’affaire Harry Quebert » de Joël Dicker. C’est un policier (et je ne suis pas toujours fan de ce type de littérature) mais c’est un écrivain qui mène l’enquête et du coup j’ai trouvé l’idée très intéressante. Il y a plein de suspects potentiels et on les imagine les uns après les autres mais on ne découvre qu’à la 838ème page (sur 855 et je trouve que c'est un exploit de nous mener si loin dans le suspense) qui est réellement le meurtrier. C’est bien mené, même s’il y a parfois des longueurs ou plutôt des répétitions, mais on finit par s’attacher aux personnages principaux. D’autre part, Il y a plein de réflexions sur la société américaine en général et sur les écrivains, ce qui donne encore plus d’intérêt à cet ouvrage.

Je le classe en 33ème position et lui donne 3 étoiles.

8 mars 2015

Dimanche actif

Malgré deux jours de congé jeudi et vendredi et le week-end, je n'ai quasiment pas vu JP de la semaine (sauf aujourd'hui) car il était en répétition avec la troupe de théâtre pour la pièce du Barbier de Séville.

Moi tout à l'heure : "Je suis contente de mon dimanche".

JP : "Forcément, j'ai fait tout ce que tu voulais..."

En effet, toutes les cases du planning imaginé dans ma tête ce matin ont été cochées :

- Nous sommes allés faire les courses,

- Nous avons fait deux allers-retours à la déchetterie, le premier voyage avec les bordures en bois que j'ai retirées des massifs du fond du jardin et le second avec des feuilles et des branches ramassées jeudi (dont certaines que j'ai retirées du toit du garage avec nettoyage de la gouttière, -le saule de la voisine nous aime bien-),

- Nous sommes allés chercher de l'antimousse,

- Nous avons mangé dehors,

- Nous avons retiré le portique (d'ailleurs plus facilement que je ne l'imaginais),

- Nous avons bouché les trous et remis du gazon,

- Nous avons mis l'antimousse.

Voili, voilou. Tout cela sous un soleil bien sympathique !!

 

6 mars 2015

Prise de RV plutôt compliquée...

Je souhaite faire vérifier mes grains de beauté (car j'en ai un certain nombre et certains sont apparus récemment !) par un dermatologue.

Hier, deux collègues me conseillent chacune un spécialiste que j'ai appelé. Il y avait des créneaux d'heures de prise de rendez-vous pour les deux (et pas le jeudi !).

Du coup, j'appelle ce matin chez le premier : Message d'accueil et choix à donner en tapant sur des touches, musique pendant 5 minutes, puis sonnerie pendant 4 minutes (espoir !), puis remusique pendant 3 minutes (bouuhh !) et message d'accueil (tiens donc ?), puis resonnerie (re-espoir !)... J'ai renoncé au bout de 20 minutes d'attente.

J'appelle le second où j'obtiens une messagerie qui me dit alors que je suis dans le créneau horaire : "je ne peux répondre à votre appel car je suis en salle de stérilisation, veuillez rappeler ultérieurement" !!

Du coup, je n'ai toujours pas de rendez-vous !!

Cela devient aussi compliqué d'avoir un rendez-vous chez le dermato que chez l'ophtalmo, non ?

Pour finir, j'ai obtenu un rendez-vous chez un troisième dans 3 mois, oups !

 

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Le petit monde de So et de Fi
  • Jeune quinca, Mariée, Maman d'un sportif de haut niveau en judo... Vous me retrouverez ici telle que je vis, avec mes bonheurs et mes indignations, telle que je suis, avec mes qualités mais aussi et surtout avec mes défauts !!
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