Avant que les couleurs d’automne ne teintent le jardin, j’ai pris quelques clichés.

Tout d’abord mon hibiscus ressuscité. Je l’ai cru mort cet hiver, il ne restait que 5 branches toutes sèches et marrons mais il est reparti de la base très tardivement et il me fait à présent de magnifiques fleurs roses fushias.

Mes jardinières de dipladénias qui ont donné tout l’été et continuent :

Voici également quelques roses de JP. En effet, les rosiers étaient auparavant dans la première partie du jardin. J’en ai eu marre de leur aspect squelétique et mon chéri les a sauvés d’un arrachage définitif et d’une mort certaine en les déplaçant entre la 3ème et la 4ème partie du jardin. Ils sont moins à la vue et fleurissent épisodiquement à leur gré.

Quelques fleurs bleues du caryoptéris (ou spirée bleu), première floraison digne de ce nom cette année :

Les potentilles, discrètes, mais qui fleurissent pendant une longue période :

Le massif surélevé, que j’ai installé toute seule cette année devant la maison, avec ses dalhias, ses muffliers et son lierre :

L’hibiscus sous le porche à côté de la porte d’entrée, que j’avais déplacé pendant nos vacances à Gap, pour qu’il profite de l’eau de pluie et qui a été inondé par la goutière débordante !!! mais apparemment il ne m’en veut pas, il a juste perdu quelques feuilles.

Enfin, petit clin d’oeil sucré, car la période des mûres va commencer :

Le collège d’Antoine propose des activités sportives en plus des 3 heures d’EPS obligatoires. Elles peuvent être pratiquées le midi, le soir ou le mercredi en début d’après-midi. Je viens de recevoir le détail des activités de cette année : escalade, badminton, football, volley-ball et tennis de table mais il y a en plus un petit mot d’accompagnement des professeurs d’EPS nous rappelant que les adolescents sont de plus sédentaires.

Je trouve cela très bien que de telles activités soient proposées et l’année dernière Antoine s’était inscrit à l’escalade. Il devait y aller chaque mercredi de 12 h 30 à 14 h. Le problème c’est qu’il y a eu beaucoup de volontaires, ils ont donc divisé le groupe en 2 et de fait la fréquence à une semaine sur 2. Ensuite, il y avait très souvent des compétitions pour les élèves de 4ème ou 3ème et les séances alors étaient supprimées (Antoine se retrouvait alors à faire du badmington). Sur une année, Antoine a dû y aller en tout et pour tout à peine une dizaine de fois (sur 36 semaines que compte une année scolaire !).

Sans compter qu’Antoine fait du judo pour la 5ème année le mardi et le jeudi, soit 3 heures de sport et que la saison des compétitions va bientôt redémarrer…